donner sa chance à de jeunes femmes ok , mais un peu marre de ce discours en mode discrimination positive . Heureusement à un moment dans la vidéo la nana réalisatrice nuance en disant que ce n est pas un combat des femmes contre les hommes , mais parfois on se demande, franchement.
merci @Jon88 ! Horya est aussi nature que Betty, ça fait plaisir à voir! Pas de retour de Betty non mais je comprends qu'Horya veuille passer à autre chose.
L'itw parle de ses futurs projets, c'est super, mais j'aurais voulu savoir les conditions de son retour dans ce nouveau PBLV, a t-elle hésité avant de revenir? Savait-elle que c'était juste pour une arche?
Et elle ne parle pas de la comédie musicale La haine de Kassovitz, elle n'en fait plus partie?
Et c'est vrai qu'on a l'impression qu'elle a voulu rayer "PBLV" de sa filmo, car elle avait enlevé toute référence de sa présence dans la série Ses projets sont ambitieux, j'espère que ça marchera pour elle
Ces vacances d’été, vous les attendiez avec impatience ? Oui, j’avais hâte que l’été commence déjà pour revoir le soleil, car comme tout le monde je crois, il m’a sacrément manqué ! Sinon, je vais chanter à nouveau sur scène pour des concerts estivales. Et je vais travailler sur mon premier album : c’est mon rêve de gosse ! J’ai hâte !
Parlez-nous de ces vacances que vous n’oublierez jamais… Mes meilleures vacances, c’était quand on partait petit dans l’alpage de mes parents tout l’été pour accompagner les vaches dans leur transhumance au Plateau des Glieres à côté d’Annecy. On avait pas d’électricité jusqu’à mes 12 ans dans ce chalet, on vivait hors du temps et j’en garde des souvenirs impérissables.
Êtes-vous plutôt du genre à partir en famille, entre amis ou avec votre moitié / vos enfants ? En ce moment je suis célibataire donc j’oublie les vacances en couple, merci de remuer le couteau dans la plaie, mais heureusement j’ai des amis en or donc hâte de repartir avec eux, toujours à la dernière minute mais au moins on est jamais déçu.
Quelle est l’odeur, le parfum ou la boisson qui vous fait voyager immédiatement ? L’herbe coupée quand mes parents faisaient les foins… Oh la la le bonheur cette odeur. Pour la première fois j’ai d’ailleurs trouvé un parfum « herbes vives » d’Hermès qui se rapproche (un tout petit peu) de cette odeur car j’ai pas non plus envie de sentir le foin tout le temps !
Vous souvenez-vous de votre premier amour d’été ? Oui j’avais 18 ans et demi - à cet âge là ça compte - ! C'était la première fois que je tombais amoureux… On était tous les deux pour la première fois en couple et comme toutes les premières fois : c’était précieux. La rupture était moins précieuse en revanche ! Mais j’ai eu un bon psy !
Pour l’été, quel est votre plat préféré ? Tomate / mozzarella sans hésiter !
Et la destination idéale pour tout oublier ? Mais j’ai pas envie d’oublier moi ! Plus sérieusement pour déconnecter : Imsouane au Maroc où je suis parti surfer l’année dernière juste avant d’apprendre que j’allais intégrer Plus Belle La Vie, encore plus belle. J’allais tous les jours dans un endroit qui s’appelait le « Magic point » tenu par Zora et Frédéric. J’y passais des heures à lire et à contempler la mer, déconnection idéale !
En parlant de plat… Quel est le resto dans lequel vous me ramèneriez cet été ? Chiche ? On va au plateau des Glieres, mangez les beignets de pomme de terre Chez Constance ou au Restaurant Gautard avec la mythique Nathalie et son succulent gratin aux cèpes où je travaillais les étés quand j’étais plus jeune pour payer mes cours de chant et de théâtre !
Quelle est votre bande son de l’été ? En ce moment, « Les yeux d’Emilie » de Joe Dassin qui est bien repris ou encore « Training Session » de Dua Lipa ! Oui deux salles deux ambiances !
À quoi vont ressembler vos vacances d’été ? Voir mes amis, mes concerts, le mariage de ma cousine, revoir mes amis, refaire des concerts, et peut être les JO si je trouve des billets accessibles sans y laisser un poumon et enfin partir écrire des chansons pour mon premier album !
Quand elle dit : "c'est dans l'ADN de la série de ne pas mettre en avant un personnage plutôt qu'un autre", ça m'a fait bondir, parce qu'il me semble que Luna ces dernières années a quand même été mise en avant beaucoup beaucoup plus que les autres !
Elle commençait seulement à fissurer sa carapace. La commissaire Meïline Liao est apparue dans Plus belle la vie, encore plus belle, au mois de janvier dernier et s'est vite imposée comme une des mains de fer du commissariat. Froide et austère au premier abord, elle était en réalité plus empathique et joyeuse que ce qu'elle laissait paraître à ses équipes. Arrêtée pour avoir tiré accidentellement sur Thomas, alors qu'elle visait en réalité Mario Rossi, la commissaire est envoyée en prison, ce qui signe la fin de sa présence dans la série quotidienne de TF1. Une belle aventure pour son interprète, la comédienne Moon Dailly, qui faisait ses premiers pas dans une quotidienne et qui se confie à Diverto en exclusivité, revenant sur ces derniers mois de tournage et sur ce qui l'attend pour la suite.
Vous avez passé huit mois dans Plus belle la vie, encore plus belle. Comment était cette première expérience d'une quotidienne pour vous ? Moon Dailly : C'était génial ! Ca n'a pas été facile, parce que je viens de la fiction un peu plus traditionnelle et du cinéma, où on a plus de temps, plus d'espace. J'ai travaillé aux États-Unis aussi, où là c'est le luxe ultime (rires). En fait, j'ai adoré cette expérience, car ça m'a vraiment fait grandir en tant que personne, en tant qu'actrice. Dans une quotidienne, il faut vraiment aller à l'essentiel, il faut être présente à 200% tout de suite, ça demande une concentration très intense. Et, moi, ça m'a vraiment forcée à découvrir des ressources qui étaient en moi, que je n'utilisais pas, des facettes de moi-même dont je suis super fière. Être dans la série m'a responsabilisée par rapport à mon jeu et je me sens hyper puissante, hyper ancrée, c'est grâce à Plus belle la vie, encore plus belle. En décembre, vous nous disiez avoir été attirée par le côté "famille" de Plus belle la vie, évoqué par beaucoup d'acteurs. Vous avez trouvé ce que vous cherchiez ? Encore plus que ce que je pensais. Je vous avais dit que j'avais été très bien accueillie, que tout le monde était super bienveillant. Ca a vraiment été une ambiance familiale, on se retrouvait aussi à l'hôtel, à l'extérieur... J'ai tissé des liens très forts avec tout le monde et, en particulier, avec certains acteurs qui jouent aussi au commissariat, mais aussi les équipes techniques. On a des journées assez longues, on est tous ensemble, on se serre les coudes... On jouait des choses très puissantes et on ressentait des choses réelles, très profondes. Votre personnage, Meïline Liao, était aussi sèche que tendre, fermée qu'empathique. Qu'avez-vous préféré chez elle ? Justement, le fait que ça soit un personnage complexe. On a tous des côtés paradoxaux comme ça, moi aussi : je suis très sensible et très, très tendre, mes meilleurs amis, ma famille, vous diront combien je pleure facilement, de joie ou de tristesse. Mais j'ai aussi un côté battante, un peu ambitieux. J'ai pu vraiment explorer ces facettes chez mon personnage et j'aime qu'elle en joue : elle paraît très dure, mais en fait c'est un coeur d'artichaut et elle a des convictions super fortes, elle les défend. Qu'aimeriez-vous qu'on retienne de votre personnage, après 160 épisodes ? J'aimerais que mon personnage ait touché les téléspectateurs. Elle représente la justice, la droiture, la loi, mais j'aimerais qu'ils aient été touchés par sa fragilité, par ses blessures. C'est notre cas à tous, il y a l'armure et, en chacun d'entre nous, il y a une personne qui peut être blessée. Cette expérience m'a beaucoup remuée, ce personnage aussi, il m'a nourri, il m'a fait grandir, donc j'espère que ça aura trouvé un écho auprès du public. À lire aussi Plus belle la vie : cet acteur historique fait une apparition dans la série sur TF1 Qu'avez-vous pensé de cette intrigue autour de Meïline, qui était du coup votre dernière ? C'était un petit peu doux-amer, mais ce qu'on veut c'est jouer des personnages forts, défendre des trucs un peu techniques, qui sont parfois difficiles à défendre. C'est vraiment un cadeau que les scénaristes m'ont fait et c'était l'occasion de mieux la connaître. Meïline est un personnage que je voulais défendre, donc j'étais ravie, mais en même temps un peu triste de la quitter, même si c'est momentanément... Ah ! Savez-vous déjà si on pourra vous revoir dans la série ? Je ne sais rien (rires). On ne sait jamais ce que la vie nous réserve ! La commissaire va en prison, c'est un personnage qui a marqué ses équipes, qui, je l'espère, a marqué cette nouvelle version de Plus belle la vie. Je pense qu'on serait tous ravis de la revoir... J'ai beaucoup de messages sur les réseaux sociaux, de téléspectateurs qui ressentent la même chose que moi : cette intrigue est géniale, elle apporte du plaisir et des surprises et en même temps ils aiment beaucoup Meïline Liao. Votre dernier jour de tournage a dû être particulièrement émouvant... C'était complètement dingue et très, très, très intense. Dans une série quotidienne, on a tendance à regrouper les scènes qu'on tourne par lieux et, forcément, avec cette intrigue, je me suis retrouvée à tourner la plupart de mes séquences très intenses à la suite les unes des autres. En une journée, j'ai dû trouver les ressources pour servir une histoire avec des hauts et des bas. J'ai eu beaucoup de scènes avec Lola Marois, Jérôme Bertin, Iñaki Lartigue... C'était super intense, on jouait des trucs super durs, on se serrait dans les bras, on y retournait... Je me suis vraiment sentie aimée, choyée et, à la fin, tout le monde est descendu, a été là avec moi. C'était très beau et très fort et, quoi qu'il arrive, ça restera avec moi. On parle tout le temps des aventures humaines, mais c'est vraiment quelque chose de différent, de spécial, Plus belle la vie. Quels sont vos prochains projets ? J'entre en développement pour un film de Noël, mais je ne peux pas en dire plus, ça ne sera pas pour ce Noël, sûrement pour l'année prochaine. Je suis contente de me poser, de passer du temps sur l'écriture, sur le développement, sur les échanges avec les producteurs... C'était très intense les allers-retours avec Marseille et mon fils rentre en 6e donc j'ai envie d'être présente et de vivre cette grande transition avec lui. Donc, pour l'instant, récupérer un peu du rythme dingue d'une quotidienne, me nourrir de ce que j'ai vécu pour créer de nouvelles histoires.
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