Il/Elle était bien/mieux hier soir [archive 15]

Je ne connaissais pas, ça me paraît déjà mieux...

En bien, hier soir, Lola, qui est la seule à faire remarquer que Betty est bien à blâmer, car c'est à elle que Mouss avait confié les clefs et avait donc faut confiance.

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Ans a écrit:

Les établissements ont tendance  à opter pour l'exclusion-inclusion : l'élève est exclu de sa classe mais il est tenu de venir dans l'établissement où il est pris en charge pour travailler. Il peut aussi aller dans un organisme partenaire dont j'oublie le nom. là aussi; il travaille. Certains élèves qui ne se retrouvent pas dans le système scolaire ordinaire préfèrent d'ailleurs y aller plutôt qu'en classe car ils bénéficient d'un encadrement individualisé.

Souvent au CDI. Ce qui ne plaît pas toujours aux documentalistes  qui ne veulent pas que la bibliothèque soit associée à un lieu de bannissement ou ne tiennent pas à devoir encadrer des élèves réputés ingérables. Les CPE n'y tiennent pas non plus et les confier à des surveillants risque de tourner à des sessions de copinage. Bref, aucune solution simple.

Ans a écrit:

Les établissements ont tendance  à opter pour l'exclusion-inclusion : l'élève est exclu de sa classe mais il est tenu de venir dans l'établissement où il est pris en charge pour travailler. Il peut aussi aller dans un organisme partenaire dont j'oublie le nom. là aussi; il travaille. Certains élèves qui ne se retrouvent pas dans le système scolaire ordinaire préfèrent d'ailleurs y aller plutôt qu'en classe car ils bénéficient d'un encadrement individualisé.

Paty a écrit:

Je ne connaissais pas, ça me paraît déjà mieux...

Beaucoup mieux en effet !

raylen a écrit:

Souvent au CDI. Ce qui ne plaît pas toujours aux documentalistes  qui ne veulent pas que la bibliothèque soit associée à un lieu de bannissement ou ne tiennent pas à devoir encadrer des élèves réputés ingérables. Les CPE n'y tiennent pas non plus et les confier à des surveillants risque de tourner à des sessions de copinage. Bref, aucune solution simple.

Je comprends pour les documentalistes.
En revanche, pourquoi l'encadrement avec un surveillant risque de tourner au copinage ? Parce qu'ils sont jeunes ?

On l'a bien vu avec Mouss...

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ailebrune a écrit:

Beaucoup mieux en effet !



Je comprends pour les documentalistes.
En revanche, pourquoi l'encadrement avec un surveillant risque de tourner au copinage ? Parce qu'ils sont jeunes ?

Oui.  C'est d'ailleurs une situation assez fréquente même en dehors de conseils de discipline.

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Ans a écrit:

Les établissements ont tendance  à opter pour l'exclusion-inclusion : l'élève est exclu de sa classe mais il est tenu de venir dans l'établissement où il est pris en charge pour travailler. Il peut aussi aller dans un organisme partenaire dont j'oublie le nom. là aussi; il travaille. Certains élèves qui ne se retrouvent pas dans le système scolaire ordinaire préfèrent d'ailleurs y aller plutôt qu'en classe car ils bénéficient d'un encadrement individualisé.

Ou faire des T.I.G.

Ce soir, Bilal dans tout son potentiel comique ! Et la scène des Fedala sur le canapé, excellente !

raylen a écrit:

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Oui.  C'est d'ailleurs une situation assez fréquente même en dehors de conseils de discipline.

A se demander comment sont recrutés ces encadrants. Il s'agit d'un boulot avec une mission bien spécifique. Pour moi l'âge n'est en rien un problème si la personne comprend sa mission et s'y tient.

Paty a écrit:

Ce soir, Bilal dans tout son potentiel comique ! Et la scène des Fedala sur le canapé, excellente !

Oui, j'ai trouvé toutes ces  scènes super drôles : quand il fait le malin avec ses potes, quand il se fait virer de la voiture, et sans son téléphone, après le message bien délicat de Noé... et le canapé

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ailebrune a écrit:

A se demander comment sont recrutés ces encadrants. Il s'agit d'un boulot avec une mission bien spécifique. Pour moi l'âge n'est en rien un problème si la personne comprend sa mission et s'y tient.

Les surveillants sont des étudiants et leur poste est forcément provisoire. Ils sont à peine plus âgés que certains élèves. Ca crée une proximité voire une complicité. S'y ajoutent dans certains cas, d'autres proximités et communautarisme, religieux notamment. Ce phénomène a pu être constaté. Enfin, comment  exiger de surveillants  qu'ils tiennent la maison Education Nationale qui prend l'eau de toutes parts quand les adultes ne le veulent ou ne le  peuvent plus.

En effet, ce n'est pas à ces jeunes surveillants d'inventer l'attitude appropriée.
Je me dis juste que l'âge et les connivences communautaristes ne seraient pas un problème si la mission pédagogique était claire et solide au-dessus. Avec une mission clairement exposée dès le départ, un encadrement bien fait des activités de surveillant et la possibilité de s'en séparer rapidement en cas de problème.

Cela fait beaucoup de "si". La mission des surveillants consiste généralement à passer dans les classes pour relever les absences ou à surveiller des élèves en permanence quand il y en a, ce qui n'est pas si fréquent : les élèves allant ^plutôt au bistrot du coin , au CDI ou à la cafet. Quant à l'encadrement, il ferme les yeux sur d'éventuelles complicités : le pas de vague est le aître mot dans l'Education Nationale; il y a même un hashtag à ce sujet. On est injustes avec l'armée : c'est l'Educaiton Nationale qui aurait dû être appelée La Grande muette.

Oui, ça fait beaucoup de "si". Ils relèvent pourtant du minimum pour une structure éducative digne de ce nom. Et ça c'est juste pour l'aspect encadrement. Je suis consternée par le contenu des enseignements.

Si Manon est, bien évidemment, naze de se barrer avec Raphaël, je ne peux que la mettre en "bien" pour s'être enfuie de son logement, loin du blond et de sa tyrannie ! Et avec le fric qu'il a piqué   !

Moi, c'est Patrick que je mets en bien : il dit tout de suite à Babeth que Manon l'a embrassé, et pourquoi il pense que ça s'est passé. Du coup, cela désamorce l'agressivité que Babeth dont aurait -à juste titre- fait preuve s'il n'avait rien dit et qu'elle l'avait découvert.

Oui, il a bien fait de lui en parler.

Oui ça m'a étonné en bien, d'habitude les personnages sont plus dans le non-dit.

En même temps, si les persos se parlaient toujours, il y aurait beaucoup moins matière à intrigues !

C'est surtout que là le sujet n'est pas une énième histoire de tromperie...

Exact

Baptiste, ferme et clair avec Barbara sans être vulgaire, brusque ou maladroit. Un moment j'ai pensé qu'il aurait cédé, surtout après ses dilatations de naseaux et ses crispations de mâchoires à la caserne.

Cpour mieux rspiré !