Joseph Balitran est un avocat travaillant pour l'entreprise SANOFAC. Très soucieux de discrétion, massif, inquiétant, calme et froid, Mr.Balitran désire plus que tout rester dans l’ombre. C’est lui qui a « recruté » Gilles Préjean pour nuire à Vadim Cazals, ce dernier représentant une réelle menace pour la SANOFAC.
En effet, La SANOFAC a réalisé que Vadim Cazals avait, lors de ses recherches au Brésil, découvert une molécule tirée d’une plante poussant dans la forêt amazonienne, qui pouvait servir de médicament antirejet pour les « stents » (ces petits ressorts en métal qu’on pose pour maintenir ouverte une artère bouchée notamment.) Or, on pose, chaque année, des millions de stents sur des millions d’Occidentaux pour les empêcher de mourir d’infarctus. Des opérations chères pour un dispositif qui ne l’est pas moins (de 800 à 1600 euros selon les types de stents). Un marché gigantesque donc.
L’équation est simple : avec ce médicament antirejet, au coût relativement faible, on pourrait empêcher des dizaines de milliers de rechutes. Ce qui signifierait autant de malades qui n’ont pas besoin de se faire réopérer, des économies substantielles à titre individuel et pour les organismes de santé…mais un manque à gagner énorme pour les fabricants de stents, dont la SANOFAC est l’un des leaders mondiaux. Ce consortium, via Mr.Balitran, ne reculera donc devant rien pour totalement discréditer Cazals, et faire de sa vie un enfer…
Plusieurs SDF sont retrouvés morts à Marseille, victimes d’un tueur en série. Vadim, qui entretient une relation amoureuse avec Luna Torres, est bientôt soupçonné par le commandant Marie Bergman d’être le tueur et est emprisonné ...
En réalité, Vadim est victime d'un complot fomenté par la SANOFAC et Balitran voulant l'envoyer en prison pour mettre fin à ses recherches. Balitran s’allie avec Gilles Préjean (ce dernier éprouvant une haine contre Vadim depuis l’opération ratée de sa petite-fille Linda Rousseau) et paie plusieurs personnes pour nuire à Vadim ...
La police finit par remonter jusqu'à lui et à l’arrêter, mais, ne parvenant ni à prouver l'implication de la SANOFAC dans les meurtres en série, ni à retrouver le véritable tueur, Balitran est rapidement relâché faute de preuves.
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