USGS : L'épisode du jour, commentaires au quotidien (archive 24)

Pulsion a écrit:

Je trouve que Alix découvre un peu trop souvent des trésors cachés ( tableaux, lettres), même si faux de à à  z. 
Ça fait pas crédible et normalement marc le mou au lieu de plonger bêtement à chaque fois devrait se montrer soupçonneux.  Mais non !  
Les vols dans cette série ont la côte malheureusement.  Rarement punis. Comme si c'était cool et exécutés par Arsène Lupin.  
Claire par exemple serait mal placée pour juger un cambrioleur.

 Sur un laps de temps aussi court, toujours au profit de la galerie Dardel,  c’est plus que suspect! 

M Mourre avait remis en cause l’authenticité des Brénas dans un article. Mais la police n’a pas réussi à démontrer que c’était des faux. Mourre a dû s’excuser. Depuis, il roule pour Alix et a semble-t-il cessé de se poser des questions, d’autant plus que la galerie Datdel a exposé ses photos.

Shinochaz a écrit:

Jusqu'à ce que l'on découvre que Berthier tire les ficelles depuis le début

 Mais oui! Je l’avais oublié lui! Dans tous les mauvais coups, sans oublier l’enlèvement de Victor 

Flora24 a écrit:

Très contente de te lire, Val! 

Merci Flora, de même pour moi!

ailebrune a écrit:

Très contente de te revoir parmi nous. J'espère que tu vas bien

 Merci Ailebrune. Ça va, en tout cas bien mieux qu’en avril, quand j’ai arrêté forum et série.

Val a écrit:

 Mais oui! Je l’avais oublié lui! Dans tous les mauvais coups, sans oublier l’enlèvement de Victor 

N'empêche si un jour Berthier est un coupable inattendu, je serais capable de le spoiler juste pour le principe

Val a écrit:

 Mais oui! Je l’avais oublié lui! Dans tous les mauvais coups, sans oublier l’enlèvement de Victor 

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Val a écrit:

 Merci Ailebrune. Ça va, en tout cas bien mieux qu’en avril, quand j’ai arrêté forum et série.

Cool !

Ce qui m'espante, c'est qu'à ce stade, où Victor est manifestement embringué dans une histoire grave, impliquant une braqueuse évadée, des faussaires en art, une foldingue, Claire continue à mentir à Manu pour dissimuler sa disparition troublante.

Tant qu'elle n'était pas trop sûre de ce qui se cachait derrière sa soudaine absence, pourquoi pas, mais là il est évident que quelque chose de grave se trame et que son père est susceptible d'être en danger. Dès lors, pour quelle raison refuser l'aide de la police ? Et même s'il a quelque chose à se reprocher, il est préférable de lui provoquer quelques ennuis judiciaires plutôt que de le laisser courir un risque.

» Voir le message cité

Pulsion a écrit:

Je trouve que Alix découvre un peu trop souvent des trésors cachés ( tableaux, lettres), même si faux de A à  Z.
Ça fait pas crédible et normalement marc le mou au lieu de plonger bêtement à chaque fois devrait se montrer soupçonneux.  Mais non !  
Les vols dans cette série ont la côte malheureusement.  Rarement punis. Comme si c'était cool et exécutés par Arsène Lupin.  
Claire par exemple serait mal placée pour juger un cambrioleur.

Plus je le vois, plus je me demande ce qui a bien pu séduire Chloé. Il est non seulement mou et pas malin, mais il a toujours une expression ahurie et s'habille comme un sac. C'était flagrant lors de son dernier entretien avec Alix.

Guylaine a écrit:

D’accord avec ce que tu dis. Tu analyses la fiction en tant que fiction alors que je la transpose dans la « vraie vie ». Ce qui pourrait équilibrer tout ça, c’est que les voleurs se fassent prendre de temps en temps comme le suggère également Maïa.

En fait, quand je regarde la série (ou que je lis un roman), je n'analyse pas grand chose sur le coup.
C'est plutôt des réflexions qui me viennent après .

Un des aspects que j'ai toujours trouvées fascinants dans la fiction, c'est que nous, adultes, on "y croit", alors que, évidemment, une autre partie de notre cerveau sait très bien que c'est "pour de faux" comme disent les enfants.
Nous les humains, on a toujours aimé les fictions, les contes, etc.

Entre autres aspects, j'ai l'impression que ça nous permet d'accéder à l'intérieur d'autres psychés que la nôtre bien sûr (un voleur, etc), mais aussi d'explorer, par le biais de personnages différents de nous, des aspects de notre personnalité en partie étouffée le reste du temps. Un peu comme si nous étions habités de petits personnages qui n'ont pas voix au chapitre, que nous gardons sous surveillance parce que leur laisser libre court serait une folie, ou en contradiction avec nos valeurs, etc.

Par exemple : si nous travaillons pour un patron épouvantable mais ne pouvons quitter notre travail pour plein de raisons très concrètes, ça peut être jouissif et libérateur de voir, à l'écran, un personnage oser ce geste, voire tuer le personnage persécuteur. Tout est pour de faux. Mais on va au bout d'un sentiment d'une certaine manière.

"Croire" à une fiction nous permet d'explorer de l'intérieur plein de personnalités autres que la nôtre, et de comprendre, peut-être un peu mieux certaines situations de la vraie vie. Ca nous permet aussi, j'ai l'impression, de laisser s'exprimer, le temps de la fiction, une partie de nos émotions. Un peu comme quand on rêve en fait : on va se retrouver dans des situations inspirées de notre vie, mais assez rocambolesques, et accompagnées d'émotions fortes.

Maïadelsol a écrit:

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Plus je le vois, plus je me demande ce qui a bien pu séduire Chloé. Il est non seulement mou et pas malin, mais il a toujours une expression ahurie et s'habille comme un sac. C'était flagrant lors de son dernier entretien avec Alix.

C'est surtout l'expression ahurie qui le rend peu attirant. Du coup, j'ai eu un mal fou à "croire" à cette passion. Ce qui est d'ailleurs sans doute idiot. Dans la vraie vie, les gens peuvent être "accro" à des êtres dont on ne voit absolument pas l'aspect séduisant. Mais j'accroche tellement pas à ce personnage...

Maïadelsol a écrit:

Ce qui m'espante, c'est qu'à ce stade, où Victor est manifestement embringué dans une histoire grave, impliquant une braqueuse évadée, des faussaires en art, une foldingue, Claire continue à mentir à Manu pour dissimuler sa disparition troublante.

Tant qu'elle n'était pas trop sûre de ce qui se cachait derrière sa soudaine absence, pourquoi pas, mais là il est évident que quelque chose de grave se trame et que son père est susceptible d'être en danger. Dès lors, pour quelle raison refuser l'aide de la police ? Et même s'il a quelque chose à se reprocher, il est préférable de lui provoquer quelques ennuis judiciaires plutôt que de le laisser courir un risque.

Je suppose que, justement, elle se demande si son père ne s'est pas mis dans une embrouille susceptible de lui attirer des ennuis judiciaires. Elle l'explique d'ailleurs (à Florent je crois) : elle ne veut pas contacter la police tant qu'elle n'en sait pas plus parce que son père a, de lui-même, pris la fuite. Il n'a pas juste disparu. On sait qu'il est parti de son plein gré.

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ailebrune a écrit:

En fait, quand je regarde la série (ou que je lis un roman), je n'analyse pas grand chose sur le coup.
C'est plutôt des réflexions qui me viennent après .

Un des aspects que j'ai toujours trouvées fascinants dans la fiction, c'est que nous, adultes, on "y croit", alors que, évidemment, une autre partie de notre cerveau sait très bien que c'est "pour de faux" comme disent les enfants.
Nous les humains, on a toujours aimé les fictions, les contes, etc.

Entre autres aspects, j'ai l'impression que ça nous permet d'accéder à l'intérieur d'autres psychés que la nôtre bien sûr (un voleur, etc), mais aussi d'explorer, par le biais de personnages différents de nous, des aspects de notre personnalité en partie étouffée le reste du temps. Un peu comme si nous étions habités de petits personnages qui n'ont pas voix au chapitre, que nous gardons sous surveillance parce que leur laisser libre court serait une folie, ou en contradiction avec nos valeurs, etc.

Par exemple : si nous travaillons pour un patron épouvantable mais ne pouvons quitter notre travail pour plein de raisons très concrètes, ça peut être jouissif et libérateur de voir, à l'écran, un personnage oser ce geste, voire tuer le personnage persécuteur. Tout est pour de faux. Mais on va au bout d'un sentiment d'une certaine manière.

"Croire" à une fiction nous permet d'explorer de l'intérieur plein de personnalités autres que la nôtre, et de comprendre, peut-être un peu mieux certaines situations de la vraie vie. Ca nous permet aussi, j'ai l'impression, de laisser s'exprimer, le temps de la fiction, une partie de nos émotions. Un peu comme quand on rêve en fait : on va se retrouver dans des situations inspirées de notre vie, mais assez rocambolesques, et accompagnées d'émotions fortes.

Je vois ce que tu veux dire, Ailebrune. Mais pour ma part, je ne m'identifie pas du tout à Alix ou Jade (par exemple). Ce genre d’existence, basée sur un mensonge perpétuel, à sans arrêt chercher comment arnaquer son prochain, ne me fait absolument pas envie. Je serais même très malheureuse d'être toujours dans l'anxiété à l'idée du petit gravier qui risque de faire déraper ma vie. Et en plus, je méprise profondément les voleurs et les menteurs.

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ailebrune a écrit:

Je suppose que, justement, elle se demande si son père ne s'est pas mis dans une embrouille susceptible de lui attirer des ennuis judiciaires. Elle l'explique d'ailleurs (à Florent je crois) : elle ne veut pas contacter la police tant qu'elle n'en sait pas plus parce que son père a, de lui-même, pris la fuite. Il n'a pas juste disparu. On sait qu'il est parti de son plein gré.

Bien sûr, mais entre deux maux, il faut choisir le moindre. Elle le croit en danger (et moi aussi d'ailleurs), donc de petits démêlés avec la justice ne sont rien en comparaison.

Et s'il a vraiment commis quelque chose de répréhensible, ben tant pis pour lui. (bon il est vrai que dans le domaine de la moralité, Claire n'est pas trop tatillonne, ainsi que plusieurs forumeurs viennent de le faire remarquer... )

Surtout, Claire n'a pas la moindre idée de ce qui se passe. Et manifestement, ça lui a traversé l'esprit qu'il a peut-être commis un acte qui pourrait lui attirer des ennuis. Vu de notre point de vue, il faudrait "sauver" Victor à tout prix.  Mais si un de nos proches commettait un délit ou un crime, que ferions-nous ? J'ai l'impression que la réponse n'est pas simple.

Maïadelsol a écrit:

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Je vois ce que tu veux dire, Ailebrune. Mais pour ma part, je ne m'identifie pas du tout à Alix ou Jade (par exemple). Ce genre d’existence, basée sur un mensonge perpétuel, à sans arrêt chercher comment arnaquer son prochain, ne me fait absolument pas envie. Je serais même très malheureuse d'être toujours dans l'anxiété à l'idée du petit gravier qui risque de faire déraper ma vie. Et en plus, je méprise profondément les voleurs et les menteurs.

Je ne m'identifie ni à l'une ni à l'autre non plus. Dans leur cas, parce que ce sont des personnages très bien interprétés (enfin, à mon goût), c'est plutôt que je me retrouve à m'approcher, sans danger, de personnages que, déjà, je risque peu de croiser dans la vraie vie et, si ça se produisait, que j'aurais tendance à  fuir. Je trouve très intéressant de découvrir d'autres fonctionnements "de l'intérieur" justement. Quant à Alix, pour moi, c'est surtout un personnage amusant (et conçu comme tel d'ailleurs). Elle a quelque chose d'enfantin dans son enthousiasme, son optimisme, ses mensonges extravagants... elle avance dans la vie comme sur ses talons : avec une sorte d'équilibre sans cesse sur le point de se rompre.

...

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ailebrune a écrit:

Surtout, Claire n'a pas la moindre idée de ce qui se passe. Et manifestement, ça lui a traversé l'esprit qu'il a peut-être commis un acte qui pourrait lui attirer des ennuis. Vu de notre point de vue, il faudrait "sauver" Victor à tout prix.  Mais si un de nos proches commettait un délit ou un crime, que ferions-nous ? J'ai l'impression que la réponse n'est pas simple.

Si un de mes fils disparaissait dans des circonstances similaires, l'essentiel pour moi serait de le retrouver en bon état. Le reste est subsidiaire.

Maïadelsol a écrit:

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Plus je le vois, plus je me demande ce qui a bien pu séduire Chloé. Il est non seulement mou et pas malin, mais il a toujours une expression ahurie et s'habille comme un sac. C'était flagrant lors de son dernier entretien avec Alix.

Et Myriam avant...

Et Leonor encore avant...

Donc le personnage est censé avoir quelque chose.
C'est juste une erreur de casting

Son père par contre a plus de charme.. 

ailebrune a écrit:

Je suppose que, justement, elle se demande si son père ne s'est pas mis dans une embrouille susceptible de lui attirer des ennuis judiciaires. Elle l'explique d'ailleurs (à Florent je crois) : elle ne veut pas contacter la police tant qu'elle n'en sait pas plus parce que son père a, de lui-même, pris la fuite. Il n'a pas juste disparu. On sait qu'il est parti de son plein gré.

Mais cela fait que même Enzo a caché la vérité à Manu, comme le lui a fait remarquer Emma d'ailleurs..

ailebrune a écrit:

Je ne m'identifie ni à l'une ni à l'autre non plus. Dans leur cas, parce que ce sont des personnages très bien interprétés (enfin, à mon goût), c'est plutôt que je me retrouve à m'approcher, sans danger, de personnages que, déjà, je risque peu de croiser dans la vraie vie et, si ça se produisait, que j'aurais tendance à  fuir. Je trouve très intéressant de découvrir d'autres fonctionnements "de l'intérieur" justement. Quant à Alix, pour moi, c'est surtout un personnage amusant (et conçu comme tel d'ailleurs). Elle a quelque chose d'enfantin dans son enthousiasme, son optimisme, ses mensonges extravagants... elle avance dans la vie comme sur ses talons : avec une sorte d'équilibre sans cesse sur le point de se rompre.

C'est d'ailleurs pour ça que j'adore les séries en général, un bon moment d'évasion, loin de la vraie vie justement.

Flora24 a écrit:

Son père par contre a plus de charme.. 

Qui est le père de Marc ?