*** topic du PERSO-NAZE !!! *** [Archive 3 Août - Octobre 2017]

Maïadelsol a écrit:

Cadran géant a écrit:

Oui, voilà, ça, ça aurait du sens au moins.

Céline va bien finir par passer au bar, et comme toutes les conversations confidentielles ont lieu à portée d'oreille de Roland, de Barbara ou  de Sabrina, celle-ci va comprendre qu'il s'agit de l'avocate de son copain SDF, et elle lui proposera de témoigner !

Classique.

Décidément ;Riva la leçon ne lui a pas suffi , voilà qu il en remet une couche !!! trop fort , la porte qui claque et lui qui se retrouve empêtré avec ses plats qui se dézinguent Mais il attend quoi Frank pour changer sa serrure?!!

Coralie, qui trouve moyen de casser Clément en lui disant que c'est plus facile de captiver les élèves avec Thomas Pesquet qu'avec le programme de l'EN. Pourtant, il se pourrait qu'il ait reboosté les élèves, qui se demandent souvent à quoi servent les maths. Si c'est le cas, cela lui facilitera la tâche, à elle.

Et rien ne lui interdisait de prendre une heure pour le faire, elle ! Ca vaut le coup de prendre du temps, si ça peut motiver ne serait-ce qu'un ou deux élèves.

C'est autorisé par l’Éducation Nationale de demander à un parent d'élève de faire cours à sa place, au pied levé, comme ça ? 

Cadran géant a écrit:

Coralie, qui trouve moyen de casser Clément en lui disant que c'est plus facile de captiver les élèves avec Thomas Pesquet qu'avec le programme de l'EN. Pourtant, il se pourrait qu'il ait reboosté les élèves, qui se demandent souvent à quoi servent les maths. Si c'est le cas, cela lui facilitera la tâche, à elle.

Et rien ne lui interdisait de prendre une heure pour le faire, elle ! Ca vaut le coup de prendre du temps, si ça peut motiver ne serait-ce qu'un ou deux élèves.

Au contraire, je suis plutôt d'accord avec elle ! (Pas sur le côté cassant, hein ) Évidemment que c'est plus facile d'intéresser avec Pesquet qu'avec des équations !

C'est vrai que nombre de séries ou de films nous montrent d'un côté des professeurs rasoirs et inintéressants qui font simplement leur cours, et de l'autre des professeurs novateurs, ou comme ici, des intervenants, qui ont tout compris, et ne font pas cours, mais sont tellement passionnants qu'ils éveillent la curiosité des élèves. Sauf que, être professeur, c'est enseigner des programmes, des savoirs, des compétences. Surtout dans des matières comme les mathématiques. Ça n'est pas toujours très amusant, mais c'est ce qu'on attend d'eux.

Tu me diras qu'un savant mélange des deux, ce serait pas mal, et je serai d'accord ! Mais j'imagine que ça ne doit pas être aisé d'être passionnant à chaque heure de cours. Bon, avouons que Coralie ne fait certainement aucun effort pour l'être, passionnante. 

Pour le reste, je te trouve très optimiste, je ne suis pas sûre que puisque les élèves auront adoré découvrir l'intérêt des maths à travers l'aventure Pesquet, ils vont tout à coup se mettre à travailler assidûment leurs équations. A moins que ce ne soit moi qui sois pessimiste.

Cette scène m'a carrément mise mal à l'aise.
Il est évident que, même si Baumel avait été barbant, les élèves ne se seraient pas permis d'êtres grossiers pendant cette heure de cours -ne serait-ce que parce que c'est son fils le plus grossier et qu'il n'allait pas casser son père !

Donc on nous présente une Coralie (que je ne défends pourtant pas systématiquement), prof depuis des années, incapable d'intéresser ses élèves, face à un Baumel très à l'aise avec des notions mathématiques dont on ne sait même pas si elles sont au programme de cette classe, qui les captive en leur racontant une belle histoire ...

Alors qu'au départ, le problème posé était "comment ne pas se laisser déborder par un/des élèves pendant un cours", à partir de quoi Coralie est allée voir un père d'élève ; que ce père a ironisé sur le fait que c'était sûrement elle qui n'arrivait pas à intéresser ses élèves, on a une lecture possible de la scène d'hier soir : oui, Coralie est nulle comme prof, puisqu'un type qui se fait passer au départ pour inculte (il se garde bien de parler de son niveau et joue au "manuel méprisé par les intellectuels") captive jusqu'après la sonnerie une classe où l'on entendrait une mouche voler ...

Paty a écrit:

Cette scène m'a carrément mise mal à l'aise.
Il est évident que, même si Baumel avait été barbant, les élèves ne se seraient pas permis d'êtres grossiers pendant cette heure de cours -ne serait-ce que parce que c'est son fils le plus grossier et qu'il n'allait pas casser son père !

Donc on nous présente une Coralie (que je ne défends pourtant pas systématiquement), prof depuis des années, incapable d'intéresser ses élèves, face à un Baumel très à l'aise avec des notions mathématiques dont on ne sait même pas si elles sont au programme de cette classe, qui les captive en leur racontant une belle histoire ...

Alors qu'au départ, le problème posé était "comment ne pas se laisser déborder par un/des élèves pendant un cours", à partir de quoi Coralie est allée voir un père d'élève ; que ce père a ironisé sur le fait que c'était sûrement elle qui n'arrivait pas à intéresser ses élèves, on a une lecture possible de la scène d'hier soir : oui, Coralie est nulle comme prof, puisqu'un type qui se fait passer au départ pour inculte (il se garde bien de parler de son niveau et joue au "manuel méprisé par les intellectuels") captive jusqu'après la sonnerie une classe où l'on entendrait une mouche voler ...

Pour ma part, cela ne m'a pas mis mal à l'aise. Au contraire, j'aime bien quand on fait bouger un peu les lignes en mettant en scène des situations qui ne sont pas convenues et inversent l'ordre établi : ici, le parent d'élèves manuel (on ne savait pas encore qu'il avait été ingénieur) qui fait preuve de davantage de pédagogie et s'en sort mieux face aux élèves que la prof diplômée. J'ai trouvé la démarche intéressante de la part des scénaristes.

Le fait est que Coralie l'a bel et bien méprisé à plusieurs reprises.

kikoudu33 a écrit:

Pour ma part, cela ne m'a pas mis mal à l'aise. Au contraire, j'aime bien quand on fait bouger un peu les lignes en mettant en scène des situations qui ne sont pas convenues et inversent l'ordre établi : ici, le parent d'élèves manuel (on ne savait pas encore qu'il avait été ingénieur) qui fait preuve de davantage de pédagogie et s'en sort mieux face aux élèves que la prof diplômée. J'ai trouvé la démarche intéressante de la part des scénaristes.

Le fait est que Coralie l'a bel et bien méprisé à plusieurs reprises.

C'est un peu le problème, il ne s'en sort pas mieux que la prof diplômée puisqu'ils ne font pas du tout la même chose. C'est ce qui a mis mal à l'aise Paty je suppose, qu'on puisse en arriver à cette conclusion.
Il est évidemment bien plus facile d'intéresser les élèves quand on est intervenant ponctuel et qu'on n'a pas à s'en tenir à un programme ni à un calendrier. Et encore plus quand l'élément perturbateur numéro un ne bronche pas devant papa. Ce n'est pas inintéressant à faire pour les élèves, mais imaginer des cours tels que Clément en a fait un tout au long de l'année n'est pas réaliste. (Mais ça peut inspirer Coralie sur l'introduction de notions concrètes d'application dans des exercices peut-être.)

Après cette intrigue ne traite pas spécifiquement de l'éducation nationale, c'est surtout du décorum pour faire évoluer la relation Coralie/Clément. Elle a voulu le piéger en le mettant directement devant la classe, elle s'est retrouvée bien bête que ça échoue et impressionnée par cet homme plein de surprises.

7fanfan7 a écrit:

kikoudu33 a écrit:

Pour ma part, cela ne m'a pas mis mal à l'aise. Au contraire, j'aime bien quand on fait bouger un peu les lignes en mettant en scène des situations qui ne sont pas convenues et inversent l'ordre établi : ici, le parent d'élèves manuel (on ne savait pas encore qu'il avait été ingénieur) qui fait preuve de davantage de pédagogie et s'en sort mieux face aux élèves que la prof diplômée. J'ai trouvé la démarche intéressante de la part des scénaristes.

Le fait est que Coralie l'a bel et bien méprisé à plusieurs reprises.

C'est un peu le problème, il ne s'en sort pas mieux que la prof diplômée puisqu'ils ne font pas du tout la même chose. C'est ce qui a mis mal à l'aise Paty je suppose, qu'on puisse en arriver à cette conclusion.
Il est évidemment bien plus facile d'intéresser les élèves quand on est intervenant ponctuel et qu'on n'a pas à s'en tenir à un programme ni à un calendrier. Et encore plus quand l'élément perturbateur numéro un ne bronche pas devant papa. Ce n'est pas inintéressant à faire pour les élèves, mais imaginer des cours tels que Clément en a fait un tout au long de l'année n'est pas réaliste. (Mais ça peut inspirer Coralie sur l'introduction de notions concrètes d'application dans des exercices peut-être.)

Après cette intrigue ne traite pas spécifiquement de l'éducation nationale, c'est surtout du décorum pour faire évoluer la relation Coralie/Clément. Elle a voulu le piéger en le mettant directement devant la classe, elle s'est retrouvée bien bête que ça échoue et impressionnée par cet homme plein de surprises.

Je suis d'accord avec toi sur le fond et je parlais surtout de la forme, de l'idée scénaristique en elle-même que je trouve bien pensée.

Oui, je pense aussi que c'est un prétexte pour faire passer la relation Coralie/Clément à la vitesse supérieure, de la faire évoluer vers un autre type de rapports, et cette idée est renforcée par le fait que Clément n'a pas/plus de femme et que donc Coralie pourrait venir combler ce manque.

D'accord avec Paty et Fanfan, moi j'ai trouvé cette scène surtout démago: faire croire qu'il est si facile de captiver les élèves, mais oui bien sûr...
   Mais effectivement, ce n'est qu'un élément de l'histoire Coralie/ Clément, je ne crois pas du tout qu'il y ait de la part des scénaristes une intention particulière (politique, par exemple...)

7fanfan7 a écrit:

kikoudu33 a écrit:

Pour ma part, cela ne m'a pas mis mal à l'aise. Au contraire, j'aime bien quand on fait bouger un peu les lignes en mettant en scène des situations qui ne sont pas convenues et inversent l'ordre établi : ici, le parent d'élèves manuel (on ne savait pas encore qu'il avait été ingénieur) qui fait preuve de davantage de pédagogie et s'en sort mieux face aux élèves que la prof diplômée. J'ai trouvé la démarche intéressante de la part des scénaristes.

Le fait est que Coralie l'a bel et bien méprisé à plusieurs reprises.

C'est un peu le problème, il ne s'en sort pas mieux que la prof diplômée puisqu'ils ne font pas du tout la même chose. C'est ce qui a mis mal à l'aise Paty je suppose, qu'on puisse en arriver à cette conclusion.
Il est évidemment bien plus facile d'intéresser les élèves quand on est intervenant ponctuel et qu'on n'a pas à s'en tenir à un programme ni à un calendrier. Et encore plus quand l'élément perturbateur numéro un ne bronche pas devant papa. Ce n'est pas inintéressant à faire pour les élèves, mais imaginer des cours tels que Clément en a fait un tout au long de l'année n'est pas réaliste. (Mais ça peut inspirer Coralie sur l'introduction de notions concrètes d'application dans des exercices peut-être.)

Après cette intrigue ne traite pas spécifiquement de l'éducation nationale, c'est surtout du décorum pour faire évoluer la relation Coralie/Clément. Elle a voulu le piéger en le mettant directement devant la classe, elle s'est retrouvée bien bête que ça échoue et impressionnée par cet homme plein de surprises.

Elle s attendait peut étre à ce que Clément lui demande le cours du jour.Il ne l a pas fait, il a plutôt axé son cours sur une leçon libre.Si Coralie choisit un jour, un cours analogue ressortant du programme scolaire, elle aura du succés aussi.

Baptiste
Coralie

Cadran Géant : a écrit:

Je dis juste que ce serait bien que les profs prennent parfois un peu de temps pour expliquer l'intérêt de leur matière.

... ou de tel et tel passage, oui, ce serait bien. Perso, j'étais mauvaise en maths, je ne comprenais pas à quoi correspondaient tels et tels calculs ; un jour que je révisais mon cours dans un bistrot, une copine étudiante m'a expliqué ce qu'était, dans la vie réelle, une dérivée : je ne dis pas que je suis devenue imbattable en intégrales et dérivées, mais j'étais toute contente de pouvoir mettre quelque chose de "réel" derrière cette notion !

Cadran géant a écrit:

Stokes a écrit:

Pour le reste, je te trouve très optimiste, je ne suis pas sûre que puisque les élèves auront adoré découvrir l'intérêt des maths à travers l'aventure Pesquet, ils vont tout à coup se mettre à travailler assidûment leurs équations. A moins que ce ne soit moi qui sois pessimiste.

Je n'ai pas dit ça.

C'est vrai ! Navrée d'avoir mal interprété ce que tu as dit. 

Stokes a écrit:

Cadran géant a écrit:

Je n'ai pas dit ça.

C'est vrai ! Navrée d'avoir mal interprété ce que tu as dit. 

Pas de souci !

Naze Alisson depuis qu elle est avec l étudiant, elle est pire, vulgaire, impulsive sous couvert d étre franche.Il y a mieux comme jeune fille pour cet étudiant distingué comme Léa qui est distinguée elle aussi.

fiesta341 a écrit:

Naze Alisson depuis qu elle est avec l étudiant, elle est pire, vulgaire, impulsive sous couvert d étre franche.Il y a mieux comme jeune fille pour cet étudiant distingué comme Léa qui est distinguée elle aussi.

Sauf que Léa est homosexuelle.

La mère de Samia, de quoi se mêle -t-elle ? Pauvre Samia, coincée entre son mari et sa mère qui en font tellement que même si elle arrêtait la pilule, elle ne tomberait pas enceinte. Par contre, elle va très vite retomber dans les bras de Djawed et on la comprend !

Allison et Benjamin, décidément, je n'aime ni l'un ni l'autre.

fiesta341 a écrit:

Naze Alisson depuis qu elle est avec l étudiant, elle est pire, vulgaire, impulsive sous couvert d étre franche.Il y a mieux comme jeune fille pour cet étudiant distingué comme Léa qui est distinguée elle aussi.

Ben parfois les contraires s'attirent ... Il aime peut-être les bad girls (méchantes filles), comme certaines aiment les bad boys (méchants garçons) ...

haddock47 a écrit:

La mère de Samia, de quoi se mêle -t-elle ? Pauvre Samia, coincée entre son mari et sa mère qui en font tellement que même si elle arrêtait la pilule, elle ne tomberait pas enceinte. Par contre, elle va très vite retomber dans les bras de Djawed et on la comprend !

Ben je comprends un peu la mère ... Jean-Paul lui a annoncé qu'ils allaient faire un deuxième enfant, la mère pense que l'affaire est décidée, et elle couve un peu sa fille, d'autant plus qu'elle la trouve soucieuse et que ça l'inquiète ...
Ce qui me gêne davantage, c'est le fait qu'alors qu'à aucun moment, Samia n'a clairement montré son enthousiasme pour ce deuxième enfant, du moins pas dans un avenir proche, Jean-Paul fait comme s'ils l'avaient décidé ensemble, et pour tout de suite.
Samia devrait être plus claire : "non, pas maintenant."

Paty a écrit:

fiesta341 a écrit:

Naze Alisson depuis qu elle est avec l étudiant, elle est pire, vulgaire, impulsive sous couvert d étre franche.Il y a mieux comme jeune fille pour cet étudiant distingué comme Léa qui est distinguée elle aussi.

Ben parfois les contraires s'attirent ... Il aime peut-être les bad girls (méchantes filles), comme certaines aiment les bad boys (méchants garçons) ...

Voilà, ce doit sûrement être ça.