Relevez et commentez les plus belles répliques, les PBR (archive 5)

Ce qu'on nous montre là n'a strictement rien à voir avec le protocole recommandé en cas de trauma violent, et de risque de stress post traumatique.
Se contenter de parler du trauma et, éventuellement du passé (enfance etc) ne va en rien aider. Ça peut même au contraire enkyster les choses.

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Martingale a écrit:

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Je vois les choses exactement comme toi, et c'est pour cela que j'ai arrêté avec le psychiatre pour être plutôt suivi par une psychologue car les psychologues sont plus interactives et aident bien plus à parler et à réfléchir sur les problèmes qui nous concernent. Elles sont également plus dans l'empathie tandis que les psychiatres sont plus distants et ont l'air plus insensibles, ce qui n'aide pas trop non plus.

Une année, mon gamin déconnait grave (adolescence de mouise !). Il a vu une psy, plusieurs fois. Elle nous a reçu ensuite en nous disant que ce que mon fils avait dit restait confidentiel, ok. MAIS jamais elle ne nous a donné le moindre conseil, sur comment nous comporter avec notre énergumène pour essayer de rattraper le coup. 10 ans plus tard, il continue à traîner son spleen et nous à stresser... mais il ne veut plus voir "quelqu'un". C'est vachement malin.

Ma soeur a été suivie par une psy il y a quelques années car elle avait un blocage au niveau professionnel (elle a subi une espece de harcelement professionnel de la part de son patron qui lui minait le moral...)
Elle n'arrivait pas à envisager de travailler à nouveau.

Et bien la psy a débloqué des choses en elle en l'espace de quelques mois, et aujourd'hui elle a un nouveau boulot ou elle s'épanouit completement! 
La psy qui connait un peu ma mere ,lui a dit que ma soeur "revenait de loin"! 

La réussite de la thérapie doit dépendre de la qualité du psy, de la motivation du patient et du rapport de confiance qu'il y a entre eux ,je pense.

Sinon:

Jp: "Alors le psy t'a débloqué des trucs?"
Ariane: "C'est plutôt lui qui débloque!" 

Clément : "Les sentiments, ça s'additionne. Ça se retranche pas."

Il a le sens de la formule

likeasunshine a écrit:

Sinon:

Jp: "Alors le psy t'a débloqué des trucs?"
Ariane: "C'est plutôt lui qui débloque!" 

1848 a écrit:

Clément : "Les sentiments, ça s'additionne. Ça se retranche pas."

Joli. Et c'est parfois vrai.

Un patient va consulter un psychiatre, Dr, je ne peux plus dormir, je ne sais pas ce qui se passe, il y a quelqu'un sous mon lit, le Dr dit, je vois, cela va être une longue thérapie au minimum un an, visite hebdomadaire et 150€ la séance, d'accord, ça me  va, alors on commence aujourd'hui, au bout de deux semaines le patient ne reviens plus et coïncidence il rencontre son psy, qui lui demande pourquoi il ne vient plus, le patient répond, je suis guéri, c'est un collègue de boulot qui a réussi. Ah et comment demande le psy, il m'a conseillé de scier les pieds de mon lit, et depuis il n'y a plus personne sous mon lit.

1848 a écrit:

Clément : "Les sentiments, ça s'additionne. Ça se retranche pas."

On n'est pas loin d'un slogan de Banque Populaire.

Antoine à Clément : "A quoi ça sert de parler avec toi, t'es toujours en boucle"
lol

Clément à Delphine: "Quand on a fait l'amour, c'était pour m'endormir?"
Ben non justement

Mila à Tom :
"Donc là t’es parti loin. Le mec se fait passer pour un hétéro, mais il est homo. Il te frappe, mais en fait il t’aime. Et quand tu l’as tasé, c’était une déclaration d’amour ?"

Bon résumé de leur relation

J'ai pas entendu le lapsus freudien à propos de la couette. Sssi quelqu'un a capté...

raylen a écrit:

J'ai pas entendu le lapsus freudien à propos de la couette. Sssi quelqu'un a capté...

Je pensais justement à relever ce dialogue.

Alex : -"Je prenais un verre de vin vous m'accompagnez ?
Ariane : - Non merci, c'est gentil. Je vous laisse à vos plaisirs solitaires.
[...]
Alex : - Donnez-moi votre duvet alors, je vais vous aimer. Vous aider. C'était un lapsus.
Ariane : - Ah. Je savais pas que les psy en faisaient aussi.
Alex : - Ca arrive à tout le monde. Puis c'est pas forcément révélateur de quoi que ce soit. Je vous installe sur le canapé, ce sera plus confortable pour se toucher."

Mais les pauses et les expressions de cette scène ont beaucoup participé à son intérêt.

Retranscrit comme ça, c'est marrant, oui ... mais dans le scénario, c'était vraiment gros !

Paty a écrit:

Retranscrit comme ça, c'est marrant, oui ... mais dans le scénario, c'était vraiment gros !

Oh bah moi entre les tensions chez les Bommel, la relation malsaine Tom/Luis, Jeanne qui confond encore Elise et Mila, les surcharges de travail et les mecs qui se font buter, un peu de badinage sans prise de tête, je prends volontiers.

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7fanfan7 a écrit:

Je pensais justement à relever ce dialogue.

Alex : -"Je prenais un verre de vin vous m'accompagnez ?
Ariane : - Non merci, c'est gentil. Je vous laisse à vos plaisirs solitaires.
[...]
Alex : - Donnez-moi votre duvet alors, je vais vous aimer. Vous aider. C'était un lapsus.
Ariane : - Ah. Je savais pas que les psy en faisaient aussi.
Alex : - Ca arrive à tout le monde. Puis c'est pas forcément révélateur de quoi que ce soit. Je vous installe sur le canapé, ce sera plus confortable pour se toucher."

Mais les pauses et les expressions de cette scène ont beaucoup participé à son intérêt.

Merci Fanfani

Vendredi, ze réplique  :
Antoine : "Il faut que je pense un peu à moi, maintenant"

Mais quelle blague 

Paty a écrit:

Retranscrit comme ça, c'est marrant, oui ... mais dans le scénario, c'était vraiment gros !

Le dialogue est en effet excellent, mais c'était très peu naturel, très théâtral...on sentait qu'ils récitaient un texte

Même impression. Je ne perçois pas franchement  d'alchimie entre les comédiens. Ça fonctionnait mille fois mieux entre les interprètes d'Ariane et JP.