Les incohérences et les invraisemblances [Archive 7]

Shinochaz a écrit:

Bon c'est un avis perso mais on s'en fiche pas un peu non des parents de Luis ?

Pas forcément; la relation qu'il a avec ses parents peut en dire beaucoup sur son comportement..

Flora24 a écrit:

Shinochaz a écrit:

Bon c'est un avis perso mais on s'en fiche pas un peu non des parents de Luis ?

Pas forcément; la relation qu'il a avec ses parents peut en dire beaucoup sur son comportement..

Oui, et puis d'abord par souci de cohérence générale.

Mais que ses parents n'aient pas été mentionné n'est pas une incohérence.

Flora24 a écrit:

Shinochaz a écrit:

Bon c'est un avis perso mais on s'en fiche pas un peu non des parents de Luis ?

Pas forcément; la relation qu'il a avec ses parents peut en dire beaucoup sur son comportement..

Visiblement c'est des riches plein d'argent, ça doit être le genre pourris gâté qui se croit tout permis et qui en profite en étant méchant, c'est ce qu'essaie de nous montrer les scéna non?

Pierrot-Avatar a écrit:

Flora24 a écrit:

Pas forcément; la relation qu'il a avec ses parents peut en dire beaucoup sur son comportement..

Visiblement c'est des riches plein d'argent, ça doit être le genre pourris gâté qui se croit tout permis et qui en profite en étant méchant, c'est ce qu'essaie de nous montrer les scéna non?

Ils auraient insisté sur le fait qu'il est riche, là ils n'ont fait que l'évoquer brièvement.

nicolas8401 a écrit:

Pierrot-Avatar a écrit:

Visiblement c'est des riches plein d'argent, ça doit être le genre pourris gâté qui se croit tout permis et qui en profite en étant méchant, c'est ce qu'essaie de nous montrer les scéna non?

Ils auraient insisté sur le fait qu'il est riche, là ils n'ont fait que l'évoquer brièvement.

Ils en ont pas mal parler non? Avec le fait que Mila et lui étaient les deux gros riches (avant qu'on sache que Mila disait mentait)

Oui mais ça servait surtout l'atelier d'éloquence...

Maintenant si on apprends dans deux jours que les parents de Luis sont toujours absent du fait de leur condition sociale ce qui expliquerait la méchanceté du fils, vos insinuations pourraient passer pour du spoil. 

Shinochaz a écrit:

Oui mais ça servait surtout l'atelier d'éloquence...

Maintenant si on apprends dans deux jours que les parents de Luis sont toujours absent du fait de leur condition sociale ce qui expliquerait la méchanceté du fils, vos insinuations pourraient passer pour du spoil. 

Pourquoi à l'atelier d'éloquence?

Ca leur servait d'arguments (les riches contre les pauvres...)

nicolas8401 a écrit:

Pierrot-Avatar a écrit:

Visiblement c'est des riches plein d'argent, ça doit être le genre pourris gâté qui se croit tout permis et qui en profite en étant méchant, c'est ce qu'essaie de nous montrer les scéna non?

Ils auraient insisté sur le fait qu'il est riche, là ils n'ont fait que l'évoquer brièvement.

Je pense aussi que l'attitude de Luis n'a absolument rien à voir avec le compte en banque de ses parents. Par ailleurs, j'ai aussi un peu de mal à l'imaginer riche du fait des tenues vestimentaires très ordinaires qu'il porte : je trouve, par exemple, que Tom s'habille bien mieux que lui.

likeasunshine a écrit:

Ils etaient sans doute en hors champs je ne vois pas ou est l'incoherence.

Si quand méme c'est grave! On aurait pu au moins entendre le personnel médical dire que les parents vont arriver et demander à savoir un minimum,Flora a raison.

Complètement invraisemblable :
Pour bénéficier de la liberté conditionnelle, il faut justifier d'un projet professionnel, ok. Mais dire que "devenir écrivain" est un projet professionnel, c'est n'importe quoi !
Déjà, même lorsqu'on a écrit un bon livre (bien écrit, bien construit, intéressant, etc.), on n'est pas sûr qu'un éditeur va le publier (les éditeurs croulent sous les manuscrits) ; ensuite, même s'il est publié, un premier roman ne rapporte pas assez pour en vivre ! A moins bien sûr qu'il n'ait un prix littéraire prestigieux ... Et de toute façon, rares sont les écrivains qui vivent de leurs livres !
Alors que là, quand on parle d'un "projet professionnel", il est évident qu'il s'agit d'un gagne-pain, et d'une occupation régulière qui "cadre" l'ex-taulard de par des horaires réguliers ...

kikoudu33 a écrit:

Flora24 a écrit:

Pas forcément; la relation qu'il a avec ses parents peut en dire beaucoup sur son comportement..

Oui, et puis d'abord par souci de cohérence générale.

Paty a écrit:

Complètement invraisemblable :
Pour bénéficier de la liberté conditionnelle, il faut justifier d'un projet professionnel, ok. Mais dire que "devenir écrivain" est un projet professionnel, c'est n'importe quoi !
Déjà, même lorsqu'on a écrit un bon livre (bien écrit, bien construit, intéressant, etc.), on n'est pas sûr qu'un éditeur va le publier (les éditeurs croulent sous les manuscrits) ; ensuite, même s'il est publié, un premier roman ne rapporte pas assez pour en vivre ! A moins bien sûr qu'il n'ait un prix littéraire prestigieux ... Et de toute façon, rares sont les écrivains qui vivent de leurs livres !
Alors que là, quand on parle d'un "projet professionnel", il est évident qu'il s'agit d'un gagne-pain, et d'une occupation régulière qui "cadre" l'ex-taulard de par des horaires réguliers ...

Paty a écrit:

Complètement invraisemblable :
Pour bénéficier de la liberté conditionnelle, il faut justifier d'un projet professionnel, ok. Mais dire que "devenir écrivain" est un projet professionnel, c'est n'importe quoi !
Déjà, même lorsqu'on a écrit un bon livre (bien écrit, bien construit, intéressant, etc.), on n'est pas sûr qu'un éditeur va le publier (les éditeurs croulent sous les manuscrits) ; ensuite, même s'il est publié, un premier roman ne rapporte pas assez pour en vivre ! A moins bien sûr qu'il n'ait un prix littéraire prestigieux ... Et de toute façon, rares sont les écrivains qui vivent de leurs livres !
Alors que là, quand on parle d'un "projet professionnel", il est évident qu'il s'agit d'un gagne-pain, et d'une occupation régulière qui "cadre" l'ex-taulard de par des horaires réguliers ...

En effet, et le moins que l'on puisse dire est qu'ils ne sont pas beaucoup aidés malheureusement.

Blanche qui dit ne pas vouloir se faire avoir une deuxième fois, mais ce serait une troisième fois: Fournier, Nicolas, Sophie

kikoudu33 a écrit:

Paty a écrit:

Complètement invraisemblable :
Pour bénéficier de la liberté conditionnelle, il faut justifier d'un projet professionnel, ok. Mais dire que "devenir écrivain" est un projet professionnel, c'est n'importe quoi !
Déjà, même lorsqu'on a écrit un bon livre (bien écrit, bien construit, intéressant, etc.), on n'est pas sûr qu'un éditeur va le publier (les éditeurs croulent sous les manuscrits) ; ensuite, même s'il est publié, un premier roman ne rapporte pas assez pour en vivre ! A moins bien sûr qu'il n'ait un prix littéraire prestigieux ... Et de toute façon, rares sont les écrivains qui vivent de leurs livres !
Alors que là, quand on parle d'un "projet professionnel", il est évident qu'il s'agit d'un gagne-pain, et d'une occupation régulière qui "cadre" l'ex-taulard de par des horaires réguliers ...

En effet, et le moins que l'on puisse dire est qu'ils ne sont pas beaucoup aidés malheureusement.

Ben, le meilleur moyen d'aider les écrivains est de lire leurs livres.

raylen a écrit:

kikoudu33 a écrit:

En effet, et le moins que l'on puisse dire est qu'ils ne sont pas beaucoup aidés malheureusement.

Ben, le meilleur moyen d'aider les écrivains est de lire leurs livres.

 
Pour sûr, mais ce n'est pas le seul.

raylen a écrit:

kikoudu33 a écrit:

En effet, et le moins que l'on puisse dire est qu'ils ne sont pas beaucoup aidés malheureusement.

Ben, le meilleur moyen d'aider les écrivains est de lire leurs livres.

Faut être vraiment philanthrope pour se farcir les (environ) 600 romans qui paraissent à la rentrée ... et enchaîner avec ceux qui paraîtront ensuite tout au long de l'année !

kikoudu33 a écrit:

raylen a écrit:

Ben, le meilleur moyen d'aider les écrivains est de lire leurs livres.

 
Pour sûr, mais ce n'est pas le seul.

Quels sont les autres ?
On ne va pas les subventionner, quand même ... Déjà, la loi Lang permet de maintenir les prix dans des montants raisonnables, et permet aux petits libraires de s'en tirer -c'est dur, mais ils y arrivent- face aux grands groupes ...

Paty a écrit:

Complètement invraisemblable :
Pour bénéficier de la liberté conditionnelle, il faut justifier d'un projet professionnel, ok. Mais dire que "devenir écrivain" est un projet professionnel, c'est n'importe quoi !
Déjà, même lorsqu'on a écrit un bon livre (bien écrit, bien construit, intéressant, etc.), on n'est pas sûr qu'un éditeur va le publier (les éditeurs croulent sous les manuscrits) ; ensuite, même s'il est publié, un premier roman ne rapporte pas assez pour en vivre ! A moins bien sûr qu'il n'ait un prix littéraire prestigieux ... Et de toute façon, rares sont les écrivains qui vivent de leurs livres !
Alors que là, quand on parle d'un "projet professionnel", il est évident qu'il s'agit d'un gagne-pain, et d'une occupation régulière qui "cadre" l'ex-taulard de par des horaires réguliers ...

  et pour les fautes, les corrections, il y a des logiciels mais pour rédiger vraiment correctement,il faut une aide et la payer.on peut pas se dire écrivain comme ça.C'est, comme tu dis difficile pour les vrais écrivains.

Que foutait le passeport dans le bureau de Rochat ? Ce n'est pas censé être un document que l'on doit toujours garder sur soi ou à défaut chez soi ?

D'ailleurs il faut un passe   pour aller en Angleterre ?

fiesta34 a écrit:

Paty a écrit:

Complètement invraisemblable :
Pour bénéficier de la liberté conditionnelle, il faut justifier d'un projet professionnel, ok. Mais dire que "devenir écrivain" est un projet professionnel, c'est n'importe quoi !
Déjà, même lorsqu'on a écrit un bon livre (bien écrit, bien construit, intéressant, etc.), on n'est pas sûr qu'un éditeur va le publier (les éditeurs croulent sous les manuscrits) ; ensuite, même s'il est publié, un premier roman ne rapporte pas assez pour en vivre ! A moins bien sûr qu'il n'ait un prix littéraire prestigieux ... Et de toute façon, rares sont les écrivains qui vivent de leurs livres !
Alors que là, quand on parle d'un "projet professionnel", il est évident qu'il s'agit d'un gagne-pain, et d'une occupation régulière qui "cadre" l'ex-taulard de par des horaires réguliers ...

  et pour les fautes, les corrections, il y a des logiciels mais pour rédiger vraiment correctement,il faut une aide et la payer.on peut pas se dire écrivain comme ça.C'est, comme tu dis difficile pour les vrais écrivains.

Les éditeurs semblent mettre de moins en moins d'argent là-dedans ... De nos jours, on a de moins en moins de relecteurs/correcteurs humains, et de plus en plus de logiciels ... Et on trouve des fautes même dans des livres pour enfants, ce qui est proprement scandaleux !

Shinochaz a écrit:

Que foutait le passeport dans le bureau de Rochat ? Ce n'est pas censé être un document que l'on doit toujours garder sur soi ou à défaut chez soi ?

D'ailleurs il faut un passe   pour aller en Angleterre ?

Non, une carte d'identité suffit ; mais si on a un passeport, c'est tout aussi bien.
Je suppose que les établissements scolaires des jeunes voyageurs ont collecté les papiers d'identité afin d'être sûr que tout le monde aura ses papiers le jour du départ, ce n'est pas rare de procéder comme ça.