USGS : L'épisode du jour, commentaires au quotidien (archive 21)

Maïadelsol a écrit:

Sinon, ton dernier point (achats compulsifs) me semble très pertinent : elle se dépêche de claquer les quelques euros que lui a donnés son photographe en une série de dépenses (restaurant, cinéma, discothèque) ! Je me suis d'ailleurs demandé si avec ses malheureux cinquante euros, elle pourrait financer une telle soirée pour deux...

D’accord pour les achats compulsifs.
Pour moi, elle dispose de 100€ avec les 50 que lui a prêtés Inès? 
Mais quand même, c’est peu pour une soirée ciné, resto, boîte à deux!

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Shinochaz a écrit:

En fait c'était une capture d'écran du portrait robot foiré de Samir, l'homme de main de Pavel. Je crois que tu parles de ça 

Je ne sais pas, j'avais vu un canard en noir et blanc:D mais ce n'est pas grave.

ailebrune a écrit:

Je me demande s'il n'est pas une sorte d'arnaqueur lui aussi. Quelque chose dans ses expressions, et la conversation rapide qu'il a eu au téléphone un matin/

Oui, finalement, ce Christian qui paraît bêtement enthousiaste et totalement roulé dans la farine par nos escroques, cache peut-être son jeu. 
Petit indice que ce coup de téléphone vite raccroché alors qu’il était chez Hélène.

ailebrune a écrit:

Alix qui se lance dans le haka des All Blacks

Trop drôle avec une Hélène qui ne hésite à arnaquer son mec et qui n’est pas du tout au diapason!

ailebrune a écrit:

Marc : On fait notre travail.
Le critique d'art : Votre travail ? Que… comment dire… votre organe de presse eût la moindre compétence en histoire de l’art m’avait complètement échappé. Et pas qu’à moi d’ailleurs.
Marc : Il m’avait échappé à moi que vous FUSSIEZ sur le point de pondre un best-seller

PS Oui, je sais, le critique d'art a sûrement un nom 

Un peu limite dans la caricature ce perso très cage aux folles… mais bien interprété. Et ça peut passer car c’est le seul perso gay masculin présenté comme ça.

Je tente Yvon Chaligny, sous le contrôle d’Argon.

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Val a écrit:

Oui, finalement, ce Christian qui paraît bêtement enthousiaste et totalement roulé dans la farine par nos escroques, cache peut-être son jeu. 
Petit indice que ce coup de téléphone vite raccroché alors qu’il était chez Hélène.

Je suis d'accord, ce Christian me semble suspect depuis le début, trop poli pour être honnête.

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ailebrune a écrit:

Maïadelsol le critique d'art : Alors voilà qu’après les Brenas inédits, cette poule de luxe  sans la moindre connaissance picturale nous sort un soi-disant précurseur de l’abstraction et personne ne moufte ???! Non mais c’est hallucinant !!!

C'était excellent, poule de luxe lui va bien.

Val a écrit:

D’accord pour les achats compulsifs.
Pour moi, elle dispose de 100€ avec les 50 que lui a prêtés Inès? 
Mais quand même, c’est peu pour une soirée ciné, resto, boîte à deux!

Ah mais oui, tu as raison pour les 100 euros en tout. Je me disais aussi, 50 euros pour payer tout ça, pfiouih !

raylen a écrit:

Corentin?

Nan  

Et pasValentin pasValentin pasValentin non plus

Val a écrit:

Un peu limite dans la caricature ce perso très cage aux folles… mais bien interprété. Et ça peut passer car c’est le seul perso gay masculin présenté comme ça.

Je tente Yvon Chaligny, sous le contrôle d’Argon.

Ah oui, ça me dit (vaguement) quelque chose, indice sur lequel personne ne devrait se fier 

nausikaa991 a écrit:

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Je ne sais pas, j'avais vu un canard en noir et blanc:D mais ce n'est pas grave.

ça casse pas trois pattes au canard en question

Ans a écrit:

Je suis officiellement fan de ce monsieur. Sa mèche folle et son emportement étaient savoureux. 
J’ai aimé aussi la finesse d’Ulysse qui fait le rapprochement entre le rouge et son amant puis sa visite à la galerie.
Cela dit, finalement je dois être aussi douée pour l’art qu’Alix mais la beauté des tableaux ne me saute pas du tout aux yeux. 

Le quiproquo entre Johanna et Milo était bien rendu. chacun déçu de l’autre et surtout dans l’incompréhension. Maléfique a mené son affaire à la perfection.

Sinon, c'est Ulysse qui est le peintre. Celui dont tu parles est Bilal le chimiste qui, en voyant les toiles Definod, reconnaît le rouge qu'ils ont concocté ensemble.

Bien d'accord avec toi sur le quiproquo entre Johanna et Milo. Bien aimé aussi Florent et Johanna qui, la mort dans l'âme, se résolvent à venir demander à Claudine de prendre des parts, et donc le pouvoir, dans le cabinet. Le tout sur fond de musique tragique.

ailebrune a écrit:

Nan  

Et pasValentin pasValentin pasValentin non plus



Ah oui, ça me dit (vaguement) quelque chose, indice sur lequel personne ne devrait se fier 

Jean-Luc Champomy ? 

ailebrune a écrit:

Sinon, c'est Ulysse qui est le peintre. Celui dont tu parles est Bilal le chimiste qui, en voyant les toiles Definod, reconnaît le rouge qu'ils ont concocté ensemble.

Bien d'accord avec toi sur le quiproquo entre Johanna et Milo. Bien aimé aussi Florent et Johanna qui, la mort dans l'âme, se résolvent à venir demander à Johanna de prendre des parts, et donc le pouvoir, dans le cabinet. Le tout sur fond de musique tragique.

Ça change de l'inspecteur gadget

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ailebrune a écrit:

Bien d'accord avec toi sur le quiproquo entre Johanna et Milo. Bien aimé aussi Florent et Johanna qui, la mort dans l'âme, se résolvent à venir demander à Johanna de prendre des parts, et donc le pouvoir, dans le cabinet. Le tout sur fond de musique tragique.

Claudine !

Ha ha, mais c'est pas possible d'être aussi tête en l'air que moi  
Je corrige

Et sinon, intéressant de voir qu'Hélène est de  plus en plus mal à l'aise à l'idée d'arnaquer "son" Christian. Au point de bloquer sa proposition financière juteuse. De quoi briser la cruche de Pérette-Alix (qui commençait déjà tous ses calculs en sautant de joie)

ailebrune a écrit:

Maïadelsol le critique d'art : Alors voilà qu’après les Brenas inédits, cette poule de luxe  sans la moindre connaissance picturale nous sort un soit-disant précurseur de l’abstraction et personne ne moufte ???! Non mais c’est hallucinant !!!

 

ailebrune a écrit:

Je me demande s'il n'est pas une sorte d'arnaqueur lui aussi. Quelque chose dans ses expressions, et la conversation rapide qu'il a eu au téléphone un matin/

Même impression aussi, je crains qu'Alix ne se réjouisse trop vite, cela va se transformer en arroseur arrosé..

Episode vraiment  

Que de bonnes répliques et scènes savoureuses !
(dont la chute sur les lasagnes avec Hélène, visage défait, au bord de révéler l'inavouable...)

Elise : C’est une histoire de fou. Cette nana était complètement inconnue jusqu’à ce qu’on retrouve des cartons remplis de négatifs après sa mort. Je te jure, c’est une vrai histoire.
Bilal : J’en doute pas
Elise : Alors viens ! Je suis sûre que ça pourra intéresser Ulysse.
Bilal : Oui, c’est sûr, ça lui rappellera le boulot.
Elise : Quoi ?
Bilal : Nan rien.

La scène avec la grue qui écrabouille la voiture et tout son contenu sur fond de valse de Strauss

Alix au téléphone avec Marc Mourre, qui tient prudemment son téléphone à distance pour éviter de se faire transpercer le tympan, mais elle n'élève pas la voix :
Me ressortez pas votre déontologie, hein, parce que sinon, je vais vous raccrocher au nez. C’est tout ce que vous méritez. Voilà. Je vous raccroche au nez maintenant. Biiiiiiiiiiiiiip.

Yin et Yang au téléphone

Alix : La bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe. Sauf si ça atteint les finances de ma galerie.

Alix : On va pas commencer à judiciariser les débats esthétiques.
Claudine : Attends, tu peux me la refaire celle-la ? Judiciariser les débats esthétiques… T’as trouvé ça sur Google ?

Alix : Pardon d’être un peu cultivée, d’avoir un avis sur les choses et d’utiliser les bons mots
Claudine : Excuse-moi  j’ai cru un instant que tu esquivais parce que tu t’étais encore fourrée dans une histoire, euh, tu vois, à la limite de la légalité.

Claudine : « la pierre à l’édifice artistique » ! Non mais ça finit de m’achever là.