USGS : L'épisode du jour, commentaires au quotidien (archive 14)

J'ai refait une tentative hier de regarder USGS.
Je crois que j'ai compris ce qui me dérange dans cette série et pourquoi je n'accroche pas : une grande partie des acteurs sont des acteurs assez connus issus de nombreux téléfilms et surtout des acteurs que j'aime pas dans les téléfilms.
Alors que chez ITC et DNA seuls un ou 2 acteurs étaient déjà connus. Les autres sont des nouveaux acteurs, vierges de tout autre personnage que je n'aimerais pas.

Violette, je ne trouve pas la période actuelle très palpitante, il y manque plein de personnages plus hauts en couleur à mon goût. J'espère que tu referas des tentatives plus tard

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ailebrune a écrit:

L'hypallage est une construction où deux termes d'un même nœud syntaxique seraient incompatibles sur le plan sémantique sans l'inversion d'un des deux premiers termes avec un troisième terme in absentia, ou in praesentia dans un second nœud syntaxique.

Mouais... comment dire, quelques exemples ne seraient pas de trop.

Ah, en voilà :

ailebrune a écrit:

Exemples :
Ils avançaient, obscurs dans la nuit solitaire (Virgile... non, pas celui du Senzo )

Un vieillard en or avec une montre en deuil (Prévert)
Comme passe le verre au travers du soleil (Paul Valéry)

Mouais (bis).
C'est quand même un peu n'importe quoi. La poésie a bon dos.

Je préfère l'exemple de l'hypallage (ayé, je sais enfin l'écrire) simple :
Ôte-moi d'un doute, connais-tu bien Don Diègue ?
à la place de : Ôte un doute de moi...
Cet exemple est plus accessible, me semble-t-il.

PS Eh non, je ne suis pas màV ^^

Celui de Prévert me paraît plus simple :
Un vieillard en or avec une montre en deuil
"en or" se réfère à la montre et "en deuil" au vieillard.

L'hypallage, je suis même pas certain que ce soit étudié en lycée, je comprend que Bibine ait pu tiquer...

Oui, vraiment pas très malin ce Louis !

Recherche rapide sur internet, l’hypallage dans "congé au vent" de René Char se trouve dans l’expression "rencontre extrêmement odorante"

Un hypallage disons simple, c’est quand on attribue un adjectif à un nom alors qu’il se rapporterait + logiquement à un autre nom de la même phrase. 
C’est + compréhensible avec un exemple : l’odeur neuve de la robe ( Valéry Larbaud) ). Sans être poète, on dirait : l’odeur de ma robe neuve. 

Pour revenir au poème de René Char, ce sont les bras de la fille qui sont odorants, parce qu’elle a porté des fleurs ( et on peut penser parce qu’elle a travaillé par la chaleur, mais ce n’est pas dit). 

Voilà la phrase en entier :
« À l’époque de la cueillette, il arrive que, loin de leur endroit*, on fasse la rencontre extrêmement odorante d’une fille dont les bras se sont occupés durant la journée aux fragiles branches. »

* l’endroit des champs de mimosas

Sans hypallage ça donnerait un truc du style :
" il arrive qu’on fasse la rencontre d’une fille dont les bras extrêmement odorants se sont occupés toute la journée aux fragiles branches " ce n’est pas la même chose!!!

Oui, ça crée des surprises évocatrices !

T'as les bras qui sentent bon d'avoir cueilli le melon !

Ton visage a le goût de fromage. Camembert avalé dans haleine transpirée.

Moi aussi je sais écrire de la poésie

Shino, ami des poètes!

Moi j'aime bien Johanna, son évolution est logique, elle a pris un risque et finalement elle a bien fait. Son perso a changé mais dans le bon sens.
Tous les persos n'ont pas cette évolution qui tient la route.

Shinochaz a écrit:

T'as les bras qui sentent bon d'avoir cueilli le melon !

Ton visage a le goût de fromage. Camembert avalé dans haleine transpirée.

Moi aussi je sais écrire de la poésie

J'aime tes pieds camembert
Ta cuisine déchaussée
C'est un monde à l'envers
Faut s'en gausser

Je me croyais dans le topic des drôles d'expressions lol tout ceci est magnifique et très évocateur !

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Maïadelsol a écrit:

C'est de l'amateurisme dans la tricherie ! Comme lorsque tu copies sur ton voisin en recopiant mot pour mot... Je me souviens que les profs divisaient la note de chaque élève par deux, jusqu'à ce que le coupable se dénonce. Il avait alors zéro et le "copié" récupérait l'intégralité de sa note.

Cela dit, je pense que nous finirons pas découvrir l'origine du blocage de Louis. Je me demande quelle décision prendra Ève à son sujet.

Je me souviens que celui qui trichait finissait par crier à l'injustice aussi, le comble voyons.

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Maïadelsol a écrit:

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C'est drôle, mais pas anodin. Je me demande si Janet n'a pas du souci à se faire, avec la belle Claudine dans les parages...

Possible


En parlant de la discussion de Pauline et Becker Becker, qui vend à son ex, le fait que Paris, c'est mieux pour elle, et qu'elle n'a jamais aimé la province, je ne connais pas Montpellier, mais ça reste une ville peuplée un peu à la parisienne, mais beaucoup plus d'avantage à Montpellier non?? Loyer moins chère, la plage pas loin, j'imagine moins de touristes infestés en été. Et doit bien y avoir encore plus d'avantages. Et là, Pauline a sa famille.

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ailebrune a écrit:

Par contre, j'ai été déçue qu'il n'y ait pas plus de joutes ironiques entre ces deux-là. Un duo formidable, entre le monstre froid et la déjantée prête à toutes les pirouettes.



 

Ah oui dis donc, c'est coton. J'ai fini par comprendre avec quelques exemples donnés dans Wikipedia
Donc, la définition :
L'hypallage est une construction où deux termes d'un même nœud syntaxique seraient incompatibles sur le plan sémantique sans l'inversion d'un des deux premiers termes avec un troisième terme in absentia, ou in praesentia dans un second nœud syntaxique. C'est un procédé de caractérisation insolite, qui attribue à un mot ce qui conviendrait logiquement à un autre
Exemples :
Ils avançaient, obscurs dans la nuit solitaire (Virgile... non, pas celui du Senzo )

Un vieillard en or avec une montre en deuil (Prévert)
Comme passe le verre au travers du soleil (Paul Valéry)

Je raffole des dialogues entre Alix et Yann aussi. J'aimerais en avoir plus.

Claudine, pas Pauline

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ailebrune a écrit:

Violette, je ne trouve pas la période actuelle très palpitante, il y manque plein de personnages plus hauts en couleur à mon goût. J'espère que tu referas des tentatives plus tard

Oui 
Pour le moment je ne réessaye pas, j'attends que vous me disiez que ça vaut la peine.

Shinochaz a écrit:

Claudine, pas Pauline

Oup's; merci, pourquoi je l'appelle Pauline, ah oui je crois qu'avant j'avais vu le nom de l'actrice Pauline Bresson

Violette a écrit:

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Oui 
Pour le moment je ne réessaye pas, j'attends que vous me disiez que ça vaut la peine.

Et surtout tu as dû rien comprendre aux l'histoire car elles sont déjà bien entamé, on te tiendra au courant

Bonne chose d'avoir montré Hélène seule avec ce qu'elle a fait, car avant, on aurait pu penser qu'elle jouait la comédie, même si les médecins ont confirmé que non, mais toujours voir les réactions d'une personne quand elle n'a pas de public à convaincre.
Je pense que c'est pour cela que les auteurs l'ont fait, car sans ça, certains (téléspectateurs) auraient continué à penser qu'elle manipulait son état.


@Maïadelsol Après l'épisode de ce soir, je pense aussi à Maxime en ce qui concerne le sabotage du senso, cette façon de voler la concurrence puis il a eu des regards envers étrange envers Inès, je ne serais pas étonné qu'il soit un proxénète. Et que ses salles de sport soit autre chose que juste des salles de gym.

Le placement de produit pour Orange bank

Si la demande de non lieu de Levars passe, on sera dans une invraisemblance totale !

Oui et réintègre son travail! je vois mal Claire la croiser à l'hôpital ! Ce serait Claire qui démissionnerait!

Comme tu le dis, Manuela, les auteurs nous  confirment qu’Helene est sincère quand elle regrette ce qu’elle a fait subir à Claire. Son attitude seule chez elle nous confirme qu’elle n’a pas roulé psy et justice dans la farine.  

Mais c’est quelque chose de l’entendre, dans le bureau de la juge, dire, en parlant de Claire,  « je pensais faire ça pour son bien »!!!


Levars se croit au Tribunal dans les couloirs de l’HP. Hallucinant l’échange avec la médecin, qui n’est pas l’experte chargée du dossier judiciaire et qui affirme qu’Helene « n’a pas à répondre de ses actes devant la justice ». En plus, elle se prend pour une juge! 

Levars se remet à plaider comme au tribunal dans le bureau de la juge pour demander la remise en liberté d’Helene. J’ai été étonnée que la juge ne lui dise pas de se contenter d’exposer les faits avec précision, rapports médicaux à l’appui.