Plus belles les séries (PBLV encore plus belle, USGS, DNA, ITC) - Le FORUM |
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| Rubrique PRESSE ! (archive 2) | |
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Auteur | Message |
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Tony Modérateur
| | Tony Modérateur
moderation@pblvfrance3.com
| Sujet: Re: Rubrique PRESSE ! (archive 2) 21/8/2022, 19:59 | |
| Society numéro 187, Un très bon dossier de 18 pages qui retrace la genèse du feuilleton, sous forme d'interviews croisées mêlant comédien(ne)s, anciens réalisateurs, scénaristes, producteurs, membres de France 3, décorateurs, etc. C'est très riche, très fourni, et intéressant, avec beaucoup d'anecdotes, d'analyses, de retours sur les polémiques (sans langue de bois). Je recommande ! |
| Tony Modérateur
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| Sujet: Re: Rubrique PRESSE ! (archive 2) 21/8/2022, 19:59 | |
| Quelques extraits piochés :
Vincent Meslet (producteur Newen) : On veut toucher les jeunes. A l'époque, beaucoup de gens disent que France 3 est une chaîne de vieux et se demandent pourquoi on va s'ennuyer avec des ados, mais dans le monde entier, le feuilleton quotidien a un public jeune. On ne veut pas céder sur ça.
Christine Coutin (France 3) : On passe six mois à débroussailler la centaine de projets reçus. On réduit à dix, cinq, deux. Face à "Mistral gagnant" (le titre originel de PBLV), l'autre projet s'appelle "Rue du Panier". Il est mieux ficelé, les personnages sont plus riches, mais ça se passe dans un immeuble et je me dis que rapidement, on va étouffer.
Bénédicte Achard (scénariste et co-rédactrice de la bible initiale) : Y a pas photo, je préfère le nom "Mistral Gagnant" mais la prod embauche une boîte de com' et ça devient "Plus belle la vie". On trouve que ça fait marque de magasin bio pour vieux.
Vincent Meslet: Pour structurer les épisodes de la semaine, on doit recommencer par la fin, par le cliffhanger du vendredi.
Georges Desmouceaux (scénariste et co-rédacteur de la bible initiale) : en fait, on recopie simplement la méthode des romans-feuilletons dans les journaux du XIXè siècle.
Marc Roux (directeur atelier dialogues) : A une époque, on disait que regarder PBLV, c'est regarder d'une autre manière le JT de 20H.
Rebecca Zlotowski (scénariste et réalisatrice) : on se rend rapidement compte que le produit est intéressant à travailler politiquement. Je sais qu'Olivier Szulzynger est engagé et quand on regarde PBLV, on se rend compte que le programme est vraiment creusé par la question écolo.
Christine Coutin (F3) : Traiter des sujets de société n'est pas toujours simple. Au moment des attentats de janvier 2015, on a reçu des premières arches disant "on va faire exploser quelqu'un sur la place du Mistral", mais non, ce n'est pas PBLV. Les gens veulent du réel, mais pas retrouver dans la série ce qu'ils voient au JT. J'ai fait chier tout le monde avec ça et j'ai refusé.
Sébastien Charbit (ex-producteur) : Tout ce qu'on peut taxer de "woke" maintenant a été fait dans PBLV. Peut-être parfois par opportunisme, je ne sais pas, mais ça a été fait. J'ai souvent lu qu'on était une série de gauchos.
Sébastien Charbit : Au moment des Gilets Jaunes, on a eu des échanges avec des gens qui s'occupaient de la communication du Gouvernement. Ils nous ont demandé : "vous parlez à une France à qui on ne parle pas, comment vous faites? Parce que nous, on ne les comprend pas".
Alexandre Fabre (acteur) : Au départ, je passe le casting pour un personnage qui ne m'intéresse pas trop, puis il y a un autre rôle, qui me correspond beaucoup plus, celui de Charles Fremont, un requin qui trempe dans des affaires louches, un méchant de service qui aide à revivifier la série.
Richard Guedj (ex-directeur d'acteurs) : Les acteurs prennent conscience de leur popularité au festival de Monte Carlo 2005. Quand on arrive, Roger Hanin (Navarro) est interviewé par des journalistes qui s'envolent d'un coup pour aller voir les acteurs de PBLV. Hanin lâche alors "Mais c'est qui ceux-là ?".
Michel Cordes (acteur) : Je n'ai pas une vie sociale normale: quand tu as 6 millions de personnes qui te regardent chaque soir, et que d'après les statistiques, 13 millions regardent au moins 5 minutes du programme, tu sais que dès que tu mets le pied dehors, une personne sur six ou sept connaît ta tête. (...) Il y a une lettre que je ne n'oublierai jamais, elle m'a été écrite par une femme vivant dans le nord, dont les parents habitaient dans le Gard. Elle m'invitait à son mariage. Sa mère était morte d'un cancer, et et son père vivait ses derniers moments. Elle me racontait que chaque matin, il allait sur la tombe de sa femme et lui racontait l'épisode de la veille.
Pierre Martot (acteur): Mon père a quitté l'école à 11 ans, ma mère à 16. Le seul loisir que j'avais avec eux, c'était la télévision. Au fond, je crois que mon destin était de devenir acteur populaire à la télé. Je n'aurais pas pu devenir un acteur intello.
Eric Fuhrer (ex-dialoguiste) : Certains auteurs n'ont accepté de bosser sur la série qu'à condition d'être sous pseudo !
Christophe Reichert (réalisateur) : J'ai eu le sentiment de perdre un peu ma liberté sur PBLV. C'est un produit très formaté, on nous a dit de rester dans les regards, de ne filmer les personnages que de face et non de dos, simplement car c'est quelque chose qui doit être aussi vu qu'entendu. On regarde un épisode en cuisinant, en mangeant ou faisant la vaisselle. Il n'y a pas de place pour les silences ou la musique. c'est du dialogue, non-stop.
Roger Wielgus (réalisateur) : C'est l'intrigue du COVID (épidémie à Marseille-est et mise en quarantaine de l'hôpital) qui m'a poussé à partir. J'ai dit aux auteurs qu'ils étaient complètement fous d'écrire des choses pareilles. On n'avait pas de couloirs d'hôpitaux, on a fait venir des gens habillés en cosmonautes, des infirmières ont du parler avec des masques, ... c'est la pire semaine de tournage que j'aie connue sur la série.
Christine Coutin (France 3) : L'arrêt de PBLV pendait au nez du programme depuis quelques années, encore plus depuis que NEWEN a été racheté par TFA (à hauteur de 70% en 2015, puis 100% en 2018). en finançant PBLV, France 3 engraisse un concurrent et une chaine privée avec de l'argent public.
Anne Holmes (directrice des programmes france télé) : on n'a pas su retenir le jeune public. Par ailleurs, on nous reproche souvent de ne pas nous renouveler, mais pour nous renouveler, il faut avoir de la place, et pour cela enlever des programmes. A la place de PBLV, on va se diriger vers une émission sportive qui mettra en avant la France pour les JO.
Laurent Kérusoré : à un moment, le chef de la gare St-Charles avait fait une grosse pancarte "Le bar du Mistral n'existe pas, merci!". Chaque jour, des centaines de personnes lui posaient la question.
Michel Cordes : Même si j'ai du corps, l'arrêt reste violent à encaisser. J'ai malgré tout compris avec le temps que ce genre de programme, c'est comme un être vivant, ça naît, ça grandit, se développe, périclite puis disparaît. C'est la loi de la vie...
Laurent Kérusoré : Même si certaines remarques du passé nous ont blessés, il y a un fait : on fait partie de l'histoire de la télé. Et je crois que ce n'est pas le cas de tout le monde.
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| ailebrune Super actif
| | Maïadelsol Super contributeur !
Âge : 72
| | Violette
| Sujet: Re: Rubrique PRESSE ! (archive 2) 22/8/2022, 08:59 | |
| » Voir le message cité - Tony a écrit:
Anne Holmes (directrice des programmes france télé) : on n'a pas su retenir le jeune public. Par ailleurs, on nous reproche souvent de ne pas nous renouveler, mais pour nous renouveler, il faut avoir de la place, et pour cela enlever des programmes. A la place de PBLV, on va se diriger vers une émission sportive qui mettra en avant la France pour les JO.
Ils ont pas fini de nous faire ch*er avec le sport et les JO ! Il y en a qui n'aiment pas le sport et encore moins les JO (moi par exemple et tout mon entourage) et on va devoir en bouffer pendant plusieurs mois si pas années, infos, émissions etc... |
| Maïadelsol Super contributeur !
Âge : 72
| Sujet: Re: Rubrique PRESSE ! (archive 2) 22/8/2022, 10:52 | |
| Je te comprends, Violette. C'est pareil pour moi. C'est là que je suis contente de ne pas avoir de télévision, et de regarder en replay sur l'ordinateur ce que je veux quand je le veux ! |
| Violette
| Sujet: Re: Rubrique PRESSE ! (archive 2) 29/8/2022, 22:15 | |
| Marie Hénnerez a accouché le 16 juillet d'un petit Marius. Elle dit reprendre le chemin des studios pour le dernier prime du 18 novembre. Léa François est enceinte aussi.
https://www.magicmaman.com/marie-hennerez-plus-belle-la-vie-est-maman-pour-la-premiere-fois-un-prenom-vintage-pour-son-bebe,3707789.asp |
| clement
| | Violette
| Sujet: Re: Rubrique PRESSE ! (archive 2) 30/8/2022, 08:59 | |
| - clement a écrit:
- Et l actrice qui joue fanny aussi , à t elle accouché
Oui, dans l'article il est indiqué que Prudence Leroy a accueilli son 2ème enfant au printemps. |
| jozephine
| Sujet: Re: Rubrique PRESSE ! (archive 2) 30/8/2022, 17:25 | |
| https://www.francetvinfo.fr/culture/series/marseille-les-derniers-tournages-du-feuilleton-culte-plus-belle-la-vie_5334043.html
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| Invité Invité
| Sujet: Re: Rubrique PRESSE ! (archive 2) 31/8/2022, 19:36 | |
| @Tony Merci pour toutes ses infos, un vrai régal. - Violette a écrit:
- » Voir le message cité
Ils ont pas fini de nous faire ch*er avec le sport et les JO ! Il y en a qui n'aiment pas le sport et encore moins les JO (moi par exemple et tout mon entourage) et on va devoir en bouffer pendant plusieurs mois si pas années, infos, émissions etc... » Voir le message cité - Maïadelsol a écrit:
- Je te comprends, Violette. C'est pareil pour moi. C'est là que je suis contente de ne pas avoir de télévision, et de regarder en replay sur l'ordinateur ce que je veux quand je le veux !
Je vous comprends, j'ai la télévision, mais franchement, je ne la regarde pas, et quand je le fais c'est surtout de la zapette, j'arrive pas à rester plus de trois minutes sur n'importe quel programme, dès que je l'allume c'est pour aller sur les Appli Disney, Amazon ou Netflix de toute manière. |
| Tony Modérateur
moderation@pblvfrance3.com
| Sujet: Re: Rubrique PRESSE ! (archive 2) 4/9/2022, 17:44 | |
| Plus belle la vie (France 3) : Marie Mallia (Lola) joue-t-elle avec un vrai loup ? (...) Trompée et trahie par Noé lors du dernier prime de Plus belle la vie, diffusé au mois de juillet dernier, Lola est passée par toutes les étapes de la séparation. Son besoin de se recentrer sur elle-même la poussé à prendre le large. Isolée dans l'arrière-pays depuis quelques semaines, elle s’est fait un copain pour le moins surprenant : un loup, qu’elle a baptisé Chaussette ! Marie Mellia, l’interprète de Lola, dévoile l’envers du décor de ces séquences. "C’était un chien loup tchécoslovaque, commence la comédienne. C’est un animal qui a la mentalité du chien et le physique du loup. Ils étaient deux : Emile et Gaston. Ils étaient adorables et très bien dressés. Il y en avait un, un peu plus hargneux que l’autre, que l’on prenait pour les scènes où il devait être plus effrayant, et le plus calme pour les séquences où il me léchait le visage."https://www.programme-tv.net/news/evenement/plus-belle-la-vie-la-serie/308689-plus-belle-la-vie-france-3-marie-mallia-lola-joue-t-elle-avec-un-vrai-loup/ LE PROGRES :
Dernière édition par Tony le 27/11/2022, 14:14, édité 1 fois |
| Violette
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| Sujet: Re: Rubrique PRESSE ! (archive 2) 25/9/2022, 19:23 | |
| Article intéressant, INA La revue des médias : Plus belle la vie : comment se dire adieu ? | la revue des médias (ina.fr) Plus belle la vie : comment se dire adieu ? C’est la plus longue série de l’histoire de la télévision française : dix-huit ans. Mais Plus belle la vie va s’arrêter, après 4 665 épisodes. Comment conclure ? Scénaristes et dialoguistes ont planché sur le clap de fin, prévu pour le 18 novembre.
par Justine Rodier, le 05 septembre 2022 Le 17 février, sur le plateau de Touche pas à mon poste, l’actrice Fabienne Carat (personnage de Samia Nassri) et Pauline Rocafull, scénariste depuis cinq ans, écoutent, sans parvenir à y croire, l’exposé très affirmatif que leur fait Cyril Hanouna : Plus belle la vie, le feuilleton phare de France 3, va s’arrêter. Au même moment, dans les bureaux de Newen France, Vincent Meslet, directeur général de la société de production de Plus belle la vie, comprend que le couperet va tomber. La rumeur courait depuis février, il se doutait que la fin était proche, mais en l’absence d’annonce officielle… « On ne voulait pas informer les équipes sans avoir de certitudes », se souvient-il. Quand finalement la décision tombe, les contours des conditions de l’arrêt sont encore floues. Pierre Monjanel, directeur de collection (la partie éditoriale de la série) depuis une dizaine d’années, n’avait « rien suspecté ». Tout de suite, il alerte la chaîne et la production sur les délais : « Nous étions en mars et nous venions de boucler les diffusions de l’été. » Environ trois mois sont nécessaires entre l’écriture et la diffusion d’un épisode et « les gens n’ont pas forcément ce décalage en tête. Il était primordial d’avoir une date fixe pour imaginer la fin en fonction. » Ce sera le 18 novembre. « Les premières décisions annonçaient l’arrêt pour septembre. Nous avons négocié plus de temps, mais c’est resté très court pour gérer cette crise sans impacter le côté artistique », explique Vincent Meslet. Entre les congés déjà posés, les obligations personnelles, les absences des scénaristes, des acteurs et des actrices, il a fallu aller vite. Les ultimes épisodes ont été écrits mi-juillet et les dialogues mi-août. Le dernier jour de tournage est prévu fin septembre. La grande majorité des trente scénaristes travaille à distance. Vincent Meslet et Pierre Monjanel en convoquent une dizaine pour un séminaire de fin. Mais l’objectif est avant tout de se réunir pour se soutenir. « La décision a été très brutale et difficile à accepter pour les membres très soudés de la famille "Plus belle" », souligne le directeur de collection. « Il fallait surmonter le choc pour être efficaces et offrir une fin digne de ce nom », raconte le directeur général de Newen France qui s’est soucié de « mettre les inquiétudes et rancœurs à la porte » pour qu’elles ne transparaissent pas dans le scénario. Avec ses dix-huit années de diffusion, « Plus belle », est presque une institution. Elle détient le record de longévité des séries françaises. Elle a son identité bien à elle. Le séminaire doit décider des grandes orientations scénaristiques. « Pour restreindre le périmètre, on a d’abord défini ce qu’on ne pouvait pas faire », explique Pierre Monjanel. Deux décisions sont prises. La première : la fin ne doit pas être triste. Pas de drama, même si les scénaristes promettent un lot « d’émotions et de rebondissements » — mariage et autre reconstitution de couple — pour rendre la fin « mémorable ». On annonce un « festival de happy ends, sans verser dans l’utopie », sourit Marc Roux, co-directeur des dialogues. La seconde : il n’y aura pas de fin à proprement parler. « Dans un film, la fin sonne comme la morale de l’histoire, le point final qui donne du sens à l’intégralité du récit», estime le directeur de collection. Mais après 4 665 épisodes et 3 290 personnages (hors figurants) « ça n’a pas de sens ». La fin sera donc « douce » : « La vie va continuer… et les personnages continueront de vivre des aventures au Mistral. Sauf qu’on ne sera plus là pour le voir », résume Émilie Alibert, co-directrice des dialogues et à l’œuvre sur la série depuis neuf ans. Ne pas clôturer la série tout net, c’est aussi une manière de garder une porte ouverte à une suite éventuelle… « Mais ce n’est pas ça qui nous guide », précise Vincent Meslet. À part ces deux obligations, « on ne s’interdit rien, et on s’autorise tout ». Un nouveau personnage, un prêtre, le Père Luc, a fait son entrée dans la série et a débuté une relation amoureuse avec l’une des figures historique de la série, Mirta Tores. « Un gros sujet de société qu'on tenait à traiter », commente Pierre Monjanel. Une fois le cadre posé, les scénaristes optent pour des « cadeaux » aux téléspectateurs et téléspectatrices, en récompense à leur fidélité. De nombreux « clins d'œil », références à des histoires passées, sont prévus. « J’ai dû me plonger dans les archives pour me remettre à la page de personnages ou trames que je ne connaissais pas et proposer, à partir de là, des histoires et flash back », confie Émilie Alibert. Spoiler : un personnage emblématique doit aussi faire son come back. Pour que tout le monde soit heureux, il a aussi été décidé de réunir de façon inédite la cinquantaine de personnages actuels dans une scène finale sur la place du Mistral. « Il y a des destins que j’avais prévu de développer en 2-3 ans et qu’on va comprimer en 2-3 mois », explique Pierre Monjanel. Il a donc fallu « condenser » le scénario pour que tous y trouvent une place. Pas question pour autant de toucher à la « patte de "Plus belle" » en faisant courir seulement trois ou quatre intrigues parallèles, explique Pierre Monjanel. Chaque scène des vingt-six minutes d’épisode quotidien a été mûrement pensée. L’ultime épisode du 18 novembre mettra fin au quotidien du Mistral. Il sera toutefois suivi d’un prime à partir de 21h10, « un bonus » comme l’équipe sait en mijoter, où les personnages reviendront pour une dernière intrigue inédite. En attendant, au cours des dernières semaines d’écriture, la philosophie de Pierre Monjanel et des scénaristes a été la suivante : « Faisons-nous plaisir, ne nous brimons pas : le public le sentira. » Ainsi, les équipes ont imaginé des scènes encore « jamais vues » comme la réunion de tous les personnages sur la place du Mistral au même moment. « Éteindre les lumières » Malgré la tristesse qui saisit les scénaristes comme les quelque 600 personnes gravitant autour de la série (costume, maquillage, décor, son et lumière), « c’est un exercice assez stimulant de penser la fin d’un feuilleton de près de vingt ans, livre Pierre Monjanel. À l’échelle d’une carrière, c’est unique et il y a quelque chose de très spectaculaire à éteindre les lumières ». D’autant que la charge de travail diminue au fur et à mesure que l’écriture se termine puisqu’il n’y a pas de suite à prévoir. Une grande première pour des équipes travaillant sans relâche et « toujours à fond ». Sur le plateau, entre deux scènes, une actrice reproche aux scénaristes de ne pas avoir su rester dans l’ère du temps, en n'évoquant pas la pandémie, ou en mettant en scène le bac 2021 dont les épreuves ont été annulées. « La série a toujours collé au quotidien des gens, c’est ce qui faisait sa force ! », regrette-t-elle. Au sein des équipes, tout le monde ne partage pas son avis et d’autres soutiennent le parti pris d’offrir une « bulle d’air » au moment où le Covid-19 angoissait les foyers. Quoi qu’il en soit, l’aventure Plus belle la vie restera gravée dans la mémoire de celles et ceux qui l’ont faite. Marc Roux parle de « cerveau collectif », d’une « ambiance de troupe » et de « rencontres importantes tant sur le plan professionnel que personnel ». « Avec l’impératif de productivité quotidienne, "Plus belle" a imposé une importante répartition des tâches, ce qui poussait au travail d’équipe et à la coopération », salue Pauline Rocafull qui s’est sentie bien plus « isolée » sur d’autres séries. Sur "Plus Belle", plusieurs dizaines de personnes travaillent sur chaque épisode. « Elle a aussi démocratisé les ateliers d’écriture où les scénaristes fonctionnent de manière collaborative, poursuit Marc Roux. En cela, la série a eu un impact sur la formation des auteurs et autrices en France et a changé l’état d’esprit des scénaristes ». https://larevuedesmedias.ina.fr/fin-plus-belle-la-vie-scenario-serie-tv-france3-personnages-bilan |
| ailebrune Super actif
| | nausikaa991
| | Tony Modérateur
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| Sujet: Re: Rubrique PRESSE ! (archive 2) 29/9/2022, 19:13 | |
| LE PARISIEN : Clap de fin pour «Plus belle la vie» : à Marseille, «une atmosphère bizarre» sur le tournage des dernières scèneshttps://www.leparisien.fr/culture-loisirs/tv/clap-de-fin-pour-plus-belle-la-vie-a-marseille-une-atmosphere-bizarre-sur-le-tournage-des-dernieres-scenes-28-09-2022-4O3RFLXIKFADFHYQL4N43EGCWE.php L'EST REPUBLICAIN : Clap de fin pour « Plus belle la vie » : l'émotion envahit le dernier jour de tournagehttps://www.estrepublicain.fr/societe/2022/09/29/clap-de-fin-pour-plus-belle-la-vie-l-emotion-envahit-le-dernier-jour-de-tournage?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1664444328 FRANCE INFO : À Marseille, beaucoup d'émotion pour le dernier tournage de la série culte "Plus belle la vie"https://www.francetvinfo.fr/economie/medias/france-televisions/a-marseille-beaucoup-d-emotion-pour-le-dernier-tournage-de-la-serie-culte-plus-belle-la-vie_5387767.html La Provence :TELE POCHE TELESTAR
Dernière édition par Tony le 16/11/2022, 19:13, édité 5 fois |
| Tony Modérateur
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| Sujet: Re: Rubrique PRESSE ! (archive 2) 29/9/2022, 19:17 | |
| TELERAMA : Fin de tournage de “Plus belle la vie” : “Ça rigole, mais c’est pour mieux cacher nos émotions”Ce jeudi 29 septembre, le tournage du feuilleton quotidien de France 3 s’arrête, après dix-huit ans. Il est 8 heures, le Marseille de Plus belle la vie s’éveille dans le jour (artificiel) de la place du Mistral. Une poignée de techniciens s’affairent, les comédiens sont au maquillage, les costumiers s’agitent dans l’impressionnant dressing qui jouxte le plateau. La fourmilière des studios de la Belle de Mai, à deux pas de la gare Saint-Charles, s’active pour l’avant-dernière fois. Demain, jeudi 29 septembre, signera la fin d’un tournage de dix-huit ans, le plus long de l’histoire des séries françaises. 4 665 épisodes et 29 primes, dont le dernier sera diffusé le 18 novembre prochain sur France 3 au cours d’une soirée spéciale clôturée par un documentaire. Depuis la mi-août, on « clape » un jour sur deux. Un à un, les membres de l’équipe font leurs adieux. « Tout se mélange, la joie d’être encore ensemble et le soulagement d’en finir avec cette longue conclusion, confie Anne Décis, qui incarne Luna Torres depuis le lancement de la série, en 2004. C’est éprouvant de dire au revoir à des gens avec qui on a travaillé pendant presque vingt ans. » Sur un mur de la place du Mistral, principal décor de la série planté dans un studio de 1 000 mètres carrés, un dessin a été placardé. Un réalisateur y interpelle un comédien au bord d’une falaise : « On tourne la suite ? » Depuis mai dernier, on le sait, la chute est inévitable. Il n’y aura pas de suite. Plus belle, comme l’appellent les équipes, n’atteindra pas la barre symbolique des vingt ans d’antenne. « L’annulation a été un coup. On ne comprenait pas. Pourquoi maintenant ? On ne peut pas s’opposer à l’arrêt d’une série, mais les conditions dans lesquelles Plus belle a pris fin… » Michelle Podroznik, productrice historique du petit écran français (P.J., Les Cordier, juge et flic), laisse sa phrase en suspens. Elle a dû gérer les rumeurs, l’article du Parisien qui annonce dès le 17 février dernier une fin imminente, les démentis plus ou moins officiels… Une période de plus de deux mois durant laquelle le sujet était tabou, jusqu’à l’annonce officielle, le 5 mai. La frustration, l’envie de révolte l’emportent d’abord, puis cèdent place à la panique. « Il y a entre six cents et mille personnes qui travaillent chaque jour sur cette série, et dont la vie repose sur ce job. C’est une entreprise. L’angoisse a été grande », se souvient Podroznik. Les adieux de Sylvie Flepp, avec la productrice M. PodroznikThierry Machari, producteur exécutif pour France Télévisions, était présent le jour de l’annonce, au milieu des équipes réunies place du Mistral. « Ça a été un moment étrange. Ça l’est encore, mais tout le monde est digne. On se serre les coudes », souffle-t-il dans un coin du salon où les acteurs arrivent au compte-gouttes, se font maquiller, et répètent leur texte avant d’être appelés sur le plateau. Chacun partage son sentiment sur le grand départ qui approche, se souvient des rencontres, des mariages, des naissances qui ont rythmé toutes ces années. « Ça rigole, mais c’est pour mieux cacher nos émotions. Les corps sont gais mais les regards sont tristes », lâche Laurent Kérusoré, alias Thomas Marci, présent depuis la première année de Plus belle la vie. « Ça me fait penser à une fin de colonie de vacances, se risque Vincent Meslet. Tout le monde pleure, s’embrasse, et vit très intensément la rupture de ce lien de quelques semaines… qui, ici, a résisté presque deux décennies. » L’ancien directeur adjoint des programmes de France 3, devenu directeur général de Newen France et producteur du feuilleton quotidien, souligne la fierté et la dignité des équipes. « La décision a été prise. On a eu six mois pour clore la série, il fallait bien faire les choses. » Laurent Kerusoré sur le tournage le 28 septembre 2022La fin de Plus belle la vie s’est jouée sur deux fronts. D’abord, imaginer en un temps réduit une conclusion satisfaisante pour le public. Un séminaire a été organisé dès le mois de mai pour trouver une sortie digne de ce nom à chacun des personnages principaux. Fin juillet, les grandes arches narratives étaient écrites. Les dialogues ont suivi mi-août. L’ultime scène du dernier prime a été tournée dans la foulée. Difficile de savoir ce qui s’y passera. Dans les couloirs des studios de la Belle de Mai, c’est motus et bouche cousue. On parle d’un « cadeau aux fans », du retour de nombreux personnages – même de défunts qui reviendraient en rêve – et de « je ne sais pas combien de mariages, mais pas d’enterrement », s’amuse le scénariste Georges Desmouceaux, présent dès la conception de la série. « L’idée n’est pas de fermer la boucle. Certaines intrigues vont rester ouvertes », explique-t-il. Autre mission, accompagner des équipes inquiètes d’être laissées sur le carreau. Faire face à une situation de crise pour des techniciens intermittents « qui depuis dix-huit ans avaient une place ici, une famille, un nid », explique Claire de la Rochefoucauld, réalisatrice et productrice de Plus belle la vie. « La perte des relations humaines tissées au fil des ans nous angoisse plus encore que celle de notre job, confirme Laurent Kérusoré. On se répète en boucle “on ne se quitte pas, on ne se quitte pas”… » Une cellule de soutien, avec DRH et coach, a été mise en place par Newen et France Télévisions. Des groupes de travail ont été organisés pour « repérer les cas très spécifiques : ceux qui ont des compétences techniques très précises, ceux qui sont proches de la retraite, etc., précise Vincent Meslet, qui se veut rassurant. Il y aura du travail pour à peu près tout le monde ». Certains rejoindront les autres feuilletons quotidiens de Newen, Ici tout commence et Demain nous appartient, qui se tournent dans la région de Montpellier. D’autres resteront à Marseille, où France Télévisions s’est engagé à lancer d’autres productions « à activité quasiment équivalente ». Les comédiens, eux, ont créé un groupe WhatsApp pour partager les bons plans et les infos de castings. « Un immense réseau s’est créé tout au long des années, qui s’est resserré depuis l’annonce de l’annulation. Il y a une forme d’urgence à travailler ensemble, comme une réaction cathartique à notre disparition », confirme Anne Décis, en tournée aux côtés de son collègue Avy Marciano avec la pièce Amor à mort. Tout au long de cette avant-dernière journée, les journalistes se sont succédé. Presse, télé, radio, on se bouscule à la Belle de Mai. Même le Washington Post s’est intéressé à la fin de Plus belle la vie. « C’est assez ironique. On nous a tellement craché dessus au début, sourit Anne Décis. On était regardés comme une curiosité, mais on a su évoluer, s’améliorer, trouver notre place. Aujourd’hui, nous n’avons pas à rougir. » Plus belle la vie a offert un miroir inédit à la société française (nous reviendrons sur cette dimension de la série dans un prochain article), ouvert la voie aux feuilletons quotidiens et démocratisé une industrialisation de la production de séries avec équipes d’écriture et tournage en flux tendu. Dans un coin du salon, les séquences tournées au studio défilent sur un écran de contrôle. Un appartement où des dizaines de Polaroid souvenirs s’étalent sur les murs a succédé au Bar du Mistral. « C’est la fin d’une époque, mais nous avons construit un socle pour bâtir autre chose, s’enthousiasme Michelle Podroznik. On a formé tant de gens, dans la rigolade et dans la douleur, des jeunes acteurs qui n’avaient jamais tourné et sont désormais au conservatoire, des techniciens qui sont aujourd’hui réclamés au-delà de Marseille… » Ce jeudi 29 septembre à 18h15, l’ultime clap de Plus belle la vie résonnera. « On espère toujours faire vivre la marque plus tard. Rien n’est impossible en télévision. Un spin-off, une suite dix ans après… Mais ce sera une autre production, dans d’autres décors », confie Vincent Meslet. Newen étudie la possibilité d’organiser des visites du Mistral à la fin de l’année, avant que les studios de la Belle de Mai ne soient définitivement vidés et rendus à leur propriétaire, la Ville de Marseille, début 2023. Certains éléments, accessoires, costumes, seront récupérés par les autres productions du groupe, d’autres cédés aux équipes au cours d’une vente aux enchères dont les fonds seront reversés à des associations. Vendredi soir, toute la troupe se retrouvera une dernière fois pour une grande fête. Mille cinq cents personnes sont invitées – « Si nous avions convié la totalité de celles et ceux qui ont travaillé sur Plus belle, il aurait fallu louer le Vélodrome », s’amuse Claire de la Rochefoucauld. « Après ça, je rentre chez moi. Thomas, lui, restera au studio », philosophe Laurent Kérusoré. Place du Mistral, Sylvie Flepp, autre historique de la série, tourne sa dernière scène. Tous les techniciens et les comédiens, derrière la caméra, l’écoutent en silence. Sous les applaudissements, un bouquet de fleurs à la main, l’actrice pointe le haut plafond du studio et s’exclame : « Je me dédouble ! Une de mes deux enveloppes s’en va. » PIERRE LANGLAIS / OLIVIER METZGER / TELERAMA https://www.telerama.fr/ecrans/sur-les-dernier-tournages-de-plus-belle-la-vie-ca-rigole-mais-c-est-pour-mieux-cacher-nos-emotions-7012272.php |
| Tony Modérateur
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| Sujet: Re: Rubrique PRESSE ! (archive 2) 29/9/2022, 19:23 | |
| PUREMEDIAS : "Autant finir en beauté" : Dernier jour de tournage pour "Plus belle la vie" après 18 ans d'existence.29/09/2022, Christophe GAZZANO Des adieux en deux temps pour "Plus belle la vie". Ce jeudi 29 septembre, au pôle médias de la Belle de Mai à Marseille, l'ambiance sera forcément lourde. 18 ans après le coup d'envoi du tournage des premières scènes en juillet 2004, le doyen des feuilletons quotidiens français mettra en boîte sa dernière séquence. Le lendemain, dans un endroit de Marseille tenu secret, France Télévisions et Newen organiseront une grande fête d'adieux avec tous ceux qui ont partagé cette aventure exceptionnelle. Plus de 1.100 invitations ont été lancées pour l'occasion. "Nous avons invité tous les gens qui étaient là au début de 'Plus belle la vie'. Tous les anciens comédiens qui ont marqué, les producteurs, les techniciens... C'est la fin de quelque chose. Les gens vont se dire aurevoir", observait récemment auprès de puremedias.com Michelle Podroznik, productrice historique de "Plus belle la vie". Notre rencontre avec la professionnelle a eu lieu un mois pile avant l'échéance fatidique, le 29 août dernier, lorsque puremedias.com s'est rendu dans cité phocéenne pour prendre le pouls de l'équipe, qui était alors en plein tournage du dernier prime de la série, à découvrir sur France 3 le vendredi 18 novembre. Aujourd'hui, des comédiens emblématiques comme Laurent Kérusoré (Thomas Marci) ou Théo Bertrand (Kevin Belesta) feront partie de ceux qui refermeront "Plus belle la vie" en tournant leur dernière séquence. Laurent Kérusoré jouera par exemple dans l'avant-dernière séquence, avant le clap final que tout le monde redoute. "Même si les gens ne connaissent pas la série, ils connaissent le bar du Mistral", relevait le comédien, qui a intégré la troupe en 2005, quelques mois après le lancement. Lorsque l'arrêt de la série a été officialisé par France Télévisions, le quadragénaire confiait avoir ressenti "un peu de colère et de tristesse". "Mais cette colère s'est tout de suite apaisée parce que, ce qu'on doit à notre public, c'est la joie et la bonne humeur. Ca fait 18 ans qu'ils nous suivent et tout ça ne les regarde pas. Autant finir en beauté dans la joie et l'allégresse parce que c'est ce qu'on gardera". Cécilia Hornus, alias Blanche Marci, présente dans la première scène de "Plus belle la vie" diffusée le 30 août 2004, a tourné sa dernière scène hier, le 28 septembre, le jour de son anniversaire. En août dernier, elle ne cachait pas sa déception à l'idée que le feuilleton de France 3 n'atteindra pas le cap symbolique des 20 ans : "Il y a des pays où les séries sont là depuis plus de 20 ans... Ca aurait été bon que les personnages qui ont déjà vieilli pendant 18 ans continuent à vieillir. Le public est très attaché à cette continuité". De son côté, la productrice Michelle Podroznik confiait : "Idéalement, j'aurais aimé partir avant que 'Plus belle la vie' ne s'arrête. Je m'étais d'ailleurs fixé cet objectif des 20 ans pour ensuite faire une fête avec toute l'équipe et passer le flambeau. C'est ça qui me rend triste, c'est que 'Plus belle la vie' s'arrête en même temps que moi. Mais bon, il ne faut jamais être triste. Une fin est toujours le commencement de quelque chose. C'est ce que je dis aux comédiens". "Je suis content que ça s'arrête" Lors de notre venue à Marseille, les jeunes comédiens prenaient la perspective de la fin avec plus de recul. Exemple avec Théo Bertrand, alias Kevin Belesta et Bryan Trésor, qui joue Baptiste Marci. "Ca fait bizarre, c'est comme quand tu vas quitter quelqu'un avec qui tu vis une histoire d'amour. J'ai du mal à m'imaginer la vie sans 'Plus belle la vie'. Je suis triste mais en même temps, je suis content que ça s'arrête. Je vais pouvoir faire autre chose", expliquait Théo Bertrand. "Il y a plein de choses à faire ! On connaît tout le monde et on a toutes les clés en main pour créer nos aventures. Ca ne me fait pas peur. Tout le monde a envie de rebondir. Ca va déclencher beaucoup de projets", relativisait lui aussi Bryan Trésor. Et Théo Bertrand de révéler à puremedias.com : "S'il n'y avait pas eu l'arrêt, je pense que cela aurait été ma dernière année. J'avais envie d'autre chose, même si 'Plus belle' était ma famille. Il ne faut pas s'enterrer dans son confort". Son complice Bryan Trésor, qui a arrêté les tournages le 13 septembre dernier, était sur la même longueur d'onde, lassé de son propre aveu par la manière dont les scénaristes ont fait vivre son couple de fiction avec Pauline Bression, alias Emma. On ne compte en effet plus les fois où le couple star s'est trompé mutuellement, puis séparé, avant de se remettre ensemble. "Ça m'a fatigué le cerveau. Mais il y a un rythme tellement soutenu en écriture que j'imagine que les problématiques qui les concernent sont loin des nôtres... Je pense quand même qu'il y avait autre chose à raconter dans leur relation. Ils ne sont pas obligés de se tromper tous les quatre matins !". Si l'aventure s'arrête ce soir, que les fans se rassurent, l'emblématique décor de la place du Mistral, installé sur le plateau 1000 à Marseille, ne sera pour l'heure pas démonté. Pour le plus grand soulagement de Laurent Kérusoré : "Ça fait 18 ans que c'est mon bureau ici. C'est très compliqué pour moi d'y penser, même si ça peut paraître bête. Je ne veux pas connaître la date à laquelle il va être démantelé. J'espère qu'il n'y aura pas d'articles parce que je pense que je serai en larmes". La productrice Michelle Podroznik, précisait lors son entretien avec puremedias.com le mois dernier à Marseille : "Le décor principal reste. On attend d'avoir des réponses de la part de plateformes. Mais même si 'Plus belle la vie' continue sur une plateforme, ce ne sera pas une quotidienne, ce sera autre chose...". Et celle qui a produit par le passé la série policière de France 2, "PJ", restée à l'antenne pendant 13 saisons, de citer cette anecdote : "Les décors de 'PJ' sont restés deux ou trois ans en place après l'arrêt de la série et ont même servi pour des tournages d'émission !". https://www.ozap.com/actu/-autant-finir-en-beaute-dernier-jour-de-tournage-pour-plus-belle-la-vie-apres-18-ans-d-existence/621887 |
| Tony Modérateur
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| | Violette
| Sujet: Re: Rubrique PRESSE ! (archive 2) 9/10/2022, 11:36 | |
| Merci @Tony pour tous ces articles Laurent Kerusoré se raser la tête ! Oh non ! Mais bon même s'il change physiquement, ça ne changera pas son nom et son CV. J'ai bien peur que ça soit difficile pour lui qui n'a jamais joué dans autre chose de trouver un autre rôle, même si je le lui souhaite vivement. L'acteur qui joue Kévin dit "heureusement que ça s'arrête sinon je serai parti l'année prochaine", ben personne ne l'a obligé à rester. Je trouve que cette phrase, si c'est bien lui qui l'a dite, mal formulée, les autres pourraient ne pas apprécier. Ah ben l'acteur qui joue Baptiste est d'accord avec nous, trop de je t'aime moi non plus avec Emma. Il a bien raison ! |
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