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Ah, ça, le timing obligatoire dans les scénarios, pour éviter -ou profiter, au contraire- de "toulouiquende" !

Lola et Noé dans leur arbre toulouiquende ... ben, ils y resteront peut-être !

Elsa et Revel dans leur cellule toulouiquende ... pour le coup, Revel aurait craqué et l'aurait supplié de larguer Karim, en échange d'un réquisitoire à décharge !

Vincent et ses otages à GTS toulouiquende (bon, il aurait eu besoin du soutien de ses employés), il les aurait mis au régime strict et exclusif de smoothies healthy* verdâtres, bien fait !

Nisma et Jules à se bécoter sur la place la plus passante du quartier toulouiquende, auraient non seulement choqué Leïla, mais Eugénie passant par là (forcément), auraient été sur tous les réseaux !



* trucs liquides au goût et à la couleur indéfinissables, vachement bons pour la santé et pour régénérer la force de travail.

A notre décharge oui c'est vrai il s'amėne comme mars en carême ! Alors que oui il était dans notre souvenir aux Usa ou autre.

Tiens, une nouvelle expression : "comme mars en carême" ! Je ne la connaissais pas ! Je viens de chercher, ça signifie "tomber à pic, arriver de façon prévisible et infaillible", puisque mars arrive toujours pendant le carême.

Mais j'ai lu autre chose :

Signification: Expression française qui signifie arriver inévitablement et  régulièrement.
Origine: Le carême désigne la période de quarante-six jours, de mardi gras à pâques où excepté les dimanches, les catholiques se devaient d'observer le jeûne et delà, le mois de mars ne pouvait faire autrement que tomber pendant le carême. De ce fait, dire au XIV^ème siècle de quelqu'un "qu'il arrivait comme mars en carême" insinuait qu'il survenait de façon régulière, prévisible et infaillible.
A partir du XVII ^ème siècle, cette expression française prit le sens de "arriver à propos" passant de l'idée d'un moment inévitable à celui d'instant propice. Mais cette interprétation fut bientôt reprise par une autre expression française à savoir "arriver comme marée en carême" faisant allusion à l'arrivée du poisson frais bienvenu en cette période d'abstinence de viande.
l'académie française à l'origine de cette distinction dans le but de restaurer la clarté française a semé la confusion dans l'esprit des gens si bien que les deux expressions françaises furent utilisées dans le même sens et "arriver comme mars en carême"  prit le sens  "d'arriver mal à propos"  avec une connotation de "carême" comme événement dont on se passerait volontiers et qui ne semble pas bienvenu. (source : Expressionsfrançaises.fr)


Donc, de nos jours, ça veut plutôt dire "arriver mal à propos", le contraire, quoi. Je pense que c'est dans ce sens que tu l'emploie.

Violette a écrit:

Je ne m'attendais pas à ce que Vincent fasse une prise d'otage ! 
Sinon pourquoi il ne l'appelle pas Yann Moss comme les autres ? Il m'agace quand il prend son accent américain.

Violette a écrit:

Ah tu me rassures ! Sur le coup, je me demandais qui c'était ce petit jeune à binocles. C'est quand j'ai entendu Vincent l'appeler "ilyeun", que j'ai pensé que ça pouvait être Ian, mais comme une andouille, ça ne m'est pas venu à l'idée qu'ils avaient changé le comédien, j'ai cru que simplement je ne le reconnaissais pas.

 
C'est en effet Ian, pas Yann. Je suppose que Vincent prononce ce prénom anglophone à l'anglaise parce que l'acteur est québecois. Au Québec, on se bat pour conserver la langue française mais on ne prononce pas les mots anglais à la française.

Paty a écrit:

Ah, ça, le timing obligatoire dans les scénarios, pour éviter -ou profiter, au contraire- de "toulouiquende" !

Lola et Noé dans leur arbre toulouiquende ... ben, ils y resteront peut-être !

Elsa et Revel dans leur cellule toulouiquende ... pour le coup, Revel aurait craqué et l'aurait supplié de larguer Karim, en échange d'un réquisitoire à décharge !

Vincent et ses otages à GTS toulouiquende (bon, il aurait eu besoin du soutien de ses employés), il les aurait mis au régime strict et exclusif de smoothies healthy* verdâtres, bien fait !

Nisma et Jules à se bécoter sur la place la plus passante du quartier toulouiquende, auraient non seulement choqué Leïla, mais Eugénie passant par là (forcément), auraient été sur tous les réseaux !

* trucs liquides au goût et à la couleur indéfinissables, vachement bons pour la santé et pour régénérer la force de travail.

Excellent !!

Bien aimé la scène des zamoureux pris sur le fait par Abdel et l'interrogatoire du "jeune homme", comme l'appelle Abdel D'ailleurs, j'aime bien cette intrigue, originale par rapport à ce qu'on voyait avant avec les ados : ces deux gamins férus de physique quantique, les regards brûlants.... J'adore les jeux de regards de l'interprète de Nisma. Au passage, elle a un charme fou, comme celui de Jules d'ailleurs.

Alors moi, la scène où Abdel se la joue en mode "père de famille d'autrefois", demandant à un gamin de quatorze ans quels étaient ses projets d'avenir dans le détail, un peu comme si Jules venait de lui demander la main de Nisma, ça m'a fait hurler de rire !

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ailebrune a écrit:

 
C'est en effet Ian, pas Yann. Je suppose que Vincent prononce ce prénom anglophone à l'anglaise parce que l'acteur est québecois. Au Québec, on se bat pour conserver la langue française mais on ne prononce pas les mots anglais à la française.

C'est surtout parce que la boîte est australienne non?

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ailebrune a écrit:

Bien aimé la scène des zamoureux pris sur le fait par Abdel et l'interrogatoire du "jeune homme", comme l'appelle Abdel D'ailleurs, j'aime bien cette intrigue, originale par rapport à ce qu'on voyait avant avec les ados : ces deux gamins férus de physique quantique, les regards brûlants.... J'adore les jeux de regards de l'interprète de Nisma. Au passage, elle a un charme fou, comme celui de Jules d'ailleurs.

J'étais persuadée qu'Abdel plaisantait et allait éclater de rire à la fin, en lui disant "non mais je rigole, détends toi !", et puis non, il était vraiment sérieux !

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ailebrune a écrit:

Bien aimé la scène des zamoureux pris sur le fait par Abdel et l'interrogatoire du "jeune homme", comme l'appelle Abdel D'ailleurs, j'aime bien cette intrigue, originale par rapport à ce qu'on voyait avant avec les ados : ces deux gamins férus de physique quantique, les regards brûlants.... J'adore les jeux de regards de l'interprète de Nisma. Au passage, elle a un charme fou, comme celui de Jules d'ailleurs.

Je pense qu'Abdel s'entraine pour les interrogatoires du  procès

Et oui leur complicité amoureuse passe bien à l'écran, on découvre presque une autre Nisma.

Citation :

on découvre presque une autre Nisma.

Comment va-t-elle gérer son impudeur impardonnable -embrasser un garçon, dans la rue en plus- vis-à-vis de sa copine Leïla qui m'a l'air bien coincée....

nicolas8401 a écrit:

C'est surtout parce que la boîte est australienne non?

En effet, la boîte est australienne mais Vincent est le seul salarié de GTS à prononcer Ian à l'anglaise. Même Emma, qui a passé des mois en Australie à GTS ne le fait pas.
Donc je pourrais me tromper, mais j'ai l'impression que c'est surtout un réflexe de l'acteur qui interprète Vincent : quand il voit un prénom anglophone, il le prononce à l'anglaise.

Paty a écrit:

Alors moi, la scène où Abdel se la joue en mode "père de famille d'autrefois", demandant à un gamin de quatorze ans quels étaient ses projets d'avenir dans le détail, un peu comme si Jules venait de lui demander la main de Nisma, ça m'a fait hurler de rire !

Oui, c'était très drôle.

Violette a écrit:

J'étais persuadée qu'Abdel plaisantait et allait éclater de rire à la fin, en lui disant "non mais je rigole, détends toi !", et puis non, il était vraiment sérieux !

Ça ne risquait pas. Avec Nisma et Bilal, Abdel se pose en parent structurant, un peu à l'ancienne, pas copain pour un sou.

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ailebrune a écrit:

En effet, la boîte est australienne mais Vincent est le seul salarié de GTS à prononcer Ian à l'anglaise. Même Emma, qui a passé des mois en Australie à GTS ne le fait pas.
Donc je pourrais me tromper, mais j'ai l'impression que c'est surtout un réflexe de l'acteur qui interprète Vincent : quand il voit un prénom anglophone, il le prononce à l'anglaise.

Ah j'aurais plutôt dit que c'est pour faire plus corporate, comme quand la DRH disait "Klouyss" au lieu de Chris
En plus Serge Dupire dissimule parfaitement son côté québécois, donc pourquoi ça ressurgirait seulement pour le prénom "Ian"?

lilijo63 a écrit:

Comment va-t-elle gérer son impudeur impardonnable -embrasser un garçon, dans la rue en plus- vis-à-vis de sa copine Leïla qui m'a l'air bien coincée....

Oui, ça va être intéressant... une fille pieuse au point de porter un foulard/voile n'est pas censée embrasser un garçon. C'est un péché, et pendant le ramadan en plus !! Mais de mon côté, j'aime bien justement pour le côté interdit. Les obstacles et interdits en tous genres rendent toujours les relations amoureuses plus intéressantes (Tristan et Iseult, Roméo et Juliette...)

nicolas8401 a écrit:

Ah j'aurais plutôt dit que c'est pour faire plus corporate, comme quand la DRH disait "Klouyss" au lieu de Chris
En plus Serge Dupire dissimule parfaitement son côté québécois, donc pourquoi ça ressurgirait seulement pour le prénom "Ian"?

Oui, tu as peut-être raison. C'est une pure hypothèse de ma part parce que je ne vois pas pourquoi Vincent chercherait plus à se la jouer corporate que Céline par exemple. Ou d'autres à GTS.

Concernant Nisma, ce qui me perturbe c'est qu'elle tienne absolument à porter son voile, donc à respecter sa religion mais qu'elle n'hésite pas 1. à sortir avec un non-musulman, 2. à l'embrasser, 3. en public de surcroît. Autant ne pas porter le voile, dans ce cas. Mais j'admets ne pas m'y connaitre en religion musulmane, il doit y avoir des subtilités qui m'échappent.

Elle devrait également le porter chez elle  puisqu'il y a des présences masculines.

Non pas chez elle puisque c'est la famille.

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Ans a écrit:

Concernant Nisma, ce qui me perturbe c'est qu'elle tienne absolument à porter son voile, donc à respecter sa religion mais qu'elle n'hésite pas 1. à sortir avec un non-musulman, 2. à l'embrasser, 3. en public de surcroît. Autant ne pas porter le voile, dans ce cas. Mais j'admets ne pas m'y connaitre en religion musulmane, il doit y avoir des subtilités qui m'échappent.

Ce voile c'est sa boué, ça fait penser à "ya que la foi qui sauve" peut être si elle l'a pas, elle a cette impression qui lui manque quelque chose, comme nous si on sort sans soutif (j'avais déjà pensé à cela)Sinon sortir avec un non musulman ce n'est guère possible, quoi que c'est pas Abdel qui lui interdirait.Athée ça pourrait lui poser un problème.Pas du tout sur la même longueur d'onde.

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raylen a écrit:

Elle devrait également le porter chez elle  puisqu'il y a des présences masculines.

Je savais bien que j'oubliais quelque chose! Abdel lui avait dit qu'elle pouvait l'enlever, un soir il a même dit" c'est pas la peine de te voiler pour moi (ou te couvrir la tete)"

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lilijo63 a écrit:

Non pas chez elle puisque c'est la famille.

Abdel n'est pas de sa famille.

Ans a écrit:

Concernant Nisma, ce qui me perturbe c'est qu'elle tienne absolument à porter son voile, donc à respecter sa religion mais qu'elle n'hésite pas 1. à sortir avec un non-musulman, 2. à l'embrasser, 3. en public de surcroît. Autant ne pas porter le voile, dans ce cas. Mais j'admets ne pas m'y connaitre en religion musulmane, il doit y avoir des subtilités qui m'échappent.

Si, si, elle a hésité, c'est bien ça qui rend l'histoire intéressante d'ailleurs. Là, elle est en train de franchir le rubicond parce que sortir avec ce garçon est un péché, y a pas photo !

C'est un détail mais je me demande bien où les costumières sont allées trouver le modèle de "voile" que portent Nisma et sa copine, une sorte de turban qui dégage le cou. Personnellement jamais vu ça nulle part.