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nicolas8401 a écrit:

Il a une influence croissante auprès de Patrick. Et son livre fait un peu secte je trouve.

@Nicolas et Raylen oui effectivement, vous avez surement raison.je me suis dit en regardant"quel courage de se priver" mais en réfléchissant, il "ramasserait" à la petite cuillère comme on dit, les gens dans la détresse, la fragilité, telle la situation de Patrick.A suivre......

Paty a écrit:

Ben tant mieux si elle sait se faire plaisir à l'occasion !

De toute façon, elle était limite OOC lors de ses conseils à Laetitia !

 

Et sinon oui, elle était même complètement OOC, à tous points de vue

Pour moi Emilie était surtout ooc dans sa façon de parler (sans aucun tact) à Laetitia. Après, qu'elle préconise des produits minceur, ça va plutôt avec son personnage je trouve.

Paty a écrit:

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Oups, pardon ! Expression toute faite !

A défaut il peut très bien lui tomber dans les os (selon une expression qu'on emploie chez moi : "Tombé en zo ay").

Au départ je me méfiais de lui car je pensais qu'il allait faire des avances à Patrick et lui rappeler son traumatisme.

Sinon le mur d'Estelle n'était-il pas vert ?

Pas de peinture aujourd'hui

Faut attendre que le blanc sur le vert ait bien séché -et ce n'est pas gagné avec ce temps humide !

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nicolas8401 a écrit:

Pour moi Emilie était surtout ooc dans sa façon de parler (sans aucun tact) à Laetitia. Après, qu'elle préconise des produits minceur, ça va plutôt avec son personnage je trouve.

Oui, c'était surtout ça ; mais je ne me souviens pas qu'à la maison, chez sa mère, etc., quoi, elle en ait autant parlé, de la bouffe saine ...

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Ans a écrit:

A défaut il peut très bien lui tomber dans les os (selon une expression qu'on emploie chez moi : "Tombé en zo ay").

Au départ je me méfiais de lui car je pensais qu'il allait faire des avances à Patrick et lui rappeler son traumatisme.

Sinon le mur d'Estelle n'était-il pas vert ?

Si. Mais, soit Francesco blaguait en disant "jaune", et faisait référence à leur discussion devant les échantillons, où Estelle parlait de "vert qui tirait sur le jaune" et de "vert qui tirait sur le bleu", soit il est daltonien ...

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Paty a écrit:

Faut attendre que le blanc sur le vert ait bien séché -et ce n'est pas gagné avec ce temps humide !

En espérant que les scénaristes ne vont pas en remettre une couche

Ah, joli !

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nicolas8401 a écrit:

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En espérant que les scénaristes ne vont pas en remettre une couche

Eh si ! Avant c'était la sous couche

Paty a écrit:

Faut attendre que le blanc sur le vert ait bien séché -et ce n'est pas gagné avec ce temps humide !

nicolas8401 a écrit:

En espérant que les scénaristes ne vont pas en remettre une couche

Ça serait la couche culottée

Très bien vu le groupe du coach, tous cueillis à un moment difficile de leur vie. Et qui lui doivent "tout", comme le confie l'un d'entre eux à Patrick. Il avait un cancer, a perdu son job, son logement... et aujourd'hui, il est guéri, a un job, "et même une chérie. "Et tout ça, c'est grâce à Olivier".

Bon boulot des scénaristes. Même si dans la vraie vie, ce processus prend plus de temps que quelques jours bien sûr.

Ça reflète bien un paquet de "thérapies" et "techniques de développement personnel" de plus en plus répandues, très séduisantes et tout aussi dangereuses. Parfois par leur seule emprise psychologique. Et souvent parce qu'elles détournent de vraies thérapies indispensables, coupent insidieusement la personne de son entourage et vident au passage son portefeuille.

La preuve de cette emprise, le coup de fil désespéré de Patrick à la fin. Froid dans le dos, l’autre avec sa voix douce, ses réponses imparables...

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ailebrune a écrit:

Ça serait la couche culottée

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Ans a écrit:

La preuve de cette emprise, le coup de fil désespéré de Patrick à la fin. Froid dans le dos, l’autre avec sa voix douce, ses réponses imparables...

Que Patrick soit traumatisé, c'est normal. Ce qu'il a vécu est le comble de l'humiliation. Mais bon sang, quelle nouille de ne pas être allé voir un psy, si non celui de la police, au moins à l'hosto. Ne même pas en avoir parlé à Babeth, c'est aussi, je pense, un énorme manque de confiance en elle. D'autant plus qu'elle n'est pas en sucre et en voit de belles à l'hôpital. Ca m'énerve terriblement ces personnages qui pensent qui "vont s'en sortir seuls, tkt je gère", et qui, en réalité, se noient en rejetant ceux qui pourraient les aider.
En tout cas, cet Olivier, je m'en méfie. D'ailleurs, c'est un personnage a priori sympathique donc qui va devenir dangereux..

Quand on a honte, je pense qu'il est plus facile de se confier à un inconnu qu'à ceux qu'on aime, donc je peux comprendre Patrick. Par contre je comprends moins qu'il ne tique pas sur le fait que ça sente la secte à plein nez cette affaire. Bon c'est vrai qu'il est un peu paumé en ce moment.
Etonnant aussi qu'Olivier prenne le risque de prendre en charger Patrick sachant que celui-ci est de la police.

Je pense qu'il a plutôt bien géré avec Babeth, il a soulagé sa conscience sans rentrer dans les détails. Après il vallait mieux en parler à un inconnu en effet, mais à un PRO.

lilijo63 a écrit:

Que Patrick soit traumatisé, c'est normal. Ce qu'il a vécu est le comble de l'humiliation. Mais bon sang, quelle nouille de ne pas être allé voir un psy, si non celui de la police, au moins à l'hosto. Ne même pas en avoir parlé à Babeth, c'est aussi, je pense, un énorme manque de confiance en elle. D'autant plus qu'elle n'est pas en sucre et en voit de belles à l'hôpital. Ca m'énerve terriblement ces personnages qui pensent qui "vont s'en sortir seuls, tkt je gère", et qui, en réalité, se noient en rejetant ceux qui pourraient les aider.

Il aurait en effet dû voir un psy. Mais sa réaction après un tel trauma est très courante. C'est horrible car ça ne devrait évidemment pas être le cas, mais dans le cadre d'un viol, c'est souvent la victime qui est ravagée par un sentiment de honte. Du coup, très compréhensible qu'il n'en ait pas non plus parlé à Babeth, précisément parce que c'est son partenaire amoureux.

nicolas8401 a écrit:

Quand on a honte, je pense qu'il est plus facile de se confier à un inconnu qu'à ceux qu'on aime, donc je peux comprendre Patrick. Par contre je comprends moins qu'il ne tique pas sur le fait que ça sente la secte à plein nez cette affaire. Bon c'est vrai qu'il est un peu paumé en ce moment.
Etonnant aussi qu'Olivier prenne le risque de prendre en charger Patrick sachant que celui-ci est de la police.

C'est précisément parce qu'il est paumé que ses défenses et bon sens habituels sont en vrac, et qu'il ne flaire pas le danger d'un type comme Olivier. Les gens qui se font avoir par des thérapeutes dangereux, voire des sectes, ne sont en général pas des imbéciles, loin de là. Mais ils sont dans une période de fragilisation.
Mais d'accord avec toi pour Olivier : peu prudent d'attirer un commandant de police dans ses filets.

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nicolas8401 a écrit:

Quand on a honte, je pense qu'il est plus facile de se confier à un inconnu qu'à ceux qu'on aime, donc je peux comprendre Patrick. Par contre je comprends moins qu'il ne tique pas sur le fait que ça sente la secte à plein nez cette affaire. Bon c'est vrai qu'il est un peu paumé en ce moment.
Etonnant aussi qu'Olivier prenne le risque de prendre en charger Patrick sachant que celui-ci est de la police.

Quand c'est comme ça, on dirait qu'on" perd" sa profession, il n'y a plus de flic, commandant, prof ou autre, on est un humain fragile tout simplement, à la merci de quelqu'un qui s'intéresse à soi et "comprend tout"

fiesta34 a écrit:

Quand c'est comme ça, on dirait qu'on" perd" sa profession, il n'y a plus de flic, commandant, prof ou autre, on est un humain fragile tout simplement, à la merci de quelqu'un qui s'intéresse à soi et "comprend tout"

 
C'était bien montré hier soir d'ailleurs, quand Patrick est recroquevillé sur son fauteuil, l'air à la fois terrifié et aussi perdu qu'un petit enfant et qu'il appelle Olivier.

Oui et on dirait qu'il passe à l'étape supérieure, Olivier a su créé le besoin, maintenant, Patrick ressent le manque de celui ci quand il a ses crises d'angoisse.

Pourvu que Karim ne fasse pas de bêtise ! Tous ces sourires et ces regards humides entre Elsa et Revel ne lui ont pas échappé malheureusement.