Les incohérences et les invraisemblances de PBLV [Archive 15]

Julien Dardenne a écrit:

Votre insistance me fait penser à du spoiler du coup

Je te rappelle que je suis le membre fondateur de la brigade anti-spoil : un main de velours dans un gant de fer 

Non, absolument aucun spoil c'est une garantie, cependant, par expérience de téléspectateur, il y a grosso-modo 50 % de probabilités que ça se passe comme ça si Léandry venait à quitter Scotto après l'intrigue actuelle

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Shinochaz a écrit:

Tout dépend de l'évolution de l'intrigue : si la CPE se révèle super-méchante uniquement, Rochat peut la virer et nommer Mouss "à titre provisoire", un provisoire qui durerait des années.

Ah bon ? Rochat peut virer la CPE et nommer quelqu'un d'autre à sa place ? Ça fait partie des prérogatives d'un principal de lycée ?

Sinon, cette Solano est vraiment abominable. Elle fait partie de ces personnes qui ne supportent pas la moindre frustration ni la moindre contradiction. Elle n'existe que par la provocation. J'espère que dans un vrai lycée, elle serait vraiment virée. Elle aura intérêt à trouver plus tard un mari friqué ou à faire preuve d'une grande ingéniosité pour créer son entreprise, car si elle doit un jour devenir salariée, son patron ne la supportera pas une demi-heure !

Dans l'intrigue "Abdel", comment sait-il que sa ravisseuse s'appelle Hymen (enfin, c'est ce que j'ai compris) ? Il connaissait tout sur cette famille ?

Elle lui a dit je crois un truc du genre "je suis Imene, la veuve de Larbi " (homme tué par abdel), il me semble.

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Maïadelsol a écrit:

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Ah bon ? Rochat peut virer la CPE et nommer quelqu'un d'autre à sa place ? Ça fait partie des prérogatives d'un principal de lycée ?

Sinon, cette Solano est vraiment abominable. Elle fait partie de ces personnes qui ne supportent pas la moindre frustration ni la moindre contradiction. Elle n'existe que par la provocation. J'espère que dans un vrai lycée, elle serait vraiment virée. Elle aura intérêt à trouver plus tard un mari friqué ou à faire preuve d'une grande ingéniosité pour créer son entreprise, car si elle doit un jour devenir salariée, son patron ne la supportera pas une demi-heure !

Dans PBLV tout est possible 

Dans mes 33 ans de carrière j'en ai connu des comme elles dans l'entreprise où je travaille et elles n'ont pas été virées. Ces personnes là passent partout.

Et dans la réalité, il y a des jeunes qui sont dans l'opposition systématique à l'adolescence, et qui, une fois adultes, ne se distinguent plus en rien...

C'est toujours le total mystère sur la "difficile situation" de Betty: Rochat l'a dit, c'est donc considéré comme établi. Mais il n'a pas jugé bon de l'expliquer à la CPE, qui d'ailleurs ne demande rien!
Sinon, un/e CPE se pose très rarement "en frontal" devant les collègues et même les élèves.

Et même un/une CPE fera tout pour éviter le conseil de discipline;

Et souvent, les CPE vont même souvent se faire l"avocat" des élèves...

Et sinon, écouter de la musique, avec des écouteurs et hors des cours, est vraiment interdit dans les lycées ?

Julien Dardenne a écrit:

Et sinon, écouter de la musique, avec des écouteurs et hors des cours, est vraiment interdit dans les lycées ?

Pas en salle de repos...ni même dans la cour de récréation normalement...

Shinochaz a écrit:

Pas en salle de repos...ni même dans la cour de récréation normalement...

Du coup la CPE est bel et bien excessive dans son comportement...

Julien Dardenne a écrit:

Du coup la CPE est bel et bien excessive dans son comportement...

Bah c'est une caricature du "surgé" des années 50/60...

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Shinochaz a écrit:

Et souvent, les CPE vont même souvent se faire l"avocat" des élèves...

Oui, ils font le lien.

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Shinochaz a écrit:

Bah c'est une caricature du "surgé" des années 50/60...

Tout à fait!

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Shinochaz a écrit:

Pas en salle de repos...ni même dans la cour de récréation normalement...

Il me semble qu'elle a dit que le règlement l'interdisait je crois (à confirmer quand même).

iC'est en effet une question de règlement intérieur. Je crois que laCPE a fait référence au règlement intérieur.

nicolas8401 a écrit:

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Il me semble qu'elle a dit que le règlement l'interdisait je crois (à confirmer quand même).

C'est du pareil au même, règlement abusif...

Quand j'étais au lycée (milieu des années 90, ça commence à dater tout de même), nous avions un "foyer" où nous pouvions faire ce que nous voulions en dehors des heures de cours, et il y avait même une télévision. Et pourtant le proviseur était relativement austère et de l'ancienne école (il a pris sa retraite en 1997), un peu dans l'esprit de Jacques François dans "Pause Café" avec Corinne Jeannot. Je doute donc que les libertés des lycéens aient régressé  depuis, surtout avec un proviseur comme Rochat qui semble tout de même très très coulant...

Justement, la CPE ne fait qu'appliquer le règlement intérieur - que je ne trouve pas du tout abusif. Si l'on excepte la première scène de la rencontre avec Mouss, je trouve cette CPE dans son rôle pour l'instant, "normale".


Je ne sais pas si c'est parce que j'étais dans un lycée privé (mais j'ai des exemples dans mon entourage de lycées publics), en tous cas on nous serrait la vis, même davantage, et ça ne m'a pas tué. Et c'était bien après l'époque du surgé des années 50/60... 
Shino, j'étais au lycée après toi (années 2000), nous avions aussi un foyer avec pas mal de libertés. en revanche, dès qu'on en franchissait la porte, portable interdit, pas d'écouteurs, pas de chewing-gum, interdiction de quitter le lycée en cas de "trou d'emploi du temps", etc. Je pense que c'est encore le cas, et ça ne me choque pas.

"Ça ne m'a pas tué" c'est un argument ça ?

A l'époque où le naufrage de l'Education Nationale ne peut plus être dissimulé, alors que nombreuses sont les voix  qui disent que le manque d'autorité en est une des raisons, PBLV présente une CPE - personnage quasiment absent jusqu'alors - dont le souci de faire régner  l'ordre dans l'établissement est abusif, et Mouss, que l'on n'avait jamais entendu jusque-là, reprendre les poncifs pédagogistes.  Je m'empresse de rassurer : les CPE ne ressemblent pas à Léandri mais bien plutôt à Mouss, avec les résultats que l'on peut voir. Quant aux proviseurs, ils ressemblent sur bien des points à Rochat.
J'aurais une seule question à poser aux producteurs, concepteurs et auteurs de ce feuilleton de propagande : où mettent-ils leurs enfants à l'école?

Tony a écrit:

Justement, la CPE ne fait qu'appliquer le règlement intérieur - que je ne trouve pas du tout abusif. Si l'on excepte la première scène de la rencontre avec Mouss, je trouve cette CPE dans son rôle pour l'instant, "normale".


Je ne sais pas si c'est parce que j'étais dans un lycée privé (mais j'ai des exemples dans mon entourage de lycées publics), en tous cas on nous serrait la vis, même davantage, et ça ne m'a pas tué. Et c'était bien après l'époque du surgé des années 50/60... 
Shino, j'étais au lycée après toi (années 2000), nous avions aussi un foyer avec pas mal de libertés. en revanche, dès qu'on en franchissait la porte, portable interdit, pas d'écouteurs, pas de chewing-gum, interdiction de quitter le lycée en cas de "trou d'emploi du temps", etc. Je pense que c'est encore le cas, et ça ne me choque pas.

 

raylen a écrit:

A l'époque où le naufrage de l'Education Nationale ne peut plus être dissimulé, alors que nombreuses sont les voix  disent que le manque d'autorité en est une des raisons, PBLV présente une CPE - personnage quasiment absent jusqu'alors - dont le souci de faire régner  l'ordre dans l'établissement est abusif, et Mouss, que l'on n'avait jamais entendu jusque-là, reprendre les poncifs pédagogistes.  Je m'empresse de rassurer : les CPE ne ressemblent pas à Léandri mais bien plutôt à Mouss, avec les résultats que l'on peut voir. Quant aux proviseurs, ils ressemblent sur bien des pooints à Rochat.
J'aurais une seule questions aux producteurs, concepteurs et auteurs de ce feuilleton de propagande : où mettent-ils leurs enfants à l'école?

Shinochaz a écrit:

Oui d'ailleurs c'est amusant de constater que les élèves semblent avoir cours toujours dans la même salle

On s'était fait la réflexion à l'époque où la (brève) copine de Nathan donnait cours d'Arts Plastique dans une salle de cours tout à fait ordinaire (sans matériel quelconque), c'était complètement absurde

Dans mon école, pas mal de salles de classes était dédiées à un cours en particulier (dans les salles d'Histoire et de Géographie par exemple, on retrouvait un tas de cartes accrochées aux murs, des atlas ou de la documentation sur les étagères etc; et en ce qui concerne l'Art Plastique, nous étions installés dans un grenier qui regorgeait de matériel en tous genre - peinture, plâtre, crayons - , le cours donné à Scotto ressemblait plus à de l'Histoire de l'Art j'ai l'impression).

Tony a écrit:

Justement, la CPE ne fait qu'appliquer le règlement intérieur - que je ne trouve pas du tout abusif. Si l'on excepte la première scène de la rencontre avec Mouss, je trouve cette CPE dans son rôle pour l'instant, "normale".


Je ne sais pas si c'est parce que j'étais dans un lycée privé (mais j'ai des exemples dans mon entourage de lycées publics), en tous cas on nous serrait la vis, même davantage, et ça ne m'a pas tué. Et c'était bien après l'époque du surgé des années 50/60... 
Shino, j'étais au lycée après toi (années 2000), nous avions aussi un foyer avec pas mal de libertés. en revanche, dès qu'on en franchissait la porte, portable interdit, pas d'écouteurs, pas de chewing-gum, interdiction de quitter le lycée en cas de "trou d'emploi du temps", etc. Je pense que c'est encore le cas, et ça ne me choque pas.

Sauf que Lola était au foyer justement...