Je viens de voir l'épisode de ce soir, donc j'écris mes commentaires (pendant que j'ai accès à internet) entre balises, afin de de pas spoiler (Shino ou Flora, vous pourrez les retirer après la diffusion):
Spoiler:
Johanna a donc menti (elle aussi). Ne serait-elle pas aussi innocente qu'elle en a l'air ? J'aimerais bien mais je n'y crois pas une seconde malgré tout...
Eliott a beau avoir tous les défauts de la terre, à le voir si désemparé et acculé de toutes parts, je ne parviens pas à le détester. et même, j'ai de l'empathie pour lui...
C'est bizarre que je sois si intransigeante avec elle et si indulgente avec lui...
Je sens de plus en plus un rapprochement se dessiner entre Eve et Virgile !
Les modos, vous pourriez enlever les balises spoiler maintenant que l'épisode est passé ? Merci beaucoup !!!
Adoré le supsense de la scène finale avec Delmas qui tombe sur la voiture de Johanna devant la maison de Michael
Et sinon, d'accord avec toi Maïa pour Eliott, il fait vraiment de la peine. Mais je note ton indulgence coupable à son égard
Sinon, ravie qu'on nous ai un peu fichu la paix avec le bahut et qu'on soit revenus sur Eliott, Gaspard, Eve... Terrible mais bien méritée la réplique d'Eve sur Eliott.
Johanna a donc menti (elle aussi). Ne serait-elle pas aussi innocente qu'elle en a l'air ? J'aimerais bien mais je n'y crois pas une seconde malgré tout...
Je ne peux croire à la culpabilité de Johanna. Soit sa voiture était là-bas sans elle, mais c'est vrai que c'est peu vraisemblable. Soit Johanna y était (il y aurait eu beaucoup de monde ce soir là au domaine de Beaulieu) mais ne l'a pas tué. Si l'heure à laquelle Delmas est arrivé le disculpe, ce peut être aussi le cas pour Johanna.
Et Julien, il en dit quoi ?
Maïadelsol a écrit:
Eliott a beau avoir tous les défauts de la terre, à le voir si désemparé et acculé de toutes parts, je ne parviens pas à le détester. et même, j'ai de l'empathie pour lui...
Oui, il a vraiment tous les défauts possibles et imaginables. Il fait même peur à son petit frère. Le problème, c'est qu'il n'a pas vraiment de qualité pour compenser.
Maïadelsol a écrit:
Je sens de plus en plus un rapprochement se dessiner entre Eve et Virgile !
Le camping, ça rapproche. Comme disait Chirac (Patrick, pas Jacques), chassez le naturiste, il revient au bungalow.
Moi aussi, Flora. Au lycée, nous avions même des profs qui nous draguaient dans les couloirs et qui faisaient des remarques salaces à l'une ou l'autre en plein cours. Je suis TRES contente que la parole se libère et que des limites soient posées. Je trouve vital que filles et garçons soient informés de ces questions. Ça n'a rien de simple car les générations précédentes n'ont pas forcément les idées claires sur la question. Et il n'est pas si facile de comprendre où le curseur se positionne. Certains hommes et garçons sont authentiquement perdus sur ces questions. Donc, oui, le sujet est important, et oui il faut en parler, etc. Comme tout un tas d'autres sujets importants dans notre société.
Mais pitié, pas de cette manière caricaturale et pas dans un feuilleton. C'est un des énormes défauts de pblv à mes yeux. Qu'une intrigue montre une situation x ou y qui, au passage, relève d'un problème de société, OK. Mais là, on fait clairement l'inverse dans l'écriture du scénario. Et de manière caricaturale : d'un côté, les "bons" qui assènent la vérité. De l'autre, un "méchant" qui manipule le pauvre Enzo. Ce genre de procédé convainc qui à part les déjà convaincus ?
Je crains que ça ne soit très contreproductif. Et je trouve que ça fait plonger la qualité d'usgs, si subtil et intéressant d'habitude. Navrant.
Absolument, et c'est mon cas : déjà que pour un homme neurotypique, c'est tout sauf simple alors pour un homme comme moi n'en parlons même pas. Mais bon, de toute manière, je suis de fait hors jeu vis-à-vis de tout cela car toutes ces questions concernent les personnes neurotypiques. Nous, on est dans notre propre monde à part et d'un certain côté ce n'est pas plus mal car on est davantage protégés comme ça.
Je ne peux croire à la culpabilité de Johanna. Soit sa voiture était là-bas sans elle, mais c'est vrai que c'est peu vraisemblable. Soit Johanna y était (il y aurait eu beaucoup de monde ce soir là au domaine de Beaulieu) mais ne l'a pas tué. Si l'heure à laquelle Delmas est arrivé le disculpe, ce peut être aussi le cas pour Johanna.
Et Julien, il en dit quoi ?
Mais moi non plus, je n'y crois pas. C'est bien ce que j'ai écrit. C'est juste que j'aimerais bien car ce personnage me déplaît fortement !
Quant à Julien, J'ai oublié exactement ce qu'Alice en a dit, mais ça m'a paru fort pertinent sur le moment...
Moi aussi, Flora. Au lycée, nous avions même des profs qui nous draguaient dans les couloirs et qui faisaient des remarques salaces à l'une ou l'autre en plein cours. Je suis TRES contente que la parole se libère et que des limites soient posées. Je trouve vital que filles et garçons soient informés de ces questions. Ça n'a rien de simple car les générations précédentes n'ont pas forcément les idées claires sur la question. Et il n'est pas si facile de comprendre où le curseur se positionne. Certains hommes et garçons sont authentiquement perdus sur ces questions. Donc, oui, le sujet est important, et oui il faut en parler, etc. Comme tout un tas d'autres sujets importants dans notre société.
Mais pitié, pas de cette manière caricaturale et pas dans un feuilleton. C'est un des énormes défauts de pblv à mes yeux. Qu'une intrigue montre une situation x ou y qui, au passage, relève d'un problème de société, OK. Mais là, on fait clairement l'inverse dans l'écriture du scénario. Et de manière caricaturale : d'un côté, les "bons" qui assènent la vérité. De l'autre, un "méchant" qui manipule le pauvre Enzo. Ce genre de procédé convainc qui à part les déjà convaincus ?
Je crains que ça ne soit très contreproductif. Et je trouve que ça fait plonger la qualité d'usgs, si subtil et intéressant d'habitude. Navrant.
Je suis d'accord avec l'intégralité de ton commentaire. Et j'ai vécu tout ça moi aussi au lycée. Bon, je n'en suis pas sortie traumatisée pour autant, cela dit... Et les frotteurs dans le métro lorsque j'ai habité Paris ! Horriblement désagréable et il faut dénoncer ces faits mais, comme tu dis, construire toute une intrigue sans nuance là-dessus, ça me contrarie...
Pour ma part, contrairement à Inès et à son toutou Jules, je vois pas Enzo comme un harceleur mais comme un pauvre gamin qui, non seulement a perdu la fille qu'il aime, mais également sa bande ce copains, qui continuent à graviter autour d'elle, et de laquelle il se trouve de facto exclu.
Le pion est peut-être excessif dans ses propos mais il n'a pas non plus tout à fait tort. Ces procès médiatiques qui tombent en avalanche sur les réseaux sociaux me laissent perplexe. Il est tellement facile de détruire socialement et professionnellement quelqu'un par dépit ou vengeance sans qu'aucun fait ne soit avéré hormis sur la base d'une supposée "victime"... Il y a certainement des cas où l'accusation est fondée, mais lorsqu'il s'agit d'une célébrité à laquelle on peut soutirer de l'argent, je reste dubitative et méfiante lorsque l'accusation en question survient des années, voire des décennies plus tard...
Oui, il faut se méfier du monde du show-business dans lequel il y a beaucoup de faux-semblants et de gens qui veulent se faire mousser ou refaire parler d'eux car leur carrière est en panne sèche. Sinon, au sujet d'Enzo, je partage totalement ton point de vue et il me fait de la peine mais, ceci étant, quelque chose me dit qu'il n'a pas totalement tourné la page Inès et c'est fort regrettable pour lui car il mérite bien mieux que cette pimbêche.
Mais moi non plus, je n'y crois pas. C'est bien ce que j'ai écrit. C'est juste que j'aimerais bien car ce personnage me déplaît fortement !
Quant à Julien, J'ai oublié exactement ce qu'Alice en a dit, mais ça m'a paru fort pertinent sur le moment...
Alice en parlant de Julien, si c'est votre sujet lol! Elle a dit qu'il était chevaleresque, Johanna a l'air d'apprécier d''être protégée, épaulée d'ailleurs elle l'a bien dit.Alice dit que ça l'étouffe cette attitude ou ce comportement.Elle se croit forte, non qu'elle soit faible, mais dans certaines situations, c'est bien d'être 2 et que notre partenaire se mouille, je ne comprends pas, eh oui encore une fois le comportement d'Alice. Ceci dit, elle parait bien épanouie depuis sa séparation d'avec Julien.
Oui, il faut se méfier du monde du show-business dans lequel il y a beaucoup de faux-semblants et de gens qui veulent se faire mousser ou refaire parler d'eux car leur carrière est en panne sèche. Sinon, au sujet d'Enzo, je partage totalement ton point de vue et il me fait de la peine mais, ceci étant, quelque chose me dit qu'il n'a pas totalement tourné la page Inès et c'est fort regrettable pour lui car il mérite bien mieux que cette pimbêche.
Oui ou leurs finances sèches. Dans une autre situation ça rappelle cette femme, une certaine Aurore qui prétendait être la fille d'Yves Montant, il s'est avéré que c'était faux.Donc à prendre ces plaintes avec des pincettes, le discernement.
Il y en a même qui se vengent car elles n'ont pas supporté d'être éconduites.Ça se voit ça dans des situations de gens anonymes, et c'est le type qui n'a pas voulu d'elle et elle retourne la situation.Il faut vraiment du discernement car tout ceci est un véritable panier de crabes.
Pour ce qui est des témoignages sur #metoo et des affaires médiatisées, je suis partagée Je trouve très sain que la parole se libère, ça permet de réaliser à quel point certains problèmes graves sont répandus.
Quand metoo s'est créé, je suis allée lire ce fil : 99% des messages étaient des témoignages anonymes qui ne donnaient absolument pas le nom des agresseurs. Ça servait aux victimes à oser en parler pour la première fois, à s'écouter les unes les autres avec empathie et bienveillance. Je le mets au féminin mais il y avait aussi des garçons bien sûr.
Je me réjouis que ceux qui ont abusé de leur pouvoir aient des ennuis. Même si les faits sont prescrits, ça envoie un avertissement salutaire aux autres. Il me paraît tout aussi important de garder à l'esprit la présomption d'innocence tant qu'une affaire n'est pas jugée. Mais dans ce domaine, les affabulations sont rares. Quant aux personnalités médiatiques mises en cause, il y a bien sûr le risque qu'une personne affabule pour se mettre en vedette. Mais là aussi c'est rare. En général le problème est inverse : la victime ose encore moins s'exprimer vu le pouvoir de l'agresseur. OK, quelqu'un peut éventuellement vendre un bouquin (mais ça rapporte peu). Mais l'étiquette "violée" est pour l'essentiel infamante. C'est ça qui l'emporte.
Pour autant, je déplore le discours agressif qui peut en résulter vis-à-vis de TOUS les hommes. Comme si la colère et la révolte, légitimes, trouvaient un exutoire en se déversant sur des personnes qui n'y sont pour rien. Y a du boulot, et c'est chouette que ça bouge. Mais attention à la haine, et aux discours injustes.
@ailebrune ; c'est précisément ce qui me met très en colère: pour une femme sur 10.00000 qui a un jour fabulé on met en cause la parole de toutes les autres. ça me révolte..
Et personne n'est en colère contre TOUS les hommes, mais on aimerait qu'ils nous soutiennent et que certains (donc je nuance bien) ne remettent pas sans cesse la faute sur les victimes.
--------------- "Mieux vaut mourir incompris que passer sa vie à s'exprimer." (William Shakespeare)
Oui, mais il faut changer des représentations très anciennes, qui touchent à notre identité, à nos relations les uns avec les autres. D'où l'importance du ton choisi. Certains messages donnent l'impression qu'ils sont en colère contre tous les hommes (je ne parle pas des tiens Flora). Ou que tout cela est très facile à comprendre, que l'autre est un abruti s'il ne comprend pas dans la seconde.
Il y en a même qui se vengent car elles n'ont pas supporté d'être éconduites.Ça se voit ça dans des situations de gens anonymes, et c'est le type qui n'a pas voulu d'elle et elle retourne la situation.Il faut vraiment du discernement car tout ceci est un véritable panier de crabes.
Panier de crabes comme tu dis, et avec des gens toxiques chez les deux sexes même s'il faut reconnaitre que ce sont quand même globalement davantage les hommes qui se comportent mal, mais certaines femmes ne sont pas en reste en matière de capacité de nuisance.
Je ne crois pas qu'on puisse dire qu'il y a plus d'hommes que de femmes qui "se comportent mal". Plutôt nous avons tous, hommes et femmes, hérité de croyances qui peuvent avoir des conséquences au mieux désagréables et au pire très graves. Exemple d'idées longtemps répandues : - quand une femme dit non, c'est juste qu'elle n'ose pas dire oui. Une question compliquée d'ailleurs, car dans les jeux de séduction, il peut y avoir une fausse indifférence (de l'un comme de l'autre). Mais si on en arrive aux gestes, il faut être sûr qu'on n'abuse pas. Vraiment. - quand une femme est agressée, un premier réflexe de suspicion vis-à-vis de la victime : comment était-elle habillée par exemple. Déjà, c'est insensé car statistiquement, l'aspect vestimentaire ne compte pour rien. D'autre part, qu'est-ce qui est "provocant" ? Au début du XXe siècle en France, il suffisait d'une cheville à l'air libre. Dans certains pays musulmans, il suffit d'une mèche de cheveux qui dépasse d'un voile. Et pour les femmes, c'est hyper dur de savoir comment on est censées s'habiller, surtout dans le boulot : quoi qu'on fasse, on a toujours faux (pas assez séduisante, trop séduisante...) En plus, cette idée est aussi méprisante pour les hommes, perçus comme des espèces de brutes incapables de se contrôler.
Merci pour ton lien vidéo, ce n'est pas si marrant que ça leurs paroles, c'est que les inconvénients lol! On ne peut pas finir le pot de nutella, d'ailleurs même pas en acheter! Il n'y a que le barbecue ou tant mieux qu'on y accède pas. Sinon leur duo est bien au point musicalement, ce n'est pas facile de chanter ou jouer d'un instrument en duo.
Un peu de présence masculine au lycée. Après le surveillant ou prof de sport, le prof d'anglais. Le surveillant se révèle être un masculiniste.
Bien naze Inès. En même temps son personnage aime chercher les embrouilles. Déjà son ambiguïté avec Théo,puis son agression par un type raciste. Ce qu'elle a dit à Enzo était pratiquement le sketch des potes de Noé dans PBLV à l'époque de la tatoueuse. Inès est sortie avec Enzo et maintenant crie au viol.
La machination pour envoyer Johanna en prison, ça rappelle l'intrigue de la juge.
@Danton Je n'aime pas du tout Inès mais elle ne crie pas au viol. Elle dit juste qu'elle s'est sentie obligée de coucher avec Enzo quand elle n'en avait pas envie. Ce qui pose le problème de ses limites à elle, et c'est un vrai problème chez plein de femmes. Sauf si elle avait précisé qu'il l'y avait obligé.
Et les frotteurs dans le métro lorsque j'ai habité Paris ! Horriblement désagréable
Je connais bien le Japon, et il y a là-bas, deux sports nationaux : le base-ball et le tripotage dans les transports en commun, chikan. Le second est tellement développé que dans les grandes villes, certaines lignes de métro offrent des voitures réservées aux femmes aux heures de pointe. Curieusement, la signalétique qui les indique est de couleur rose
On en trouve dans d'autres pays, comme au Mexique ou au Brésil, mais pas encore à Paris
Maïadelsol a écrit:
contrairement à Inès et à son toutou Jules
Affubler une militante féministe d'un petit ami prénommé Jules, y aurait pas comme un message subliminal ?
Maïadelsol a écrit:
Le pion est peut-être excessif dans ses propos mais il n'a pas non plus tout à fait tort.
Certes, il n'a pas foncièrement tort, mais il a révélé ce soir un côté bien plus obscur. Affaire à suivre.
Alice en parlant de Julien, si c'est votre sujet lol! Elle a dit qu'il était chevaleresque, Johanna a l'air d'apprécier d''être protégée, épaulée d'ailleurs elle l'a bien dit.Alice dit que ça l'étouffe cette attitude ou ce comportement.
En fait, je pensais plutôt à Julien parlant de Johanna Mais l'épisode de ce soir a montré qu'il était persuadé de son innocence puisqu'il a encouragé Arthur à dire la vérité.
D'ailleurs, je trouve que le personnage le plus charismatique d'USGS et son gros mollasson de fils constitue la paire la plus réussie de la série. Humour et émotion, le meilleur cocktail qui soit. La (très courte) scène du croissant est excellente.
fiesta34 a écrit:
Ceci dit, elle parait bien épanouie depuis sa séparation d'avec Julien.
C'est vrai qu'Alice est transfigurée. Un autre des personnages que j'apprécie. En gros, je suis fan de la famille Bastide depuis que la jumelle toxique a été expatriée en Suisse. Cela donne à Arthur plus d'épaisseur (bien qu'il en ait déjà suffisamment ) et cela nous épargne des intrigues à la mords-moi je sais pas quoi...
Dans une autre situation ça rappelle cette femme, une certaine Aurore qui prétendait être la fille d'Yves Montant, il s'est avéré que c'était faux.Donc à prendre ces plaintes avec des pincettes, le discernement.
Je serais plus circonspect sur l'affaire Aurore Drossart. Le témoignage de la mère était très crédible et Montand s'est à plusieurs reprises farouchement opposé à un test de paternité, même demandé par la justice. Aurore Drossart avait obtenu gain de cause en premier lieu, mais l'analyse ADN des restes d'YM avait sonné le glas de ses espérances. Cependant, les doutes persistent...
Il y a aussi le cas d'Ari Boulogne, dont la mère, la chanteuse Nico, avait eu une aventure avec Alain Delon qui ne l'a jamais reconnu. Il avait été adopté par la mère de Delon elle-même, qui était peut-être sa grand-mère.
Mais quand on regarde sa photo, on se rend bien compte qu'il n'y a absolument aucun air de ressemblance
Dernière édition par Argon le Mer 17 Mar - 22:58, édité 1 fois
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Zéro écoute, le bac, le bac, le bac... Pour le coup, je comprends tout à fait la réaction de la gamine.
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