D'ailleurs la question se pose maintenant de savoir si dans le monde du foot, les Blancs ne seraient pas discriminés. Voir le cas de Griezmann qui a dû aller en Espagne car refusé en France.
Ce n'est pas nécessairement une question de couleur, mais plutôt un choix de politique sportive où on a privilégié les joueurs grands, costauds et qui courent vite dès leur adolescence.
D'ailleurs la question se pose maintenant de savoir si dans le monde du foot, les Blancs ne seraient pas discriminés. Voir le cas de Griezmann qui a dû aller en Espagne car refusé en France.
Ce n'est pas nécessairement une question de couleur, mais plutôt un choix de politique sportive où on a privilégié les joueurs grands, costauds et qui courent vite dès leur adolescence.
Tout à fait. D'ailleurs Vixente Lizarazu avait été découragé à ses débuts en raison de sa taille. Preuve de l'imbécillité de cette politique. On voit la même chose dans le rugby d'ailleurs et on en vient maintenant à revoir les règles du placage.
Sinon, assumer sa mauvaise foi ne la rend pas moins mauvaise.
J'ai l'anecdote inverse : un de mes anciens collègues, musulman et imam d'ailleurs, a mis son fils dans une école privée catho ; à l'inscription, m'a-t-il raconté, le directeur lui a dit "mais vous savez qu'ici, il y aura de la religion, des prières, etc.", et le collègue a répondu "oui, je sais bien, mais peu importe, nous prions tous le même Dieu, non ? L'enfant saura faire la part des choses".
L'anecdote inverse serait de savoir si un élève ouvertement chrétien peut s'inscrire dans une école musulmane et ce qu'on exigerait de lui.
J'ai l'anecdote inverse : un de mes anciens collègues, musulman et imam d'ailleurs, a mis son fils dans une école privée catho ; à l'inscription, m'a-t-il raconté, le directeur lui a dit "mais vous savez qu'ici, il y aura de la religion, des prières, etc.", et le collègue a répondu "oui, je sais bien, mais peu importe, nous prions tous le même Dieu, non ? L'enfant saura faire la part des choses".
L'anecdote inverse serait de savoir si un élève ouvertement chrétien peut s'inscrire dans une école musulmane et ce qu'on exigerait de lui.
Non, car la situation n'est pas du tout la même : alors que les écoles privées confessionnelles, catho ou pro, font partie du paysage depuis longtemps, et qu'il y en a beaucoup (du moins chez nous en Alsace, ailleurs je le suppose mais sans en être certaine), les écoles musulmanes sont encore rares ; par ailleurs, le catholicisme (et le protestantisme aussi, je pense) se sont beaucoup ouverts ces dernières décennies et sont beaucoup moins sectaires qu'ils ne l'étaient à une époque, à part une petite frange d'ultras (qui ont, eux, leurs écoles privées aussi, mais où personne d'autre n'aurait l'idée de s'inscrire.) Bref, des parents athées ou d'une autre religion peuvent vouloir inscrire leurs enfants dans une école d'obédience catho, mais sûrement pas dans une école musulmane, donc le cas ne se présentera pas !
D'ailleurs Vixente Lizarazu avait été découragé à ses débuts en raison de sa taille. Preuve de l'imbécillité de cette politique.
Et encore il faisait partie de la génération précédent la mise en oeuvre de cette politique. A son époque des joueurs de taille modeste pouvaient prétendre au top niveau, comme Makélélé ou Giuly.
Dans le tennis, il y a eu Gilles Simon. La fédé avait pratiquement arrêté de l'aider parce qu'il était trop petit pour son âge. En réalité, il a juste eu une croissance tardive ! Quelques années plus tard, la fédé avait favorisé un joueur immense avec un gros service : Albano Olivetti. On constate aujourd'hui la différence dans leurs carrières
L'anecdote inverse serait de savoir si un élève ouvertement chrétien peut s'inscrire dans une école musulmane et ce qu'on exigerait de lui.
Non, car la situation n'est pas du tout la même : alors que les écoles privées confessionnelles, catho ou pro, font partie du paysage depuis longtemps, et qu'il y en a beaucoup (du moins chez nous en Alsace, ailleurs je le suppose mais sans en être certaine), les écoles musulmanes sont encore rares ; par ailleurs, le catholicisme (et le protestantisme aussi, je pense) se sont beaucoup ouverts ces dernières décennies et sont beaucoup moins sectaires qu'ils ne l'étaient à une époque, à part une petite frange d'ultras (qui ont, eux, leurs écoles privées aussi, mais où personne d'autre n'aurait l'idée de s'inscrire.) Bref, des parents athées ou d'une autre religion peuvent vouloir inscrire leurs enfants dans une école d'obédience catho, mais sûrement pas dans une école musulmane, donc le cas ne se présentera pas !
Je répondais à ce que tu disais au début : le cas inverse. Ce que tu présentais comme le cas inverse n'en était pas un. En effet, le cas inverse n'existe pas : les parents non musulmans ne mettent pas leurs enfants dans une école musulmane car cela signifierait se plier aux règles musulmanes. On est bien d'accord.
Non, car la situation n'est pas du tout la même : alors que les écoles privées confessionnelles, catho ou pro, font partie du paysage depuis longtemps, et qu'il y en a beaucoup (du moins chez nous en Alsace, ailleurs je le suppose mais sans en être certaine), les écoles musulmanes sont encore rares ; par ailleurs, le catholicisme (et le protestantisme aussi, je pense) se sont beaucoup ouverts ces dernières décennies et sont beaucoup moins sectaires qu'ils ne l'étaient à une époque, à part une petite frange d'ultras (qui ont, eux, leurs écoles privées aussi, mais où personne d'autre n'aurait l'idée de s'inscrire.) Bref, des parents athées ou d'une autre religion peuvent vouloir inscrire leurs enfants dans une école d'obédience catho, mais sûrement pas dans une école musulmane, donc le cas ne se présentera pas !
Je répondais à ce que tu disais au début : le cas inverse. Ce que tu présentais comme le cas inverse n'en était pas un. En effet, le cas inverse n'existe pas : les parents non musulmans ne mettent pas leurs enfants dans une école musulmane car cela signifierait se plier aux règles musulmanes. On est bien d'accord.
Je pensais "inverse", pour dire au final qu'il y a des c ... partout, et des personnes raisonnables partout aussi.
Je répondais à ce que tu disais au début : le cas inverse. Ce que tu présentais comme le cas inverse n'en était pas un. En effet, le cas inverse n'existe pas : les parents non musulmans ne mettent pas leurs enfants dans une école musulmane car cela signifierait se plier aux règles musulmanes. On est bien d'accord.
Je pensais "inverse", pour dire au final qu'il y a des c ... partout, et des personnes raisonnables partout aussi.
Ce genre d'affirmation , désolée Paty, c'est éluder le problème et noyer le poisson. D'abord, il ne s'agit pas de parler de cons. Ensuite on peut remplacer le mot con par n'importe quel autre terme, on obtiendra toujours la même chose. il y a des gens malades partout: cela veut-il dire qu'il ne faut pas d'occuper des gens malades? Je rappelle en passant le sujet du débat qui était les raisons de la désaffection grandissante de l'école publique et la comparaison avec le privé. Je maintiens ce que je disais sur le bilinguisme qui est pour moi un argument marketing et non un avantage réel, remarque qui, curieusement, n'a suscité aucune réponse dans un sens ou dans l'autre, puis la lâcheté de l'école devant les problèmes devant les élèves difficiles - et non en difficulté - souvent issus de l'immigration africaine, ceci en étant la raison et c'est pourquoi je l'ai précisé. La réaction d'un commentateur n'a d'ailleurs pas tardé :"racisme". C'est en effet pour cela que l'école ne s'est pas non plus attelé à ce problème avec les résultats que l'on peut voir.
Je pensais "inverse", pour dire au final qu'il y a des c ... partout, et des personnes raisonnables partout aussi.
Ce genre d'affirmation , désolée Paty, c'est éluder le problème et noyer le poisson. D'abord, il ne s'agit pas de parler de cons. Ensuite on peut remplacer le mot con par n'importe quel autre terme, on obtiendra toujours la même chose. il y a des gens malades partout: cela veut-il dire qu'il ne faut pas d'occuper des gens malades? Je rappelle en passant le sujet du débat qui était les raisons de la désaffection grandissante de l'école publique et la comparaison avec le privé. Je maintiens ce que je disais sur le bilinguisme qui est pour moi un argument marketing et non un avantage réel, remarque qui, curieusement, n'a suscité aucune réponse dans un sens ou dans l'autre,puis la lâcheté de l'école devant les problèmes devant les élèves difficiles - et non en difficulté - souvent issus de l'immigration africaine, ceci en étant la raison et c'est pourquoi je l'ai précisé. La réaction d'un commentateur n'a d'ailleurs pas tardé :"racisme". C'est en effet pour cela que l'école ne s'est pas non plus attelé à ce problème avec les résultats que l'on peut voir.
Peut-être bien, mais j'en ai vraiment marre qu'on mette tout le monde dans le même sac ! Et s'occuper des c.ons, comme s'occuper des malades, c'est voir ce qu'il y a à faire au cas par cas ...
Quant au bilinguisme, certes, c'est un argument marketing, mais ça fait aussi le plus grand bien aux enfants de s'ouvrir à une autre langue, à ses sonorités, dès le plus jeune âge ! Bien sûr, beaucoup sortent d'écoles bilingues sans pour autant être bilingues, mais ils auront plus de facilité à apprendre d'autres langues que ceux qui n'ont jamais connu que le français ... Et avec les langues, ce qui est amusant, c'est que, plus on en maîtrise, plus on en apprend facilement une nouvelle !
Quant à la lâcheté de l'école devant les élèves difficiles, quels qu'ils soient, elle est à mettre en rapport avec le peu de considération dont jouissent les équipes éducatives : parents râleurs et menaçants (physiquement chez les CSP- et rétorsion par relations chez les CSP+), je pense ...
Ce genre d'affirmation , désolée Paty, c'est éluder le problème et noyer le poisson. D'abord, il ne s'agit pas de parler de cons. Ensuite on peut remplacer le mot con par n'importe quel autre terme, on obtiendra toujours la même chose. il y a des gens malades partout: cela veut-il dire qu'il ne faut pas d'occuper des gens malades? Je rappelle en passant le sujet du débat qui était les raisons de la désaffection grandissante de l'école publique et la comparaison avec le privé. Je maintiens ce que je disais sur le bilinguisme qui est pour moi un argument marketing et non un avantage réel, remarque qui, curieusement, n'a suscité aucune réponse dans un sens ou dans l'autre,puis la lâcheté de l'école devant les problèmes devant les élèves difficiles - et non en difficulté - souvent issus de l'immigration africaine, ceci en étant la raison et c'est pourquoi je l'ai précisé. La réaction d'un commentateur n'a d'ailleurs pas tardé :"racisme". C'est en effet pour cela que l'école ne s'est pas non plus attelé à ce problème avec les résultats que l'on peut voir.
Peut-être bien, mais j'en ai vraiment marre qu'on mette tout le monde dans le même sac ! Et s'occuper des c.ons, comme s'occuper des malades, c'est voir ce qu'il y a à faire au cas par cas ...
Quant au bilinguisme, certes, c'est un argument marketing, mais ça fait aussi le plus grand bien aux enfants de s'ouvrir à une autre langue, à ses sonorités, dès le plus jeune âge ! Bien sûr, beaucoup sortent d'écoles bilingues sans pour autant être bilingues, mais ils auront plus de facilité à apprendre d'autres langues que ceux qui n'ont jamais connu que le français ... Et avec les langues, ce qui est amusant, c'est que, plus on en maîtrise, plus on en apprend facilement une nouvelle !
Quant à la lâcheté de l'école devant les élèves difficiles, quels qu'ils soient, elle est à mettre en rapport avec le peu de considération dont jouissent les équipes éducatives : parents râleurs et menaçants (physiquement chez les CSP- et rétorsion par relations chez les CSP+), je pense ...
Dans ce cas, pas de panique, car il n'a jamais été question de tout le monde mais d'un phénomène de société.
Non, une langue s'apprend par imprégnation , c'est-à-dire dès le berceau peut-être in utero ou par apprentissage méthodique. il n'y a aucune preuve, aucun signe, aucune évidence qui montrent que ces enfants qui, assurément ne seront pas bilingues, ont une plus grande aprtitude aux langues. Enfin, il y a un nombre limite au nombre de langues que l'on peut apprendre, pour la bonne raison que c'est un processus long et complexe et qui signifie s'approprier une culture qui n'est pas la sienne, pouvoir ensuite garder ses acquis en lisant la presse étrangère par exemple. On dépasse difficilement le nombre de 3.il existe quelques cas de frontaliers qui ont deux langues pratiquées simultanément et très tôt qui peuvent ensuite en apprendre deux autres. Souvent d'ailleurs, dans le milieu des interprètes et des traducteurs, on appelle ces gens des alingues et non des bi ou tri lingues.
Non car on voit ce genre de démission partout, à commencer ici sur ce forum de l'aveu de certains, et jusque chez les politiques.
L'anecdote inverse serait de savoir si un élève ouvertement chrétien peut s'inscrire dans une école musulmane et ce qu'on exigerait de lui.
Non, car la situation n'est pas du tout la même : alors que les écoles privées confessionnelles, catho ou pro, font partie du paysage depuis longtemps, et qu'il y en a beaucoup (du moins chez nous en Alsace, ailleurs je le suppose mais sans en être certaine), les écoles musulmanes sont encore rares ; par ailleurs, le catholicisme (et le protestantisme aussi, je pense) se sont beaucoup ouverts ces dernières décennies et sont beaucoup moins sectaires qu'ils ne l'étaient à une époque, à part une petite frange d'ultras (qui ont, eux, leurs écoles privées aussi, mais où personne d'autre n'aurait l'idée de s'inscrire.) Bref, des parents athées ou d'une autre religion peuvent vouloir inscrire leurs enfants dans une école d'obédience catho, mais sûrement pas dans une école musulmane, donc le cas ne se présentera pas !
Et surtout beaucoup moins sectaires que l'Islam ! L'exemple de Raylen est parfaitement pertinent.
Je suis en revanche moins d'accord avec elle concernant les bienfaits d'un apprentissage bilingue à l'école (français/anglais notamment) dès le plus jeune âge. C'est un atout pour la vie (à condition de l'entretenir en le pratiquant à l'écrit et à l'oral). Tu as raison : une troisième, voire une quatrième langue, seront ensuite bien plus faciles à assimiler.
Peut-être bien, mais j'en ai vraiment marre qu'on mette tout le monde dans le même sac ! Et s'occuper des c.ons, comme s'occuper des malades, c'est voir ce qu'il y a à faire au cas par cas ...
Quant au bilinguisme, certes, c'est un argument marketing, mais ça fait aussi le plus grand bien aux enfants de s'ouvrir à une autre langue, à ses sonorités, dès le plus jeune âge ! Bien sûr, beaucoup sortent d'écoles bilingues sans pour autant être bilingues, mais ils auront plus de facilité à apprendre d'autres langues que ceux qui n'ont jamais connu que le français ... Et avec les langues, ce qui est amusant, c'est que, plus on en maîtrise, plus on en apprend facilement une nouvelle !
Quant à la lâcheté de l'école devant les élèves difficiles, quels qu'ils soient, elle est à mettre en rapport avec le peu de considération dont jouissent les équipes éducatives : parents râleurs et menaçants (physiquement chez les CSP- et rétorsion par relations chez les CSP+), je pense ...
Dans ce cas, pas de panique, car il n'a jamais été question de tout le monde mais d'un phénomène de société.
Non, une langue s'apprend par imprégnation , c'est-à-dire dès le berceau peut-être in utero ou par apprentissage méthodique. il n'y a aucune preuve, aucun signe, aucune évidence qui montrent que ces enfants qui, assurément ne seront pas bilingues, ont une plus grande aprtitude aux langues. Enfin, il y a un nombre limite au nombre de langues que l'on peut apprendre, pour la bonne raison que c'est un processus long et complexe et qui signifie s'approprier une culture qui n'est pas la sienne, pouvoir ensuite garder ses acquis en lisant la presse étrangère par exemple. On dépasse difficilement le nombre de 3.il existe quelques cas de frontaliers qui ont deux langues pratiquées simultanément et très tôt qui peuvent ensuite en apprendre deux autres. Souvent d'ailleurs, dans le milieu des interprètes et des traducteurs, on appelle ces gens des alingues et non des bi ou tri lingues.
Non car on voit ce genre de démission partout, à commencer ici sur ce forum de l'aveu de certains, et jusque chez les politiques.
Non, pas vraiment de limite, surtout dans le cas de langues proches. Il parait même que plus on apprend plus de langues, plus il est aisé d'en apprendre de nouvelles !
Dans ce cas, pas de panique, car il n'a jamais été question de tout le monde mais d'un phénomène de société.
Non, une langue s'apprend par imprégnation , c'est-à-dire dès le berceau peut-être in utero ou par apprentissage méthodique. il n'y a aucune preuve, aucun signe, aucune évidence qui montrent que ces enfants qui, assurément ne seront pas bilingues, ont une plus grande aprtitude aux langues. Enfin, il y a un nombre limite au nombre de langues que l'on peut apprendre, pour la bonne raison que c'est un processus long et complexe et qui signifie s'approprier une culture qui n'est pas la sienne, pouvoir ensuite garder ses acquis en lisant la presse étrangère par exemple. On dépasse difficilement le nombre de 3.il existe quelques cas de frontaliers qui ont deux langues pratiquées simultanément et très tôt qui peuvent ensuite en apprendre deux autres. Souvent d'ailleurs, dans le milieu des interprètes et des traducteurs, on appelle ces gens des alingues et non des bi ou tri lingues.
Non car on voit ce genre de démission partout, à commencer ici sur ce forum de l'aveu de certains, et jusque chez les politiques.
Non, pas vraiment de limite, surtout dans le cas de langues proches. Il parait même que plus on apprend plus de langues, plus il est aisé d'en apprendre de nouvelles !
Hé bien par expérience, - j'ai travaillé dans le milieu de la traduction et de l'interprétariat -, il est extrêmement difficile de parler plus de trois langues en comptant sa langue de départ, ne serait-ce que parce que les journées n'ont que vingt-quatre heures. L'apprentissage de l'espagnol et de l'italien entraîne des confusions de par leur proximité. Simplement, il y a des gens doués pour les langues donc ils sont tentés d'en apprendre plus d'une. Compte autour de toi combien tu connais de gens capables de parler deux langues au même niveau que le français.
Au meme niveau que le francais, c'est peut-etre trop demander, mais je bosse dans l'hotellerie et ma collegue roumaine parle ,en dehors de sa langue, francais, anglais, allemand, espagnol et italien! Elle a aussi des notions de russe.
Et elle ne confond aucunement espagnol et italien.
Au meme niveau que le francais, c'est peut-etre trop demander, mais je bosse dans l'hotellerie et ma collegue roumaine parle ,en dehors de sa langue, francais, anglais, allemand, espagnol et italien! Elle a aussi des notions de russe.
Et elle ne confond aucunement espagnol et italien.
Je ne savais pas que @Blonde de Provence avait des origines roumaines
--------------- Membre unique et permanent de la brigade antispoil et de la team Delport ! Une main de velours dans un gant de fer !
Au meme niveau que le francais, c'est peut-etre trop demander, mais je bosse dans l'hotellerie et ma collegue roumaine parle ,en dehors de sa langue, francais, anglais, allemand, espagnol et italien! Elle a aussi des notions de russe.
Et elle ne confond aucunement espagnol et italien.
Dans l'hôtellerie. Il s'agit d'avoir un niveau conversationnel. Mais posséder une langue , c'est la comprendre , la parler, la lire et savoir l'écrire. C'est impossible dans le nombre de langues que tu dis, ne serait-ce qu'à cause du temps dont on dispose. Est-ce que ta collègue connaît la littérature russe, la mentalité allemande, les problèmes politiques de l'Espagne? C'est tout cela une langue. Par ailleurs, je n'ai pas dit qu'on confondait l'espagnol et l'italien, j'ai dit que l'apprentissage de deux langues proches n'est pas plus facile.
Au meme niveau que le francais, c'est peut-etre trop demander, mais je bosse dans l'hotellerie et ma collegue roumaine parle ,en dehors de sa langue, francais, anglais, allemand, espagnol et italien! Elle a aussi des notions de russe.
Et elle ne confond aucunement espagnol et italien.
Dans l'hôtellerie. Il s'agit d'avoir un niveau conversationnel. Mais posséder une langue , c'est la comprendre , la parler, la lire et savoir l'écrire. C'est impossible dans le nombre de langues que tu dis, ne serait-ce qu'à cause du temps dont on dispose. Est-ce que ta collègue connaît la littérature russe, la mentalité allemande, les problèmes politiques de l'Espagne? C'est tout cela une langue. Par ailleurs, je n'ai pas dit qu'on confondait l'espagnol et l'italien, j'ai dit que l'apprentissage de deux langues proches n'est pas plus facile.
Bon, peut-être bien que les langues apprises en plus (quand on en connaît déjà deux ou trois), qui "sont plus faciles" d'après ce qu'on dit, ne sont pas possédées à fond comme tu le mentionnes ici (mentalités, etc.) ; mais à un niveau honorable (donc toujours susceptible d'évoluer facilement pour peu qu'on réside dans le pays), je maintiens que c'est plus aisé. Bien entendu, à côté de ça, il y a des gens plus ou moins doués pour les langues.
Je cite souvent l'exemple des Luxembourgeois : à la maternelle, ils parlent le luxembourgeois, langue germanique (donc ouverture sur toutes les langues germaniques, dont l'anglais en partie) ; beaucoup d'entre eux, d'origine espagnole, portugaise ou italienne, parlent ces langues à la maison. Puis, en primaire, ils passent à l'allemand ; un peu plus tard, ils commencent par apprendre le français comme une langue étrangère (mais ils y ont déjà été confrontés un peu partout, puisque les journaux, etc. sont trilingues), puis vers la 4e, certaines matières sont enseignées en français. Mes neveux luxembourgeois, en sortant du lycée, comprennent tous l'anglais, et le comprennent bien, même sans jamais avoir vécu dans un pays anglophone.
Mes neveux luxembourgeois, en sortant du lycée, comprennent tous l'anglais, et le comprennent bien, même sans jamais avoir vécu dans un pays anglophone.
C'est pareil pour la Flandre; où dès tout jeune on s'habitue à entendre de l'anglais vu que rien n'est doublé à la TV (hormis les dessins animés), en plus de l'apprentissage à l'école (et de celui du Français).
--------------- "Mieux vaut mourir incompris que passer sa vie à s'exprimer." (William Shakespeare)
Mes neveux luxembourgeois, en sortant du lycée, comprennent tous l'anglais, et le comprennent bien, même sans jamais avoir vécu dans un pays anglophone.
C'est pareil pour la Flandre; où dès tout jeune on s'habitue à entendre de l'anglais vu que rien n'est doublé à la TV (hormis les dessins animés), en plus de l'apprentissage à l'école (et de celui du Français).
--------------- Membre unique et permanent de la brigade antispoil et de la team Delport ! Une main de velours dans un gant de fer !
Par contre le Luxembourg c'est assez particulier en effet. Quand tu arrives dans la capitale en train par la Lorraine, tu n'as tout simplement pas l'impression d'avoir changé de pays étant donné que TOUT est inscrit en Français. Mais la nature trilingue (voir quadrilingue avec le portugais) apparait assez rapidement.
--------------- Membre unique et permanent de la brigade antispoil et de la team Delport ! Une main de velours dans un gant de fer !
C'est pareil pour la Flandre; où dès tout jeune on s'habitue à entendre de l'anglais vu que rien n'est doublé à la TV (hormis les dessins animés), en plus de l'apprentissage à l'école (et de celui du Français).
Dans l'hôtellerie. Il s'agit d'avoir un niveau conversationnel. Mais posséder une langue , c'est la comprendre , la parler, la lire et savoir l'écrire. C'est impossible dans le nombre de langues que tu dis, ne serait-ce qu'à cause du temps dont on dispose. Est-ce que ta collègue connaît la littérature russe, la mentalité allemande, les problèmes politiques de l'Espagne? C'est tout cela une langue. Par ailleurs, je n'ai pas dit qu'on confondait l'espagnol et l'italien, j'ai dit que l'apprentissage de deux langues proches n'est pas plus facile.
Bon, peut-être bien que les langues apprises en plus (quand on en connaît déjà deux ou trois), qui "sont plus faciles" d'après ce qu'on dit, ne sont pas possédées à fond comme tu le mentionnes ici (mentalités, etc.) ; mais à un niveau honorable (donc toujours susceptible d'évoluer facilement pour peu qu'on réside dans le pays), je maintiens que c'est plus aisé. Bien entendu, à côté de ça, il y a des gens plus ou moins doués pour les langues.
Je cite souvent l'exemple des Luxembourgeois : à la maternelle, ils parlent le luxembourgeois, langue germanique (donc ouverture sur toutes les langues germaniques, dont l'anglais en partie) ; beaucoup d'entre eux, d'origine espagnole, portugaise ou italienne, parlent ces langues à la maison. Puis, en primaire, ils passent à l'allemand ; un peu plus tard, ils commencent par apprendre le français comme une langue étrangère (mais ils y ont déjà été confrontés un peu partout, puisque les journaux, etc. sont trilingues), puis vers la 4e, certaines matières sont enseignées en français. Mes neveux luxembourgeois, en sortant du lycée, comprennent tous l'anglais, et le comprennent bien, même sans jamais avoir vécu dans un pays anglophone.
Le cas luxembourgeois , on pourrait y ajouter le cas andorran, est typiqu en de ce que dans les écoles d'interprétariat et traduction on appelle les alingues, c'est-à-dire de personnes ayant baigné dès l'enfance dans un milieu multilingue mais qui ne les possède pas toutes, voire aucune, une langue n'étant pas un lexique passe-partout et quelques rudiments de grammaire. Mais il était question d'apprentissage. Un Luxembourgeois d'origine espagnole n'apprendra pas plus facilement l'anglais ou le chinois que n'importe qui. Par ailleurs, il est présenté partout comme une évidence que connaître des langues étrangères donne de fantastiques perspectives. Or le cas que citait Likeasunshine était quelqu'un qui travaille dans le tourisme; il n'y a guère que dans ce secteur qu'avoir un minimum de conversationnel dans quelques langues va présenter un intérêt. Mieux vaut dans l'enfance posséder sa langue maternelle ou d'étude quand ce n'est pas la même puisqu'on aura dans les langues étrangères le niveau de celle-ci, dans le meilleur des cas.
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