USGS : L'épisode du jour, commentaires au quotidien (archive 21)

Paty a écrit:

Elle n'était clairement pas à l'aise dès le départ : c'est bien pourquoi le photographe lui a présenté son partenaire "voici Machin (merci, Ailebrune, de me rappeler son prénom), ton partenaire, il est gentil et doux, etc." Machin lui a gentiment dit "tu verras, ça va bien se passer". Et au final, on a vu trois mecs (tous gentils et doux ?) ressortir de la piaule🤮...

Elle était même flippée. On le voit quand elle arrive, voit le long couloir sombre, etc. C'est pour ça qu'elle finit par accepter la vodka.

Maïadelsol a écrit:

Je la trouve toxique par rapport à Inès, qui n'arrête pas de lui donner prêter de l'argent. Une copine comme elle n'apporte que des embrouilles. Tu le dis toi-même, aider ces de personnes ne sert à rien.

Mais tu as raison : ce genre d'histoire est très réaliste. D'ailleurs, je trouve l'intrigue particulièrement intéressante.

Cela dit, l'état de choc, c'était après la séance (qu'il y ait viol ou pas viol). Mais auparavant, elle était dans son état normal et rien ne justifie qu'elle ait signé ce fameux contrat sans même y accorder un regard. D'ailleurs, personne ne sait quels en étaient les termes. Quel âge a-t-elle ? Je dirais dans la trentaine, donc théoriquement elle aurait dû réfléchir un peu... Inès, qui est bien plus jeune, est beaucoup plus sensée.

Disons qu'on n'a pas la même définition du mot toxique. Pour moi, c'est plutôt quelqu'un qui détruit autrui psychologiquement et de manière délibérée (comme Claudine le fait avec Johanna ou avec sa fille). Une Melissa pourrait à la rigueur être perçue comme toxique si elle mettait ses proches dans de graves ennuis à cause de ses dépenses inconsidérées. Mais même là, je n'utiliserais pas ce mot.

Pour Melissa, je ne dirais pas qu'elle était dans son état normal en arrivant au studio du photographe. Pas en état de choc, non, mais prise par une foultitude de peurs : peur de ce qui l'attend, peur de ses problèmes d'argent qui vont empirer si elle ne fait pas la vidéo (le photographe lui a fait comprendre qu'elle n'aura plus rien), etc. Comme le souligne Raylen, elle a un problème d'addiction aux achats. Ça n'a rien de rationnel, c'est un vrai problème psy qui nécessite des soins spécifiques, comme d'autres addictions.

Bref, comme c'est quelqu'un d'irréfléchi et, là, dans un tourbillon de peurs, elle panique et prend la mauvaise décision. Quant à son âge, j'ai l'impression qu'elle est censée avoir la vingtaine. Mais de toute façon, ce genre d'histoire peut arriver à des trentenaires. Il n'y a qu"à voir toutes les histoires terribles récentes dans le porno que Shino a rappelées dans les liens qu'il a postés. C'est souvent un engrenage fatal où une nana fragile pour x ou y raison se fait piéger.

De toutes façons, la boîte du photographe et son comparse n'a pas l'air d'une multinationale. La seule perspective d'un procès pour quelque motif que ce soit, devrait suffire à les refroidir.

raylen a écrit:

» Voir le message cité




Je crois qu'n aurait du mal à parler de viol quand on a sciemment accepté de tourner une video porno. Il reste à attaquer le contrat pour clause abusive . Il doit certainement y en avoir. en plus, il me semble qu'il y a un délai de rétractation quand on signe un contrat,non?

Oui, très difficile. Sauf si, comme je l'écrivais plus haut, d'autres filles témoignent qu'elles ont été piégées de manière semblable. C'est ce qui s'est passé dans certaines affaires bien réelles.
Je ne crois pas que ce soit une question de clause abusive. Peut-être juste le fait qu'on lui a parlé d'une chose et fait faire autre chose. Elle était déjà dans un état second (panique, vodka, etc). On ne sait pas comment elle a réagi quand elle a compris qu'il y avait plusieurs mecs mais vu son état après, c'était manifestement sans consentement.

Le photographe a parlé de porno soft , mais encore faut-il le mettre par écrit. Qu'en est-il dans le  contrat? Tout est là. Imaginons une phrase du genre : je soussignée accepte de pratiquer des actes sexuels avec différents partenaires.  On peut jouer sur les mots. Si plusieurs filles témoignent, cela changera t il quelque chose? Je pense que ce sera davantage le bruit médiatique de telles plaintes qui feront plier boutique aux sa.lo.pards.
Sinon, l est évident que ce qui a été tourné était sans son consentement. Etait-elle en situation de refuser une fois la scène commencée? Si elle avait dit "non, pas d'accord," est-ce qu'on ne pouvait pas prétendre que ça faisait partie du scenario? En tous cas, si on en croit les témoignages de femmes qui ont témoigné, une fois que la camera tourne , on n'ose plus dire non. Je parle d'actrices ayant tourné dans des films artistiques : Maria Schneider, Lea Seydoux.
Quoi qu'il en soit, intrigue très intéressante et très bien menée.

ziva a écrit:

@Argon ....   Réponse  à votre commentaire de 14h52  : Episode 1095  vers 18 minutes Johanna reçoit un coup de fil de Sabine assise à un bar, on voit nettement un serveur à lunettes... Sabine lors de la discussion dit clairement : "je suis à la Paillote" !

Décidemment, ça me réussit pas de binge-watcher USGS. Vivement la semaine prochaine, un épisode et une camomille par jour…

Donc il y a bien un serpentveur à lunettes à la Paillote, dans l’épisode de mardi. Mais annoncé après celui de vendredi, Shino a bien fait de sortir la balise spoiler, vu que ça faisait deux épisodes d’avance.

Il s’agissait peut-être d’une autre paillote, Sabine n’a pas parlé des Sauvages ?

raylen a écrit:

Le photographe a parlé de porno soft , mais encore faut-il le mettre par écrit. Qu'en est-il dans le  contrat? Tout est là. Imaginons une phrase du genre : je soussignée accepte de pratiquer des actes sexuels avec différents partenaires.  On peut jouer sur les mots. Si plusieurs filles témoignent, cela changera t il quelque chose? Je pense que ce sera davantage le bruit médiatique de telles plaintes qui feront plier boutique aux sa.lo.pards.
Sinon, l est évident que ce qui a été tourné était sans son consentement. Etait-elle en situation de refuser une fois la scène commencée? Si elle avait dit "non, pas d'accord," est-ce qu'on ne pouvait pas prétendre que ça faisait partie du scenario? En tous cas, si on en croit les témoignages de femmes qui ont témoigné, une fois que la camera tourne , on n'ose plus dire non. Je parle d'actrices ayant tourné dans des films artistiques : Maria Schneider, Lea Seydoux.
Quoi qu'il en soit, intrigue très intéressante et très bien menée.

Ah oui, c'est intéressant comme comparaison. Et ce que tu dis sur le fait qu'un "non" était peut-être prévu dans le scénario et dans le contrat que Melissa a signé sans le lire.
Pour moi, l'aspect juridique n'est pas le plus intéressant, sauf si ça permet bien sûr de faire tomber ces enflures. Je trouve très intéressant de voir comment une fille, que justement on avait vu capable de renvoyer dans ses buts un dragueur un peu lourd au bar, panique et tombe dans un piège infernal quand quelqu'un de malin vient profiter de sa faiblesse (le besoin d'argent, elle est prise à la gorge par son addiction). C'est là où ça montre bien ce qui peut se passer dans la vraie vie. On n'est pas dans le cas de figure "simple" (la fille arrivée d'Afrique, a qui on avait fait miroiter un job ici, puis que l'on viole et oblige à se prostituer). Le photographe est manipulateur et joue habilement sur les failles de sa victime pour la piéger. Juridiquement, il a dû se couvrir au maximum. Mais comme tu dis, il ne voudra pas de pub négative non plus.

ailebrune a écrit:

Disons qu'on n'a pas la même définition du mot toxique.

Je suis d’accord avec toi, je ne trouve pas Mélissa toxique.
Claudine est toxique, Eliott l’était.

Elle est bourrée (sans double jeu de mots) de complexes, besoin d’être utile, de faire plaisir, avec un fort senntiment d’indépendance.
(oui, j’ai fait psy LV1)

Et finalement, elle est autodestructrice, pas toxique.

@ ailebrune et Argon

raylen a écrit:

Le photographe a parlé de porno soft , mais encore faut-il le mettre par écrit. Qu'en est-il dans le  contrat? Tout est là. Imaginons une phrase du genre : je soussignée accepte de pratiquer des actes sexuels avec différents partenaires.  On peut jouer sur les mots.

On entend souvent parler de contrat léonin, de clauses abusives, immorales ou inacceptables. On ne peut pas tout écrire sur un contrat. Aucun contrat ne donne tous les droits sur quelqu’un.
(Oui oui, juriste LV2)

Profonde admiration LV3

» Voir le message cité

Shinochaz a écrit:

Comme aurait pu le chanter Elmer Food Beat bite 


Moi, ce que j'aime, chez Melissa
C'est que l'on peut s'y mettre à trois
Elle est toujours d'accord
Pour battre des records


Du moins ça a du être le point de vue du photographe 

Allons-y carrément

raylen a écrit:

Sinon, l est évident que ce qui a été tourné était sans son consentement. Etait-elle en situation de refuser une fois la scène commencée? Si elle avait dit "non, pas d'accord," est-ce qu'on ne pouvait pas prétendre que ça faisait partie du scenario? En tous cas, si on en croit les témoignages de femmes qui ont témoigné, une fois que la camera tourne , on n'ose plus dire non. Je parle d'actrices ayant tourné dans des films artistiques : Maria Schneider, Lea Seydoux.
Quoi qu'il en soit, intrigue très intéressante et très bien menée.

Cela me rappelle une intrigue de NY unité spéciale. L’étudiante jouait dans des films pr payer ses études. Des camarades l’ont violée et n’ont pas arrêté alors qu’elle a clairement dit : « non ». Mais comme dans les films elle disait aussi « non », ils ont continué. La pauvre a abandonné ses études pr faire carrière dans le porno parce que là quand elle disait aux acteurs d’arrêter, eux ils l’écoutaient. C’était glaçant.

Personnellement j’ai l’impression que Mélissa n’a pas signifié son désaccord dans la chambre parce que je l’imagine pétrifiée et hébétée face à ces deux hommes auxquels elle ne s’attendait pas.

Mais que s'est-il exactement passé ? Melissa a-t-elle été violée (je veux dire réellement) ou était-ce le tournage d'un film avec elle comme actrice nue au milieu de trois hommes qui font semblant ? Parce que dans les films pornos, les séquences de viol sont-elles "pour de vrai" ou s'agit-il de simulations ? Je n'y connais absolument rien...

Bah on sait pas encore. D'ailleurs il n'est pas question de viol pour le moment.

» Voir le message cité

Maïadelsol a écrit:

Mais que s'est-il exactement passé ? Melissa a-t-elle été violée (je veux dire réellement) ou était-ce le tournage d'un film avec elle comme actrice nue au milieu de trois hommes qui font semblant ? Parce que dans les films pornos, les séquences de viol sont-elles "pour de vrai" ou s'agit-il de simulations ? Je n'y connais absolument rien...

Elle devait tourner une scè,e avec un partenaire mais il y en a eu trois , on devine pourquoi, et qui n'ont pas fait semblant. Mais ce n'était pas une scène de viol.

Maïadelsol a écrit:

Mais que s'est-il exactement passé ? Melissa a-t-elle été violée (je veux dire réellement) ou était-ce le tournage d'un film avec elle comme actrice nue au milieu de trois hommes qui font semblant ? Parce que dans les films pornos, les séquences de viol sont-elles "pour de vrai" ou s'agit-il de simulations ? Je n'y connais absolument rien...

Pour l'instant, nous ne savons pas ce qui s'est passé dans la chambre.
Nous savons juste que Melissa avait accepté de tourner un film porno avec un partenaire. En clair, être filmée pendant de vraies scènes sexuelles. C'est la définition du X.  Dans tout ce qui n'est pas X, les actes sexuels sont simulés. Enfin théoriquement.
Donc nous savons que Melissa a accepté de coucher avec UN gars. Et qu'elle avait déjà l'air effrayée.
Nous ne voyons pas la scène du tournage mais voyons non pas un homme mais trois ressortir de la chambre, puis Melissa en état de choc, avec des signes typiques de nana violée. Mais pour l'instant, elle n'a rien dit à personne.

raylen a écrit:

» Voir le message cité




Elle devait tourner une scè,e avec un partenaire mais il y en a eu trois , on devine pourquoi, et qui n'ont pas fait semblant. Mais ce n'était pas une scène de viol.

On ne le sait pas puisqu'on n'a pas vu la scène du tournage. Comme tu l'avais suggéré, rien n'interdit d'imaginer, parmi les hypothèses, que le "scénario" du film porno ait eu, notamment, une scène de viol.

Certes, mais ce serait une scène de viol, pas un viol. Franchement, je crois qu'on complique les choses inutilement. Si on ne voit pas ce qui se passe dans la chambre, c'est parce qu' USGS ne veut pas filmer une scène de boules. Il n'y a pas de mystère sur ce qui s'est passé et qui est très habilement suggéré : au lieu d'une  vraie scène sexuelle mais  banale entre un gars et une fille qui n'intéresserait pas grand monde, il y a une scène beaucoup plus hard avec trois mecs .

Ce que je voulais dire, c'est ce que si elle avait dit non dès qu'elle a vu qu'ils étaient trois , ça n'aurait pas arrêté le tournage et ses protestations auraient été intégrées à la scène. Perso, je ne crois pas que le scenario ait prévu une scène de viol, ce qui obligerait les acteurs à jouer , d'une certaine façon.  Là, pas de dialogues, pas de jeu. Droit au but,  c'est du brut voire du brutal et de l'efficace. C'est ce que les spectateurs recherchent.

Melissa a les signes typiques de  quelqu'un qui a subi quelque chose de dégradant  : honte et dégoût. Que le scenario soit une scène de viol ou pas , ne change rien à l'affaire. Tourner un porno parce qu'on a désespérément besoin d'argent   est tout aussi dur, surtout si la scène est plus trash qu'on ne l'avait imaginée.

Ça pourrait être une scène de viol... et un vrai viol, ou un vrai viol sans scène de viol. Rien n'aurait empêché usgs de nous montrer une partie de la scène... en la simulant pour le coup ( ) Le fait qu'on ne voit rien est à la fois plus fort et plus intéressant puisque ça prête à plusieurs hypothèses.
Je suis d'accord avec toi pour le dégoût etc. Mais c'est le fait qu'il y ait eu trois, et pas un, mecs me fait penser à un viol. Ca et le comportement de Melissa après.

1094 (diffusé lundi) : Bernie le proc joue comme dans Crimes parfaits sur France 3

On apprend aussi que Melissa a plusieurs cartes de crédit à la consommation. En gros elle vit à crédit. Souvent, chaque jour de retard dans le remboursement du crédit entraîne une pénalité financière. Ça peut vite devenir l’escalade.

Je pense qu’elle fera le deuxième tournage, il faut bien qu’elle paye ses dettes. Du coup Inès pourrait demander conseil à Gary qui avait été pris dans l’engrenage de l'endettement lui-même.


1095:  un nouveau serveur à la paillote





1096 et 1099 : le stagiaire du Midi Libre lui ressemble beaucoup ainsi qu’à Théo Estrela le fils de Claire






1097 : quand Melissa arrive au tournage, elle aperçoit Ralf l’autre acteur poser une veste Vroom Eat (penser à Uber Eats).



Probablement un stratagème pour lui faire croire que c’est un livreur fauché comme elle.
Après le tournage, les acteurs n’ont aucune goutte de transpiration ni de semence. C’est hautement invraisemblable  
Au moins dans PBLV ils étaient essoufflés et décoiffés

Le gâteau d’anniversaire de Claudine ne compte que 12 bougies. Même si elle était née un 29 février, ça ne lui aurait fait que 48 ans



L’ascension de Claudine est progressive et sans détour. Reste à savoir jusqu’à quand ?
A moyen terme, je la vois bien changer le nom du cabinet en Becker Lemeur Graçay 

@ailebrune
En quoi cela pourrait-il être un viol? Melissa a accepté de tourner une video porno , non de gaîté de coeur mais néanmoins de son plein gré. Elle a signé un contrat qui très vraisemblablement l'oblige à faire des choses qu'elle ne souhaiterait pas faire dans la vie en temps normal et s'est engagée à tourner une seconde video , qui serait probablement encore plus trash que la première. Donc que la scène tournée soit un viol (je ne sais pas d'où est venue cette idée) ou une orgie romaine en costume d'époque, ça ne change rien .

raylen a écrit:

Certes, mais ce serait une scène de viol, pas un viol. Franchement, je crois qu'on complique les choses inutilement. Si on ne voit pas ce qui se passe dans la chambre, c'est parce qu' USGS ne veut pas filmer une scène de boules. Il n'y a pas de mystère sur ce qui s'est passé et qui est très habilement suggéré : au lieu d'une  vraie scène sexuelle mais  banale entre un gars et une fille qui n'intéresserait pas grand monde, il y a une scène beaucoup plus hard avec trois mecs .

Ce que je voulais dire, c'est ce que si elle avait dit non dès qu'elle a vu qu'ils étaient trois , ça n'aurait pas arrêté le tournage et ses protestations auraient été intégrées à la scène. Perso, je ne crois pas que le scenario ait prévu une scène de viol, ce qui obligerait les acteurs à jouer , d'une certaine façon.  Là, pas de dialogues, pas de jeu. Droit au but,  c'est du brut voire du brutal et de l'efficace. C'est ce que les spectateurs recherchent.

Melissa a les signes typiques de  quelqu'un qui a subi quelque chose de dégradant  : honte et dégoût. Que le scenario soit une scène de viol ou pas , ne change rien à l'affaire. Tourner un porno parce qu'on a désespérément besoin d'argent   est tout aussi dur, surtout si la scène est plus trash qu'on ne l'avait imaginée.

La mission de service public n'est plus ce qu'elle était