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Aurélie Vaneck fait son festival à MarseilleL'actrice de "Plus belle la vie" organise un concert caritatif.
Après avoir incarné le personnage de Ninon pendant des années à la télé, Aurélie Vaneck a tourné la page de Plus belle la vie. Mais pas celle de Marseille, où elle était descendue il y a dix ans pour le tournage. "J'ai construit ma vie privée ici !" dit la jeune femme, aujourd'hui maman.
Investie dans sa ville, elle est la marraine de l'association marseillaise La Ribambelle, qui prend en charge des enfants malgaches atteints de maladies cardiaques pour être opérés à la Timone. Pour la faire connaître et récolter des fonds, elle organise et anime le "Festi'belle", un concert caritatif samedi 19 juillet au théâtre Silvain.
En marge de la promotion de cet événement, l'actrice qui croque la vie s'est prêtée à notre jeu de questions-réponses estival au bord de la piscine.
Quelle est votre playlist de l'été?
Aurélie Vaneck : J'aimerais bien sûr vous parler de deux groupes locaux pleins de talents que je programme dans mon festival : Cyril B et Samba Reggae. Samba Reggae sort son premier album, Coup de force : c'est très "vacances", plein de soleil et de saveurs. Cyril B est très différent : plus expérimentale , sa musique est faite de sensations.
Par ailleurs, cet été, j'ai acheté des billets pour le concert de Joss Stone au festival de Juan-les-Pins (le 16 juillet). Elle envoie ! Toujours pieds nus sur scène, avec le sourire, elle tient son orchestre à 25 ans ! J'adore aussi Trombone Shorty, du jazz New Orleans programmé au festival Jazz des Cinq Continents à Marseille. Ça dépote !
Votre série ?
A.V. : Plus belle la vie bien sûr ! Je regarde aussi les séries américaines. Je suis fan de Game of Thrones. Et j'ai découvert récemment Shameless, un peu trash et décalé. C'est l'histoire d'une famille américaine complètement barrée. Le père et la mère sont alcooliques, la fille aînée s'occupe de ses frères et soeurs. Tout est dans la provoc'.
Votre plat ou votre cocktail pour vous rafraîchir?
A.V. : Je dirais un carpaccio de Saint-Jacques à la mangue ! Le cocktail : le mojito avec la menthe du jardin !
Quel livre conseillez-vous pour la plage ?
A.V. : J'ai dévoré Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson. Cette histoire de centenaire m'a rajeuni ! L'adaptation cinématographique du roman est sortie en salles. Je suis curieuse de voir ce que cela peut donner. On est parfois déçu par le film d'un livre qu'on a adoré, mais je vais tenter le coup.
Pour les bons plans, je conseille également 100 lieux pour les curieux des Bouches-du-Rhône aux éditions Bonneton. C'est une amie , Marianne Marizot qui l'a écrit, on lui a soufflé quelques bons plans. Mon coup de coeur, c'était l'hôtel-bulles à Allauch.
Enfin, même s'il ne se lit pas à la plage, j'aimerais parler de Made in local, qui vient de paraître aux éditions Eyrolles, écrit par mon père ! Il vulgarise tout le jargon du développement durable et des nouvelles énergies.
7 Juillet 2014, La ProvenceJean-Pierre Vergne, réalisateur de "Plus Belle la Vie" est mort [/h1]
[#989898]CRÉÉ : 26-08-2014 17:19[/#989898] [h2]DISPARITION - Il était l'un des réalisateurs de la série phare de France 3, "Plus Belle la Vie". A 68 ans, Jean-Pierre Vergne a été retrouvé mort dans sa maison de Dordogne.[/#272727]
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Jean-Pierre Vergne et Claire Borotra, sur le tournage de "Une fille dans l'azur'. Photo : T.F.1-PAGES/SIP[/#ffffff] [#272727]
Il était l'un des réalisateurs de l'une des séries qui fait les beaux jours de France 3. Jean-Pierre Vergne, 68 ans, a été retrouvé mort à son domicile de Terrasson-Lavilledieu, en Dordogne. Son corps sans vie a été retrouvé dans le jardin de sa maison, et d'après le quotidien [#0065ac]
La Montagne[/#0065ac] , la cause du décès serait naturelle.
Réalisateur de télé et cinémaRéalisateur très demandé à la télévision, il avait notamment co-réalisé "Plus Belle La Vie" et réalisé de nombreux téléfilms et épisodes de séries télévisées depuis plus de quinze ans. On lui doit notamment des épisodes de la série "Cordier, juge et flic", "Un et un font six" ou encore "Docteur Sylvestre".
Il avait également réalisé "Une fille dans l'Azur" avec Claire Borotra. Au cinéma, on lui doit "Le téléphone sonne toujours deux fois", avec Didier Bourdon et Bernard Campan notamment et "Golden Boy" avec Jacques Villeret. Il avait 68 ans.
AMANDINE REBOURG[/#272727]
« Plus Belle la Vie » passe au capteur grand format avec les caméras F55 de SonyEn dix ans d’existence, le feuilleton phare de France Télévisions connaît sa quatrième mutation technologique et s’équipe en caméras CineAlta PMW-F55 de Sony, franchissant un pas de géant et précurseur.
Plus Belle la Vie, qui met en scène le quotidien des habitants du quartier le Mistral de Marseille et fidélise chaque soir toujours plus de 5 millions de téléspectateurs a démarré à l’ère de la vidéo SD 4:3 ...Grâce à son énorme succès, la série adopte la vidéo 16:9 peu de temps après jusqu’en 2011 où elle fut diffusée en HD.
En 2015 Plus Belle La Vie franchit un nouveau cap en passant aux grands capteurs avec les caméras Sony CineAlta PMW-F55. Une première européenne qui met en évidence la polyvalence des caméras PMW-F55.
À cette occasion, Jean-Yves Martin, spécialiste Produit et Workflow chez Sony s’est rendu dans les studios à Marseille afin de présenter le nouvel outil au sein d’un atelier de deux jours qui a rassemblé plus de 50 techniciens. Parmi l’assistance, étaient évidemment présentes les équipes artistique, image, et de post-production ainsi que l’équipe maquillage. « Sony est très fier d’avoir remporté ce marché et d’accompagner France Télévisions et Telfrance dans cette évolution. Il était important pour nous d’être présents aujourd’hui pour présenter cette solution aux futurs utilisateurs », explique Jean-Yves Martin.
« C’est une décision bien murie » complète Olivier Roelens, Producteur exécutif du feuilleton pour France Télévisions. « Nous avons réalisé différents tests comparatifs avec d’autres caméras du marché et nous avons tourné, en 2014, trois épisodes de prime time avec la PMW-F55, à Lille, à Marseille, puis en Tunisie. Nous avons réellement été séduits par la qualité d’image et par la simplicité du workflow. Notre feuilleton doit s’améliorer constamment, il ne peut pas être figé techniquement. Et grâce à cette nouvelle technologie, nous devenons aujourd’hui précurseurs car nous sommes désormais à la frontière entre le monde de la fiction filmée avec un grand capteur et en progressif, et le monde du flux avec nos caméras commandées depuis une régie. »
Quelles sont les conséquences d’une telle évolution ?
« En réalité, cela change très peu de choses pour nous en termes de production. Nous réalisons un saut qualitatif tout en respectant notre flux de production qui est, lui, très calibré. Nous tournons un épisode de 24 minutes par jour et nous le montons en une journée également. Il fallait que cette transition se fasse en douceur et la PMW-F55 nous offre cette possibilité. Il était primordial de pouvoir tenir nos délais de fabrication. » précise Olivier Roelens.
Pour Mathieu Bollet, Directeur Artistique de la série, cette évolution apportera du renouveau à la série et offrira d’énormes possibilités artistiques. « Le piqué, la faible profondeur de champ et la qualité d’image avec son rendu cinématographique vont sûrement avoir un impact sur la mise en scène, s’enthousiasme-t-il. Ils vont décupler l’envie tant chez nos réalisateurs et techniciens que chez les spectateurs. »
« La PMW-F55 nous offre un monde de possibilités en post-production. L’image de la PMW-F55 dispose davantage d’informations que celle des caméras que nous utilisons actuellement, grâce à ses débits plus élevés. Nous pourrons réaliser des effets spéciaux plus travaillés, plus aboutis et nous pourrons, par exemple, incruster des découvertes au rendu plus réaliste. » ajoute Sébastien Pourcel Coordinateur Artistique et Chargé des effets spéciaux.
Au cours de l’atelier, Jean-Yves Martin a présenté les différentes configurations retenues pour le feuilleton, qui se tourne habituellement avec trois caméras en studio et deux caméras pour les extérieurs. Ces caméras de studio sont équipées en fibre optique, reliées via un BPU à un serveur Avid DNX 120. Les caméras sur Steadicam utiliseront quant à elles une liaison HF, pour une plus grande mobilité tandis que les caméras d’extérieur enregistreront directement sur des cartes SxS.
Pour l’ingénieur de la vision, Bernard de Celles, la PMW-F55 lui permettra de réaliser des réglages plus fins, grâce à la dynamique plus étendue de la caméra et à sa colorimétrie plus précise. « Cette caméra dispose d’une très grande tessiture et je me réjouis de pouvoir l’utiliser. On se rapproche enfin du cinéma! Et pour les extérieurs à Marseille, elle sera très précieuse. Avec nos délais de tournage et les grands écarts de contraste du soleil méditerranéen, fini de devoir brimer le chef opérateur pour éviter un arrière-plan surexposé. »
Hervé Maury, chef opérateur de prises de vues, qui connaît déjà la PMW-F55 pour l’avoir utilisée sur d’autres projets, est lui aussi très enthousiaste : « Cette caméra apportera une nouvelle écriture pour la série. Nous allons devoir changer un peu nos habitudes et réfléchir à une autre manière de raconter nos histoires. Et la mise au point joue en notre faveur. Elle est certes plus précise mais pas insurmontable et elle nous permettra de raconter les choses différemment ! » Cette nouvelle narration sera également influencée par le nouveau rapport de focales. Les caméras PMW-F55 seront équipées de zooms Canon 17-120 mm comme optique de base et de zooms Fujinon 85-300 mm pour les plans plus serrés.
Pour l’équipe maquillage, la finesse de détails de la caméra inquiète et séduit à la fois. « Nous devrons faire attention aux détails car nous aurons une meilleure définition, mais nous profiterons aussi d’une plus belle image et notre travail sera mis en avant. »
Durant l’atelier organisé dans un des studios de tournage de la série, les techniciens ont pu poser ouvertement toutes les questions qu’ils souhaitaient à l’équipe de Sony. Avant la mise en production, tous désiraient tester la caméra pour pouvoir tirer le meilleur profit de ce nouvel outil prometteur.
Les premiers épisodes tournés avec les PMW-F55 seront diffusés sur France 3 à partir du 11 mai 2015.
Plus Belle la vie est une production Telfrance Série et Rendez-Vous Production série avec la participation de France Télévisions Production exécutive associée : France Télévisions – Domaine Opérations/Filière production Retrouvez "Plus Belle la vie" du lundi au vendredi à 20h20 sur France 3.
Source : http://www.mediakwest.com/tour [...] -sony.html
Streaming : Plus belle la vie plus regardée que Game of ThronesHadopi vient de publier une étude qui montre les habitudes des Français en matière de streaming et de téléchargement de biens culturels dématérialisés sur le Net. [...]
La Haute Autorité a interrogé près de 6.000 internautes pour connaître leur consommation de biens et services dématérialisés. Musiques, films, séries télévisées: les sondeurs ont passé au peigne fin les préférences des Français en matière de streaming et de téléchargement, de façon légale ou illégale.
C'est Plus belle la vie qui arrive en tête des séries télévisées les plus regardées en streaming devant Game of Thrones et Grey's Anatomy. Le site sur lequel les internautes se rendent le plus souvent pour visionner les épisodes reste Dpstream.tv (à 14%), devant France TV Pluzz et MyTF1 (à 11%).
Du côté des téléchargements, Plus belle la vie n'est que 14e. La série quotidienne de France 3 est tout de même le premier bien culturel made in France du sondage. Enfin, notons que l'âge moyen des internautes consommateurs de streaming oscille entre 18 et 24 ans. Pour télécharger, ils sont âgés entre 40 et 59 ans, en moyenne.
http://tvmag.lefigaro.fr/le-scan-tele/series/2015/10/19/28005-20151019ARTFIG00216--streaming-plus-belle-la-vie-plus-regardee-que-game-of-thrones.php
PARIS MATCH
Hélène Médigue et Florence Pernel jouent au Théâtre de Paris dans l'un des plus grands succès de Woody Allen, "Maris et Femmes". Une belle chronique conjugale à la sauce New-Yorkaise qui fera réfléchir les spectateurs...
Paris Match. Hélène, vous avez adapté avec Christian Siméon le scénario « Maris et Femmes » de Woody Allen. Avez-vous rencontré des difficultés pour la lui faire valider ?
Hélène Médigue. Nous avions écrit sept versions et une fois que nous étions certains de la qualité, nous l’avons envoyé à Woody Allen. Au bout d’un mois, il l’a validé. Quel soulagement !
Vous jouez avec Florence Pernel. Vous connaissiez-vous avant cette pièce ?
Hélène Médigue. Florence est une amie. Elle a joué avec mon mari, Samuel Labarthe, dans la pièce de théâtre « La boutique au coin de la rue » en 2001. Nos filles sont aussi très proches.
Florence Pernel. Hélène m’a fait un très beau cadeau en me proposant ce rôle. D’habitude, je joue les femmes braves ou les romantiques. Mais avec l’âge, ça s’éteint !
Florence, parlez-nous de ce rôle aux antipodes de ceux que vous jouez habituellement...
Florence Pernel. Sally est un personnage égomaniaque, cassant et autoritaire. Elle est très tournée sur elle-même. Elle est tellement en dehors de son corps qu’elle pense à autre chose lorsqu’elle fait l’amour avec son mari.
Hélène Médigue. Il faut être virtuose et une grande actrice pour jouer son rôle !
Et vous Hélène, parlez-nous de Judy…
Hélène Médigue. Judy est le personnage le plus ambigu de la pièce. Elle n’admet pas que son couple ne fonctionne plus après dix ans de concubinage. Cette pièce est un vrai chassé croisé amoureux. Les couples se font, se défont et se refont. Un thème universel et intergénérationnel !
« Maris et Femmes » traitent des relations conjugales du temps qui passe... A-t-elle des répercussions sur votre vie privée ?
Florence Pernel. Aucune ! Ma vie est bien cadrée comme je l’entends. Mon rôle n’est que du jeu et il n’y a aucune conséquence dans mon propre couple !
Hélène Médigue. Les couples au bord du gouffre se reconnaîtront !
L’adaptation française est-elle très différente du scénario original ?
Florence Pernel . Il est difficile de se calquer sur l’esprit américain. La frigidité américaine n’est pas la même que la française. La française, elle, reste toujours sensuelle. Il y a un coté beaucoup plus sec chez les Américaines. Même si je joue les frigides, mon côté français s’échappe…
Hélène Médigue. Les femmes françaises s’abandonnent plus. Ce n’est pas une trahison mais une adaptation du film.
Les amateurs de Woody Allen ne seront-ils pas déroutés par cette adaptation française ?
Hélène Médigue . Le scénario a été adapté en comédie. A l’époque de la sortie du film en 1992, Woody Allen et Mia Farrow étaient en train de se quitter. L’ambiance devait être bien pesante ! Le film fait sourire mais la pièce, elle, fera rire le spectateur. Je tiens particulièrement à remercier le directeur du théâtre, Richard Caillat, qui a eu l’audace de mettre à l’affiche cette pièce.
Pensez-vous que Woody Allen viendra vous voir ?
Hélène Médigue. Je pense qu’il viendra... J’aime les utopies.
Florence Pernel. Je suis une grande traqueuse et je ne voudrais surtout pas être prévenue de sa présence.
Quels sont vos films préférés de Woody Allen ?
Hélène Médigue. « Annie Hall » et « Manhattan »
Florence Pernel. J’ai un faible pour « Alice » et « La Rose Pourpre du Caire ».
Quels sont vos projets ?
Florence Pernel. Je fais un passage dans le futur film de Cédric Klapisch et un téléfilm sur France 3 avec Vincent Winterhalter où nous formons un couple improbable de détective. J’adore travailler avec lui.
Hélène Médigue. Je réalise depuis huit mois un documentaire sur la disparition des médecins généralistes. La réalisation est mon autre passion. J’ai déjà réalisé un moyen métrage sur l’autisme. Cette maladie me tient particulièrement à cœur car mon frère ainé est atteint du syndrome d'Asperger. J’ai grandi dans son monde à lui et il m’a permis d’être différente.
Les comédiens de PBLV ont posé pour Gala !A l’occasion des fêtes de fin d’année, une bonne partie du casting de Plus belle la vie a pris la pose sur la place du Mistral… Elodie Varlet (Estelle), Cécilia Hornus (Blanche), Laurent Kérusoré (Thomas), Marie Reache (Babeth), Bryan Trésor (Baptiste), Pauline Bression (Emma), Léa François (Barbara) et Avy Marciano (Sacha) ont participé à une séance photos pour le magazine Gala numéro 1176 disponible en kiosques depuis le 22 décembre 2015.
Au cours d’une interview, Laurent Kérusoré s’est souvenu du Noël d’il y a onze ans, lorsque la production, Telfrance, lui a appris qu’il était retenu pour le feuilleton. « Tout le monde a alors passé de très bonnes fêtes, parce que le petit avait du boulot pour l’année qui suivait » s’est-il remémoré. Humeur un peu plus mitigée cette année : « J’ai perdu l’an passé mes grands-parents, puis ma tante et mes filleuls ne seront pas là » a-t-il ajouté.
Elodie Varlet a été marquée à Noël par de grandes tablées, des danses jusqu’au bout de la nuit et sa toute première poupée.
Bryan Trésor qui va retrouver les siens à Cannes a confié « Depuis que je sais que le Père Noël n’existe pas, ce n’est plus pareil. A Noël, je confesse à ma mère toutes les bêtises faites pendant l’année. C’est comme un rituel pour moi ».
Pauline Bression a expliqué « Je me souviens surtout du caniche Praline que m’avait offert mes parents. J’en étais dingue. Je lui mettais même des cadeaux sous le sapin ».
Léa François va retrouver sa famille en Seine-et-Marne mais elle ne va pas préparer le repas. « A cause de mon personnage, tout le monde est persuadé que je suis un fin cordon bleu. C’est complètement faux ! » a-t-elle assuré.
Avy Marciano a déjà commencé le marathon des festivités. De confession juive, il a débuté par Hanouka début décembre et se prépare à poursuivre avec Noël. « Depuis la naissance de mes enfants, nous enchaînons les deux fêtes. Tout ça est très joyeux, féerique et les mômes sont littéralement couverts de cadeaux » a-t-il glissé.
Marie Reache a confessé un passé de garçon manqué. « J’avais reçu des Playmobil avec des skis. Je suis sortie pour jouer avec et j’en ai profité pour mettre une limace dans ma bouche. Ma mère l’a attrapée alors que je la machouillais et que je déplorais : « Pas bonne la bébête ! » ».
Enfin, Cécilia Hornus (Blanche) a une pensée pour son père. D’origine alsacienne, celui-ci réveillait ses six enfants le 25 au matin avec des chants traditionnels de leur région. « Le tout accompagné d’un kouglof. Je fais pareil avec mes deux grands enfants, les chansons en moins ! » a-t-elle avoué.
Comment les millions de "Plus belle la vie" s'évanouissent en Belgique
40% des droits du feuilleton appartiennent à une mystérieuse société dont les actionnaires se cachent derrière une cascade de holdings en France et en Belgique.
Plus belle la vie est un joli fromage. Son budget -estimé à 35 millions d'euros par an financés en quasi-totalité par France 3- est le plus important de la fiction hexagonale.
Mais qui se partage ce gâteau? "Telfrance et Rendez-vous Production Série", indique le générique du feuilleton de la Trois. Si tout le monde sait que Telfrance appartient au groupe Newen, en revanche le mystère plane sur l'autre co-producteur, qui détient 40% des droits du feuilleton quotidien, selon Les Echos.
Une vingtaine de millions de profits
Rendez-vous Production Série SARL a pour activité quasi-unique la co-production du feuilleton marseillais. Mais cette société cultive l'opacité, et n'a pas déposé ses comptes au greffe depuis 2006. Des comptes pourtant opulents: un chiffre d'affaires de 15 millions d'euros, et une marge nette qui dépasse les 15%.
Depuis sa création, cette société a ainsi dégagé une vingtaine de millions d'euros de profits nets. Mais pour savoir où est passé cet argent, mystère! En effet, déterminer l'actionnariat exact est mission impossible. Car la société est détenue par une cascade de holdings imbriquées les unes dans les autres, immatriculées en France et en Belgique, aux actionnaires parfois inconnus.
Actionnariat opaque
Toutefois, certains bénéficiaires de ce montage complexe ont pu être identifiés. D'abord, le président fondateur de la société est François Charlent, qui en détenait (indirectement) 30% jusqu'en 2013. Né en 1957, ce vieux routier de la production française participe à la production du feuilleton depuis l'origine. L'argent remonte jusqu'à sa société personnelle FC Holding, qui lui a reversé 1,38 million d'euros de dividendes entre sa création et 2012.
Mais l'autre actionnaire (qui détenait indirectement 69%) est plus opaque. Jusqu'en 2013, il s'agissait d'une société baptisée Majorie Production SAS. Cette dernière n'avait quasiment pour seuls revenus que les profits provenant du feuilleton quotidien. Cet argent était ensuite redistribué sous forme de dividendes: au total, 7,7 millions d'euros entre sa création et 2012.
Ces dividendes sont donc allés aux actionnaires de Majorie Production SAS. Certains de ces actionnaires ont pu être identifiés (cf. document ci-dessous). Il s'agit d'abord d'un des principaux producteur français, Jean-François Boyer. Ce dernier est actionnaire par au moins deux canaux différents: d'une part sa holding personnelle, et d'autre part une société belge dont il est associé. Jusqu'en septembre 2004, Jean-François Boyer fut président du directoire de Telfrance, mais sans en être un actionnaire important. A ce poste, il négocia le contrat de Plus belle la vie avec France 3, mais, peu après avoir remporté ce contrat, il quitta Telfrance au moment même où le feuilleton débarquait sur les écrans. Depuis lors, Jean-François Boyer dirige un important producteur français, Tetra Media Studio, qui produit Profilage, Un village français, Les Hommes de l'ombre, Entrée libre, Tellement vrai...
Une infirmière et un conseiller en bâtiment
Un autre actionnaire de Majorie Production SAS est Josiane Meacci, infirmière de profession, et surtout épouse de Jean-Michel Rivier, qui est un des dirigeants du groupe Tetra Media.
Mais le principal actionnaire de Majorie Production SAS reste totalement opaque. C'est une autre société belge, créée en 2004. À l'origine, son gérant et unique associé était un certain Georges Richelle. Depuis 2009, son gérant est Pierre Donner, un consultant bruxellois spécialisé dans... le bâtiment. Interrogés, ni François Charlent, ni Jean-François Boyer, ni Jean-Michel Rivier, ni Pierre Donner n'ont voulu dire qui étaient les actionnaires actuels de cette société belge.
Enfin, et non des moindres, ce montage a été modifié récemment pour des raisons inconnues. En 2012, Jean-François Boyer a créé une holding au Luxembourg pour y apporter ses actions dans Majorie Production SAS et ses 30% dans Tetra Media Studio. Puis, en 2013, Majorie Productions SAS s'est retiré du capital de Rendez-vous Production Série SARL, qui reste dirigée par François Charlent.
Contactés, François Charlent, Jean-François Boyer, Jean-Michel Rivier, Pierre Donner et Jean-Philippe Laroche n'ont pas répondu.
BFM BusinessInterview de Juliette Chêne qui était dans "Camping Paradis" avec Elodie Varlet (épisode "Miss Camping").
Télé-Loisirs : Comment s’est passé le tournage de cet épisode de Camping Paradis ?Juliette Chêne : C’était très cool, le lieu du tournage est magnifique, sur la Côte bleue. Nous avons tourné en novembre, mais il fallait jouer l’été avec des températures pas très élevées.
Vous jouez une jeune femme homosexuelle. Cela reste assez rare à la télévision…
Oui, j’ai beaucoup aimé de pouvoir jouer cela sous l’angle des relations humaines, des problèmes d’un couple plus que l’homosexualité elle-même. Avec mon personnage, j’avais à jouer des situations de jalousie, le problème pour trouver sa place et se faire entendre.
Qu’avez-vous pensé lorsqu’on vous a proposé ce rôle ?
C’était un peu déroutant au départ, de voir ça dans une série de 20h55 sur TF1. Quand j’ai pensé les essais, j’étais contente qu’on pense à moi pour incarner une nana qui aime les nanas, car c’est souvent caricatural.
Vous jouez avec Elodie Varlet. Aviez-vous tourné ensemble dans Plus belle la vie ?
Nous avions très peu tourné ensemble dans Plus belle la vie, car j’ai quitté la série il y a neuf ans, au moment où elle arrivait. On ne se connaissait pas vraiment par ce biais là.
Les fans de Plus belle la vie se souviennent de votre personnage dans la série. Qu’avez-vous fait depuis ?
Plus belle la vie a un impact énorme pour les téléspectateurs. J’ai eu la chance de travailler, mais pour faire des choses moins médiatiques, des rôles de guests sur TF1 par exemple. J’ai aussi eu la chance de jouer au théâtre, dans une pièce que mon père a écrite (son père est le journaliste sportif Patrick Chêne, ndlr), entre 2009 et 2015. La vie de comédien, c’est l’intermittence, avec des périodes où l’on travaille moins. C’est un métier difficile car nous sommes dans l’attente.
Quels sont vos projets désormais ?
Ce début d’année est une phase de mutation. Nous travaillons sur l’adaptation de la pièce "C'est pas gagné" en film. Le projet est écrit, nous en sommes à la production, ça avance doucement. Dans la pièce, nous étions trois, là il y aurait beaucoup plus de personnages. Les deux protagonistes principaux seraient les mêmes, Jean-Charles Chagachbanian (son compagnon, rencontré sur le tournage de Plus belle la vie, ndlr) et moi. On adore travailler ensemble. J’ai aussi très envie de refaire du théâtre et il y a des séries et des téléfilms qui sont en train de se monter. Je suis toujours dans la course.
Aimeriez-vous tenir le rôle principal d’une série ?
Oui, il y a de plus en plus de rôles féminins développés, de belles choses à défendre. Je suis peut-être un peu trop jeune quand on voit des séries comme Nina par exemple. Ce sont plutôt des rôles de quadragénaires, des mères de famille.
Pourriez-vous revenir un jour dans Plus belle la vie ?
[#ff2600]Ce n’est pas en projet. Je m’entends très bien avec la production, je ne suis pas du tout partie en claquant la porte. J'avais juste envie de me frotter à la réalité du métier. Il ne faut jamais dire jamais. Mon personnage fait le tour du monde, elle voyage.[/#ff2600]
Quels contacts gardez-vous avec vos anciens partenaires ?
Je n’ai pas beaucoup de contacts. J’ai vu Laurent Kérusoré pour son concert l’autre jour. On ne se voit quasiment jamais mais c’était l’occasion. Je suis très amie avec Cécilia Hornus, Anne Décis et Aurélie Vaneck. Nous sommes un bon petit groupe et nous nous suivons.
http://www.programme-tv.net/ne [...] tte-chene/