USGS : L'épisode du jour, commentaires au quotidien (archive 22)

@Pulsion: « Bon sinon j'ai hâte, enfin.....un empressement assez relatif, de voir Alix se faire avoir bien comme il faut par le copain d'Hélène.
Je constate que Claudine est tranquille pour l'instant puisque Johanna est repassée au second plan avec son Yann. La vengeance attendra apparemment.
L'affaire Mélissa m'a hélas vite lassé et le cas Tom l'ecorché vif me gonfle un peu. Il faut supporter ce gnangnan de Ludo. »
J’aurais pu écrire la même chose. Tom et Mélissa m’ennuient.

» Voir le message cité

Shinochaz a écrit:

Un peu comme moi lorsque je me moque des origines flamandes de  @Flora24

Certes on peut s'en moquer, mais elle Flora pourrait se moquer des nôtres c'est pas à sens unique lol

ailebrune a écrit:

Je partage tout à fait ta définition d'un forum et celui-ci est d'autant plus précieux qu'il permet un échange continu avec des personnes extrêmement différentes : âge, métier, lieu de vie, goûts, opinions...
Et pour ce qui est de rire de tout, oui bien sûr, Charlie Hebdo, Desprosges, Coluche, toussa, toussa.
Mais c'est un peu théorique en fait. Rire de tout ? Vraiment ? N'importe quelle situation cruelle, voire barbare ? Genre une personne en train de se faire torturer ? Une maman en train d'étouffer avec son bébé dans une chambre à gaz ? Un enfant qui se fait violer par son père ? J'aurais tendance à penser que personne ne peut rire de tout. J'apprécie de vivre dans une société qui en défend le principe mais on peut aussi entendre quand quelqu'un est bouleversé.

Avec l’humour noir, le vrai, on peut plaisanter sur les pires horreurs, pour les tourner en dérision, en quelque sorte les exorciser. Mais c’est délicat à manier.
Pour celui qui reçoit un trait d’humour noir, la réaction dépend de la sensibilité et du moment, de sa proximité avec le sujet abordé.
En ce qui concerne les blagues ( humour noir ou non), chacun n’est pas sensible au même type d’humour. Par exemple, certains vont retenir le côté amusant des blagues salaces tandis que d’autres ne vont y voir que le côté grossier.
Dans une conversation, une plaisanterie, un bon mot doivent, pour faire mouche, être dits au moment opportun.

Guylaine a écrit:

@Flora24
Je suis pour la liberté d’expression totale et tu as bien sûr le droit de dire que certains commentaires te donnent envie de vomir même si je ne partage pas cette façon d’argumenter et que je continue à dire que c’est un manque de respect pour les personnes qui ne pensent pas comme toi.

Flora exprime ce qu'elle a ressenti, de la nausée. Elle n'a strictement rien formulé sur autrui.
En quoi manque-t-elle de respect ?
La liberté d'expression, c'est ok pour "rire de tout" mais c'est pas OK quand quelqu'un est bouleversé ?

Pulsion a écrit:

Oui enfin de manière générale, on dit souvent que l'on peut rire de tout mais pas avec tout le monde. 

Val a écrit:

Avec l’humour noir, le vrai, on peut plaisanter sur les pires horreurs, pour les tourner en dérision, en quelque sorte les exorciser. Mais c’est délicat à manier.
Pour celui qui reçoit un trait d’humour noir, la réaction dépend de la sensibilité et du moment, de sa proximité avec le sujet abordé.
En ce qui concerne les blagues ( humour noir ou non), chacun n’est pas sensible au même type d’humour. Par exemple, certains vont retenir le côté amusant des blagues salaces tandis que d’autres ne vont y voir que le côté grossier.
Dans une conversation, une plaisanterie, un bon mot doivent, pour faire mouche, être dits au moment opportun.

Manuela a écrit:

@Flora24 et  @Val  Je ne vais pas non plus m'étendre sur le sujet, je n'ai même pas pu finir de lire tellement j'etais

 Manuela
Je viens sur le forum pour un moment plaisant, surtout pour y parler de la série et des personnages. 
Devoir lire trop de commentaires qui me hérissent finit par me faire craindre ce que je vais y trouver. Même si, bien sûr, chacun a le droit de dire ce qu’il veut dans la mesure où ses propos respectent les règles de conduite sur un forum.
Je n’ai pas envie de répondre aux posts des personnes dont les conceptions sont trop éloignées des miennes. Je ne viens pas sur ce forum pour défendre des opinions, en gros pour me battre, mais pour me distraire.
Mais, c’est personnel. D’autres peuvent apprécier de débattre sur des idées, sur des sujets de fond ou des faits de société et être moins anecdotiques ou factuels que moi.

@ailebrune, la nausée s'appliquait non pas à l'intrigue mais à un commentaire donc au commentateur . C'est un manque de respect car la personne est en droit d'avoir une opinion , et même cela frôle l'insulte. De plus, je trouve que les remarques du genre "je refuse de commenter certains commentaires" est une formulation hypocrite . En effet,  dire "je ne veux pas commenter", c'est déjà commenter  tout en restant suffisamment vague pour que tout le monde ou personne puisse se sentir visé mais se trouve ainsi privé d'un droit de réponse.

Raylen, la nausée, c'est ce qu'a ressenti la personne en lisant certains commentaires. Elle parle de ce qu'elle ressent. Si quelqu'un dit "je suis triste / choqué / écoeuré / effrayé" etc, il parle de ce qu'il ressent. Je ne vois absolument pas en quoi c'est un manque de respect. Ne pas parvenir à commenter, ça peut vouloir dire beaucoup de choses. Dans ce contexte, ça peut être tout simplement que la personne est si bouleversée qu'elle ne trouve pas les mots. Je ne vois pas en quoi qui que ce soit est privé d'un droit de réponse.

ailebrune a écrit:

D'ailleurs, je me demande bien pourquoi elle a besoin de lui à la galerie, à venir partager son non-savoir-faire

Après l’art abstrait Alix veut se lancer dans l’art naïf avec Ludo aux pinceaux…

ailebrune a écrit:

Raylen, la nausée, c'est ce qu'a ressenti la personne en lisant certains commentaires. Elle parle de ce qu'elle ressent. Si quelqu'un dit "je suis triste / choqué / écoeuré / effrayé" etc, il parle de ce qu'il ressent. Je ne vois absolument pas en quoi c'est un manque de respect. Ne pas parvenir à commenter, ça peut vouloir dire beaucoup de choses. Dans ce contexte, ça peut être tout simplement que la personne est si bouleversée qu'elle ne trouve pas les mots. Je ne vois pas en quoi qui que ce soit est privé d'un droit de réponse.

Certains sujets nous touchent de près, tout dépend de ce qu’on vit ou de ce qu’on a vécu. Ça peut rendre les réactions plus vives et les échanges plus difficiles.

Apparemment, on ne reverra plus Sofia. Encore un perso que j’aimais bien et qui s’en va. 
https://www.programme-tv.net/news/series-tv/322594-un-si-grand-soleil-france-2-alice-bastide-maelle-mietton-et-sofia-caballo-marie-clotilde-ramos-ibanez-reviendront-elles-dans-le-feuilleton-la-reponse/

@ailebrune : « Flora exprime ce qu'elle a ressenti, de la nausée. Elle n'a strictement rien formulé sur autrui.
En quoi manque-t-elle de respect ?
La liberté d'expression, c'est ok pour "rire de tout" mais c'est pas OK quand quelqu'un est bouleversé ? »

Je ne pensais pas déclencher un tel débat. Disons qu’en lisant : « certains posts me filent la nausée », j’ai ressenti un malaise. Cette formulation suggère que certains commentaires sont si répugnants qu’ils provoquent la nausée. Je trouve en effet que c’est un manque de respect pour les personnes visées ( même si pas nommées) et que cela ne favorise pas le dialogue.

» Voir le message cité

ailebrune a écrit:

Raylen, la nausée, c'est ce qu'a ressenti la personne en lisant certains commentaires. Elle parle de ce qu'elle ressent. Si quelqu'un dit "je suis triste / choqué / écoeuré / effrayé" etc, il parle de ce qu'il ressent. Je ne vois absolument pas en quoi c'est un manque de respect. Ne pas parvenir à commenter, ça peut vouloir dire beaucoup de choses. Dans ce contexte, ça peut être tout simplement que la personne est si bouleversée qu'elle ne trouve pas les mots. Je ne vois pas en quoi qui que ce soit est privé d'un droit de réponse.

Il me semble ailebrune que dans " ça m'a donné envie de vomir" ou "ça m'a donné la nausée"  il y a la volonté d'être désobligeant et de dénigrer les propos de l'autre, et ce, sans lui donner la possibilité de répondre puisque le commentaire ne dit pas précisément ce qui a donné envie de vomir. Je maintiens ce que j'ai dit pour le reste. C'est doublement hypocrite , d'un parce que ne pas commenter , c'est déjà commenter et marquer sa désapprobation sans dire en quoi, et d'autre part,  c'est laisser planer le doute sur les interlocuteurs visés. C'est envoyer des flèches sans en avoir l'air tout en se mettant à l'abri d'une réponse.
Ce que j'ai remarqué, dans cette intrigue, comme dans celles d'Emma et de Sophie dans PBLV, c'est que dès qu'une personne est victime, elle devient intouchable et toute raison se perd. Je prends un exemple : au commissariat  , Melissa dit avoir contacté James à la suite d'une annonce parue sur le net. "Je sais , c'est con", dit-elle. La policière, Aya je crois , l'interrompt tout de suite  : "vous êtes la victime". Or, on peut être victime et avoir fait une connerie. Il n'est écrit nulle part qu'une victime doit être une sainte.  Qu'est-ce qui empêchait la policière de dire à Melissa quelque chose du genre : "un photographe professionnel n'a pas besoin de passer des annonces sur Internet. il travaille avec des agences. Ce genre d'annonces est à fuir". Elle rendait ainsi service à la victime en lui évitant de retomber dans le même traquenard, sans la faire taire, sans l'infantiliser. La policière n'a pas à être dans l'émotion mais l'efficacité pour protéger la victime et traquer ses bourreaux.

La période où Ludo se prostituait et qu'Alix était sa proxénète était présentée comme rigolote (du moins jusqu'à ce que Ludo ait découvert qu'il couchait avec la mère de Noémie). Personne n'a hurlé à l'indécence, bien au contraire.

Paty a écrit:

Ce qui me frappe, chez Mélissa, c'est sa solitude ! Car-arrêtez-moi si je me trompe-elle ne connaît Inès que depuis que celle-ci travaille au bar, non ? Donc, elle n'avait ni famille ni amis, à part son patron qui est bienveillant. Personne à qui parler, sur qui prendre exemple, pour se refiler des trucs pratiques, etc.

Ca me paraît très simple : Melissa est tellement toxique que toutes ses connaissances ont rompu net avec elle après qu'elle leur a emprunté de l'argent sans jamais le leur rendre.

@Danton Q: « Ca me paraît très simple : Melissa est tellement toxique que toutes ses connaissances ont rompu net avec elle après qu'elle leur a emprunté de l'argent sans jamais le leur rendre. »

Danton Q a écrit:

La période où Ludo se prostituait et qu'Alix était sa proxénète était présentée comme rigolote (du moins jusqu'à ce que Ludo ait découvert qu'il couchait avec la mère de Noémie). Personne n'a hurlé à l'indécence, bien au contraire.

Euh si

Je n'ai pas "hurlé à l'indécence", mais déjà à l'époque où Eliott était littéralement obligé de se taper Justine et ses copines de partouzes pour avoir de la thune pour financer son bar (ce qui est techniquement de la prostitution) j'avais déjà dénoncé la "légèreté" de la mise en scène de la situation. Le traitement aurait sans doute été radicalement différent si on avait eu un un inversement des sexes des personnages. 

Et on a finalement une situation pas si différente sur le fond avec les déboires de Mélissa. Mais imaginez si Inès se foutait d'elle (comme Charles à l'époque avec Eliott) car il y a pire que se "taper trois beaux mecs"...

@Shinochaz : « Je n'ai pas "hurlé à l'indécence", mais déjà à l'époque où Eliott était littéralement obligé de se taper Justine et ses copines de partouzes pour avoir de la thune pour financer son bar (ce qui est techniquement de la prostitution) j'avais déjà dénoncé la "légèreté" de la mise en scène de la situation. Le traitement aurait sans doute été radicalement différent si on avait eu un un inversement des sexes des personnages..... »

Oui et si je me souviens bien Justine abusait de son pouvoir pour imposer ces relations à Eliott. Enfin il me semble.

Tom et Melissa m'ennuient aussi maintenant.

Tom, m'est antipathique depuis le départ, en fait : un petit délinquant odieux, dont il est tellement évident qu'il va s'amender grâce à l'action dégoulinante de bienveillance de Noémie, Ludo et Rémi... Tellement téléphoné, tout ça !

Et Melissa, avec un tout un commissariat mobilisé pour enquêter, il faudrait que ça avance ! Ça manque de suspens...

Comme Pulsion, j'attends "de voir Alix se faire avoir bien comme il faut par le copain d'Hélène" .

Danton Q a écrit:

La période où Ludo se prostituait et qu'Alix était sa proxénète était présentée comme rigolote (du moins jusqu'à ce que Ludo ait découvert qu'il couchait avec la mère de Noémie). Personne n'a hurlé à l'indécence, bien au contraire.

Shinochaz a écrit:

Euh si

Je n'ai pas "hurlé à l'indécence", mais déjà à l'époque où Eliott était littéralement obligé de se taper Justine et ses copines de partouzes pour avoir de la thune pour financer son bar (ce qui est techniquement de la prostitution) j'avais déjà dénoncé la "légèreté" de la mise en scène de la situation. Le traitement aurait sans doute été radicalement différent si on avait eu un un inversement des sexes des personnages. 

Et on a finalement une situation pas si différente sur le fond avec les déboires de Mélissa. Mais imaginez si Inès se foutait d'elle (comme Charles à l'époque avec Eliott) car il y a pire que se "taper trois beaux mecs"...

Les filles sont toujours présentées comme de pauvres victimes faiblardes que l'on doit plaindre et secourir face aux méchants mecs. Dans des situations identiques, l'homme n'inspire aucune compassion. Pire, il est ridiculisé, voire sévèrement critiqué car lui, "il l'a bien cherché". Je pense notamment aux gifles...

» Voir le message cité

Danton Q a écrit:

Ca me paraît très simple : Melissa est tellement toxique que toutes ses connaissances ont rompu net avec elle après qu'elle leur a emprunté de l'argent sans jamais le leur rendre.

C'est bien possible. Au bout d'un moment, on se lasse d'aider une personne qui se colle sciemment dans des situations impossibles, et compte sur les autres pour l'en sortir.

» Voir le message cité

raylen a écrit:

» Voir le message cité



Ce que j'ai remarqué, dans cette intrigue, comme dans celles d'Emma et de Sophie dans PBLV, c'est que dès qu'une personne est victime, elle devient intouchable et toute raison se perd. Je prends un exemple : au commissariat  , Melissa dit avoir contacté James à la suite d'une annonce parue sur le net. "Je sais , c'est con", dit-elle. La policière, Aya je crois , l'interrompt tout de suite  : "vous êtes la victime". Or, on peut être victime et avoir fait une connerie. Il n'est écrit nulle part qu'une victime doit être une sainte.  Qu'est-ce qui empêchait la policière de dire à Melissa quelque chose du genre : "un photographe professionnel n'a pas besoin de passer des annonces sur Internet. il travaille avec des agences. Ce genre d'annonces est à fuir". Elle rendait ainsi service à la victime en lui évitant de retomber dans le même traquenard, sans la faire taire, sans l'infantiliser. La policière n'a pas à être dans l'émotion mais l'efficacité pour protéger la victime et traquer ses bourreaux.

Il n'y a pas que la policière. Tout le monde fait la même chose : Inès, Mo, Gary, Enzo, Florent...

» Voir le message cité

Val a écrit:

 Manuela
Je viens sur le forum pour un moment plaisant, surtout pour y parler de la série et des personnages. 
Devoir lire trop de commentaires qui me hérissent finit par me faire craindre ce que je vais y trouver. Même si, bien sûr, chacun a le droit de dire ce qu’il veut dans la mesure où ses propos respectent les règles de conduite sur un forum.
Je n’ai pas envie de répondre aux posts des personnes dont les conceptions sont trop éloignées des miennes. Je ne viens pas sur ce forum pour défendre des opinions, en gros pour me battre, mais pour me distraire.
Mais, c’est personnel. D’autres peuvent apprécier de débattre sur des idées, sur des sujets de fond ou des faits de société et être moins anecdotiques ou factuels que moi.

Pour ma part, je trouve que l'attrait de ce forum réside justement dans les échanges de points de vue, non seulement sur les intrigues et les personnages, mais également sur des faits de société, et les prises de positions que ces faits engendrent. Il ne s'agit pas de se battre, mais de débattre, et il est tout à fait normal que nous puissions avoir des conceptions éloignées les unes des autres sur certains sujets. C'est, je crois, Ailebrune, qui a écrit plus haut que nous avions tous des parcours différents (âge, sexe, lieu de vie, milieu social, expérience professionnelle...). Il est donc logique que nos visions divergent (mais se se rejoignent aussi parfois) sur un même évènement, en fonction du vécu de chacun.

Je trouverais dommage que tu te lasses de participer pour cette raison.

Val a écrit:

Avec l’humour noir, le vrai, on peut plaisanter sur les pires horreurs, pour les tourner en dérision, en quelque sorte les exorciser. Mais c’est délicat à manier.
Pour celui qui reçoit un trait d’humour noir, la réaction dépend de la sensibilité et du moment, de sa proximité avec le sujet abordé.
En ce qui concerne les blagues ( humour noir ou non), chacun n’est pas sensible au même type d’humour. Par exemple, certains vont retenir le côté amusant des blagues salaces tandis que d’autres ne vont y voir que le côté grossier.
Dans une conversation, une plaisanterie, un bon mot doivent, pour faire mouche, être dits au moment opportun.

Val a écrit:

Certains sujets nous touchent de près, tout dépend de ce qu’on vit ou de ce qu’on a vécu. Ça peut rendre les réactions plus vives et les échanges plus difficiles.

Val, je suis d'accord avec tes deux commentaires. Il n'empêche que je ne suis pour censurer aucune forme d'humour (ou de caricatures). Pour reprendre l'exemple de Charlie Hebdo, ce qui ne me plaît pas, ne me fait pas rire, je tourne la page. Autre exemple : j'adore Coluche ou Desproges, mais je n'aime pas du tout Bigard. Eh bien, je ne le l'écoute pas, epicétou...