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LA POST-PRODUCTION



Ce sont les maîtres du puzzle, de l’assemblage en tout genre... Coordinateur artistique, responsable technique ou monteurs ; les opérateurs de la post-production de PBLV assurent un max ! Sébastien Pourcel, coordinateur artistique de PBLV, endosse le rôle du chef d’orchestre. Il écoute, regarde et valide les différentes opérations de la post-production. Mais pour lui, pas besoin de baguette, son équipe est rodée.


Sébastien Pourcel

Sébastien Pourcel, coordinateur artistique de PBLV, endosse le rôle du chef d’orchestre. Il écoute, regarde et valide les différentes opérations de la post-production. Mais pour lui, pas besoin de baguette, son équipe est rodée.

En quoi consiste le métier de coordinateur artistique ?

Sébastien Pourcel: « Je vérifie puis valide ou opère des changements sur le travail réalisé par les monteurs image et son. Cela consiste à apprécier la cohérence de la durée des scènes, le maintien du rythme, l’harmonie de l’assemblage des séquences et les petits cafouillages éventuels... Plusieurs étapes de vérification interviennent au cours de l’élaboration d’un épisode. A chaque fois, je m’assure que le travail est propre. De toute façon, rien ne m’échappe ! »

N’est-ce pas un peu un rôle de gendarme ?

S.P : « Absolument pas. Tous les intervenants agissent avec « l’esprit PBLV » ! Il n’existe pas de rapport de supériorité ou d’infériorité entre nous. La confiance caractérise bien le lien entre les professionnels de la post-production. Même si les réalisateurs changent toutes les semaines, la ligne directrice reste identique. »

Avez-vous des comptes à rendre ?

S.P : « Oui, effectivement. Réalisateur, producteur et diffuseurs doivent valider le premier montage. J’ai donc toujours un retour sur le travail que je fournis avec mon équipe. Lors de cette étape, des changements éventuels peuvent intervenir selon le souhait du réalisateur, du producteur et de la chaine. Je suis également libre d’opérer des modifications au cours des autres étapes, notamment lorsque le monteur son intervient. ».

Quelles sont les étapes de la post-production ?

S.P : « En clair, il y a un premier monteur qui agit illico après le tournage. Il travaille avec les rushs à l’élaboration d’un épisode. Celui-ci est ensuite envoyé sur Paris pour vérification. Lorsqu’il nous revient à Marseille, un autre monteur fait les modifications puis intègre l’habillage (le générique de début et de fin). La troisième étape concerne l’étalonnage, le monteur travaille alors sur la colorimétrie des images. Le dernier maillon de la chaine, c’est le monteur son qui effectue le mixage. L’épisode enfin terminé, l’enregistrement peut avoir lieu pour le prêt à diffuser (PAD). »

Quel a été votre parcours pour devenir coordinateur artistique ?

S.P : « J’ai débuté en tant que monteur il y a environ 15 ans. Je suis arrivé parfaitement par hasard dans l’aventure PBLV. Un de mes contacts m’a informé qu’Hubert Besson cherchait un coordinateur artistique pour la post-production. J’étais au bon endroit au bon moment ! »

Depuis quand êtes-vous dans l’équipe PBLV ?

S.P : « J’ai intégré l’équipe dès le début des diffusions, ce qui me permet d’avoir une grande connaissance du panoramique des épisodes. »

Avez-vous des petits conseils à donner pour se glisser dans le métier ?

S.P : « C’est très enrichissant de débuter par le montage pour avoir connaissance de ce qui est possible de faire en post-production. Pour le reste, l’apprentissage en école spécialisée ou sur le tas, c’est à voir. Le plus important est bien sûr la pratique. »

Vous avez des missions très variées, quelles sont-elles ?

S.P : « Lorsqu’il y a un monteur absent, je retrouve avec plaisir le poste de mes débuts. Je m’occupais également de la réalisation du clip d’Eva pour son second single. Et pour les sorties DVD et du Magazine PBLV, c’est moi qui fournit les bonus (interviews, capture d’écran). D’autre part, nous avons signé un contrat avec Orange depuis le 1er mai. PBLV est désormais accessible sur les téléphones portables 3G. Différents formats d’épisodes peuvent être téléchargés selon les capacités du téléphone. Mon rôle est de valider ces différentes formes de montage »

Quelles qualités faut-il avoir ?

S.P : « La patience, la rigueur, la créativité, avoir du recul et des compétences techniques... L’idée première de ce métier est de regarder les épisodes, avant leur diffusion, avec un œil extérieur pour garder de la fraîcheur et de l’innocence. Mais il est vrai que c’est plus difficile après quelques années de travail. »

Expliquez-nous comment s’articule votre lien avec le monteur son et les musiciens ?

S.P : « Je vois les musiciens pour faire un point des besoins sur la série : musique à suspense, tension, action, tendresse, amour, comédie... Il y a un stock de plus de 500 musiques dans lequel je peux faire mon choix. Le monteur son place ensuite ces musiques au bon moment dans les épisodes. »



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