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| Il/Elle était bien/mieux hier soir [Archive 9] | |
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Auteur | Message |
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raylen
| Sujet: Re: Il/Elle était bien/mieux hier soir [Archive 9] 28/3/2019, 21:14 | |
| - Maïadelsol a écrit:
- alexi a écrit:
Les hommes n'appellent pas au secours enfin ! Seules les femmes sont des victimes potentielles d'agression... Je me répète mais ça aborde de façon nullissime la question des violences faites aux femmes. La plupart des viols sont le fait de proches, et les femmes assassinés le sont majoritairement par leur conjoint ou ex-conjoint... Elles vont installer l'appli pour l'utiliser quand leur mari leur tape dessus ? C'est vrai que les maris violents ne fouillent jamais dans le téléphone de leur femme Et la référence à "me too", c'était la cerise sur le gâteau ! Justement le mouvement me too a mis en lumière les harcèlements que subissaient les femmes par hommes de pouvoir : affaire Weinstein, ligue du lol, etc. Oui, il y a eu aussi la question du harcèlement de rue, mais ce n'est qu'une infime partie, et pas la moins compliquée à gérer. Limiter cela à des agresseurs inconnus dans la rue, c'est juste lamentable. La plupart, peut-être. Néanmoins, les agresseurs/violeurs/tueurs occasionnels, voire en série, qui s'en prennent à des inconnu(e)s ça se rencontre aussi assez souvent...
Cela dit, il me semblait que les femmes victimes de violence conjugales avaient la possibilité d'être équipées d'un système (sur leur téléphone ?) leur permettant d'alerter les secours lorsque le conjoint violent les approche. Le meilleur système ne serait-il pas de prendre la fuite? |
| Shinochaz Modérateur
Âge : 44 moderation@pblvfrance3.com
| | Maïadelsol Super contributeur !
Âge : 72
| Sujet: Re: Il/Elle était bien/mieux hier soir [Archive 9] 28/3/2019, 21:34 | |
| - raylen a écrit:
- Maïadelsol a écrit:
La plupart, peut-être. Néanmoins, les agresseurs/violeurs/tueurs occasionnels, voire en série, qui s'en prennent à des inconnu(e)s ça se rencontre aussi assez souvent...
Cela dit, il me semblait que les femmes victimes de violence conjugales avaient la possibilité d'être équipées d'un système (sur leur téléphone ?) leur permettant d'alerter les secours lorsque le conjoint violent les approche. Le meilleur système ne serait-il pas de prendre la fuite? Lorsque c'est possible, évidemment, c'est le mieux. Je voulais en avoir le cœur net et j'ai vérifié. En fait, ce système existe mais... au Québec : "Des femmes victimes de violence conjugale de l’agglomération de Longueuil pourront se sentir plus en sécurité en portant un bouton panique qui leur permettra de communiquer rapidement avec les policiers lorsqu’elles se sentent en danger.
Ce bouton, accompagné d’un système d’alarme installé à la résidence, permettra à la police de l’agglomération d’intervenir de façon plus efficace auprès de femmes qui auront été préalablement identifiées comme étant «très à risque» par l’un des signataires d’un protocole à cet effet.
Les signataires incluent la direction de l’IVAC (Indemnisation des victimes d’actes criminels), les maisons d’hébergement Carrefour pour Elle, le Pavillon Marguerite de Champlain et le Centre d’aide aux victimes d’actes criminels (CAVAC).
«Ce qu’il y a de plus dans ce programme-là, c’est que l’adresse devient un lieu d’intérêt. Il y a une fenêtre qui s’ouvre et il y a des informations nominatives sur l’ex-conjoint. On va avoir la description physique de monsieur, la description de son véhicule. Pour nous, les policiers, ça nous permet d’intervenir plus rapidement, plus efficacement. Et pour la femme qui a ce service-là, ça fait en sorte qu’elle augmente sa sécurité physique, mais également (son) sentiment de sécurité», explique l’agente Josée Gagné, du Service de police de l’agglomération de Longueuil.
Les femmes peuvent évidemment toujours communiquer directement avec le 9-1-1 en cas de danger, mais le bouton panique leur permet d’alerter les services d’urgence en toute discrétion, sans que le conjoint ou l’ex-conjoint en soit avisé.
«C’est différent quand on appelle le 9-1-1, parce que si la personne ne parle pas, nous les policiers, on arrive et parfois les histoires sont décousues, on ne comprend pas ce qui se passe. Tandis que là, lorsqu’il y a un déclenchement de ce programme, le policier sait déjà qu’il s’en va sur un appel de violence conjugale et il le sait que ce sont des dossiers à risque, puisque la dame doit répondre à des critères bien précis», précise l’agente Gagné.
Parmi ces critères, la femme qui souhaite obtenir un bouton panique doit vivre une situation jugée à haut risque, elle ne doit plus habiter avec le conjoint ou l’ex-conjoint et elle doit avoir porté plainte et poursuivre les démarches judiciaires.
Selon la police de Longueuil, le programme vise à apporter une sécurité physique aux femmes victimes de violence conjugale en plus d’augmenter leur sentiment de sécurité. Il a aussi pour objectif de prévenir les infractions criminelles à leur endroit et de procéder à l’arrestation d’individus qui enfreignent une ordonnance de la Cour envers la victime.
Les boutons paniques ne fonctionnent qu’au domicile de la victime et sur son terrain à l’extérieur.
«Quand les maisons d’hébergement entrent en contact avec les femmes et discutent du dossier, c’est une des premières choses qu’elles vont leur dire. Parce qu’il ne faut pas que la femme pense qu’elle peut aller faire son épicerie et qu’elle sera en sécurité, alors que finalement, elle ne l’est pas. C’est vraiment bien expliqué que son bouton, elle l’a sur elle quand elle est dans la maison, (quand) elle est sur son terrain, mais elle ne peut pas aller beaucoup plus loin.»
Des systèmes d’alarme du même genre existent déjà dans d’autres villes du Québec, notamment Montréal et Laval."
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| raylen
| Sujet: Re: Il/Elle était bien/mieux hier soir [Archive 9] 28/3/2019, 21:37 | |
| - Maïadelsol a écrit:
- raylen a écrit:
Le meilleur système ne serait-il pas de prendre la fuite? Lorsque c'est possible, évidemment, c'est le mieux. Je voulais en avoir le cœur net et j'ai vérifié. En fait, ce système existe mais... au Québec :
"Des femmes victimes de violence conjugale de l’agglomération de Longueuil pourront se sentir plus en sécurité en portant un bouton panique qui leur permettra de communiquer rapidement avec les policiers lorsqu’elles se sentent en danger.
Ce bouton, accompagné d’un système d’alarme installé à la résidence, permettra à la police de l’agglomération d’intervenir de façon plus efficace auprès de femmes qui auront été préalablement identifiées comme étant «très à risque» par l’un des signataires d’un protocole à cet effet.
Les signataires incluent la direction de l’IVAC (Indemnisation des victimes d’actes criminels), les maisons d’hébergement Carrefour pour Elle, le Pavillon Marguerite de Champlain et le Centre d’aide aux victimes d’actes criminels (CAVAC).
«Ce qu’il y a de plus dans ce programme-là, c’est que l’adresse devient un lieu d’intérêt. Il y a une fenêtre qui s’ouvre et il y a des informations nominatives sur l’ex-conjoint. On va avoir la description physique de monsieur, la description de son véhicule. Pour nous, les policiers, ça nous permet d’intervenir plus rapidement, plus efficacement. Et pour la femme qui a ce service-là, ça fait en sorte qu’elle augmente sa sécurité physique, mais également (son) sentiment de sécurité», explique l’agente Josée Gagné, du Service de police de l’agglomération de Longueuil.
Les femmes peuvent évidemment toujours communiquer directement avec le 9-1-1 en cas de danger, mais le bouton panique leur permet d’alerter les services d’urgence en toute discrétion, sans que le conjoint ou l’ex-conjoint en soit avisé.
«C’est différent quand on appelle le 9-1-1, parce que si la personne ne parle pas, nous les policiers, on arrive et parfois les histoires sont décousues, on ne comprend pas ce qui se passe. Tandis que là, lorsqu’il y a un déclenchement de ce programme, le policier sait déjà qu’il s’en va sur un appel de violence conjugale et il le sait que ce sont des dossiers à risque, puisque la dame doit répondre à des critères bien précis», précise l’agente Gagné.
Parmi ces critères, la femme qui souhaite obtenir un bouton panique doit vivre une situation jugée à haut risque, elle ne doit plus habiter avec le conjoint ou l’ex-conjoint et elle doit avoir porté plainte et poursuivre les démarches judiciaires.
Selon la police de Longueuil, le programme vise à apporter une sécurité physique aux femmes victimes de violence conjugale en plus d’augmenter leur sentiment de sécurité. Il a aussi pour objectif de prévenir les infractions criminelles à leur endroit et de procéder à l’arrestation d’individus qui enfreignent une ordonnance de la Cour envers la victime.
Les boutons paniques ne fonctionnent qu’au domicile de la victime et sur son terrain à l’extérieur.
«Quand les maisons d’hébergement entrent en contact avec les femmes et discutent du dossier, c’est une des premières choses qu’elles vont leur dire. Parce qu’il ne faut pas que la femme pense qu’elle peut aller faire son épicerie et qu’elle sera en sécurité, alors que finalement, elle ne l’est pas. C’est vraiment bien expliqué que son bouton, elle l’a sur elle quand elle est dans la maison, (quand) elle est sur son terrain, mais elle ne peut pas aller beaucoup plus loin.»
Des systèmes d’alarme du même genre existent déjà dans d’autres villes du Québec, notamment Montréal et Laval."
C'est ahurissant. On conseille aux femmes battues de se munir d'une alarme plutôt que de divorcer? |
| Maïadelsol Super contributeur !
Âge : 72
| Sujet: Re: Il/Elle était bien/mieux hier soir [Archive 9] 28/3/2019, 21:42 | |
| - raylen a écrit:
- Maïadelsol a écrit:
Lorsque c'est possible, évidemment, c'est le mieux. Je voulais en avoir le cœur net et j'ai vérifié. En fait, ce système existe mais... au Québec :
"Des femmes victimes de violence conjugale de l’agglomération de Longueuil pourront se sentir plus en sécurité en portant un bouton panique qui leur permettra de communiquer rapidement avec les policiers lorsqu’elles se sentent en danger.
Ce bouton, accompagné d’un système d’alarme installé à la résidence, permettra à la police de l’agglomération d’intervenir de façon plus efficace auprès de femmes qui auront été préalablement identifiées comme étant «très à risque» par l’un des signataires d’un protocole à cet effet.
Les signataires incluent la direction de l’IVAC (Indemnisation des victimes d’actes criminels), les maisons d’hébergement Carrefour pour Elle, le Pavillon Marguerite de Champlain et le Centre d’aide aux victimes d’actes criminels (CAVAC).
«Ce qu’il y a de plus dans ce programme-là, c’est que l’adresse devient un lieu d’intérêt. Il y a une fenêtre qui s’ouvre et il y a des informations nominatives sur l’ex-conjoint. On va avoir la description physique de monsieur, la description de son véhicule. Pour nous, les policiers, ça nous permet d’intervenir plus rapidement, plus efficacement. Et pour la femme qui a ce service-là, ça fait en sorte qu’elle augmente sa sécurité physique, mais également (son) sentiment de sécurité», explique l’agente Josée Gagné, du Service de police de l’agglomération de Longueuil.
Les femmes peuvent évidemment toujours communiquer directement avec le 9-1-1 en cas de danger, mais le bouton panique leur permet d’alerter les services d’urgence en toute discrétion, sans que le conjoint ou l’ex-conjoint en soit avisé.
«C’est différent quand on appelle le 9-1-1, parce que si la personne ne parle pas, nous les policiers, on arrive et parfois les histoires sont décousues, on ne comprend pas ce qui se passe. Tandis que là, lorsqu’il y a un déclenchement de ce programme, le policier sait déjà qu’il s’en va sur un appel de violence conjugale et il le sait que ce sont des dossiers à risque, puisque la dame doit répondre à des critères bien précis», précise l’agente Gagné.
Parmi ces critères, la femme qui souhaite obtenir un bouton panique doit vivre une situation jugée à haut risque, elle ne doit plus habiter avec le conjoint ou l’ex-conjoint et elle doit avoir porté plainte et poursuivre les démarches judiciaires.
Selon la police de Longueuil, le programme vise à apporter une sécurité physique aux femmes victimes de violence conjugale en plus d’augmenter leur sentiment de sécurité. Il a aussi pour objectif de prévenir les infractions criminelles à leur endroit et de procéder à l’arrestation d’individus qui enfreignent une ordonnance de la Cour envers la victime.
Les boutons paniques ne fonctionnent qu’au domicile de la victime et sur son terrain à l’extérieur.
«Quand les maisons d’hébergement entrent en contact avec les femmes et discutent du dossier, c’est une des premières choses qu’elles vont leur dire. Parce qu’il ne faut pas que la femme pense qu’elle peut aller faire son épicerie et qu’elle sera en sécurité, alors que finalement, elle ne l’est pas. C’est vraiment bien expliqué que son bouton, elle l’a sur elle quand elle est dans la maison, (quand) elle est sur son terrain, mais elle ne peut pas aller beaucoup plus loin.»
Des systèmes d’alarme du même genre existent déjà dans d’autres villes du Québec, notamment Montréal et Laval."
C'est ahurissant. On conseille aux femmes battues de se munir d'une alarme plutôt que de divorcer? Je comprends qu'il s'agit de femmes qui ont fui leur conjoint, lequel a été condamné ou non, mais qui continuent d'être harcelées par lui. |
| ailebrune Super actif
| | ailebrune Super actif
| | likeasunshine Habitué(e)
Âge : 50
| Sujet: Re: Il/Elle était bien/mieux hier soir [Archive 9] 28/3/2019, 23:00 | |
| Belle scene a la piscine entre Luna et Mouss avec un magnifique plan en outre , et etonnant qu'un homme et une femme puissent parler de sexualite sans souci, ils ont une belle complicite. |
| 1848
| Sujet: Re: Il/Elle était bien/mieux hier soir [Archive 9] 28/3/2019, 23:04 | |
| - likeasunshine a écrit:
- Belle scene a la piscine entre Luna et Mouss avec un magnifique plan en outre , et etonnant qu'un homme et une femme puissent parler de sexualite sans souci, ils ont une belle complicite.
Pas tellement sans souci, Mouss était ultra gêné ^^ Après pour moi c'est pas tant le fait que ça soit un homme et une femme mais que l'un pourrait être le fils de l'autre ^^ |
| Kersane
| Sujet: Re: Il/Elle était bien/mieux hier soir [Archive 9] 28/3/2019, 23:20 | |
| - raylen a écrit:
- Maïadelsol a écrit:
Lorsque c'est possible, évidemment, c'est le mieux. Je voulais en avoir le cœur net et j'ai vérifié. En fait, ce système existe mais... au Québec :
"Des femmes victimes de violence conjugale de l’agglomération de Longueuil pourront se sentir plus en sécurité en portant un bouton panique qui leur permettra de communiquer rapidement avec les policiers lorsqu’elles se sentent en danger.
Ce bouton, accompagné d’un système d’alarme installé à la résidence, permettra à la police de l’agglomération d’intervenir de façon plus efficace auprès de femmes qui auront été préalablement identifiées comme étant «très à risque» par l’un des signataires d’un protocole à cet effet.
Les signataires incluent la direction de l’IVAC (Indemnisation des victimes d’actes criminels), les maisons d’hébergement Carrefour pour Elle, le Pavillon Marguerite de Champlain et le Centre d’aide aux victimes d’actes criminels (CAVAC).
«Ce qu’il y a de plus dans ce programme-là, c’est que l’adresse devient un lieu d’intérêt. Il y a une fenêtre qui s’ouvre et il y a des informations nominatives sur l’ex-conjoint. On va avoir la description physique de monsieur, la description de son véhicule. Pour nous, les policiers, ça nous permet d’intervenir plus rapidement, plus efficacement. Et pour la femme qui a ce service-là, ça fait en sorte qu’elle augmente sa sécurité physique, mais également (son) sentiment de sécurité», explique l’agente Josée Gagné, du Service de police de l’agglomération de Longueuil.
Les femmes peuvent évidemment toujours communiquer directement avec le 9-1-1 en cas de danger, mais le bouton panique leur permet d’alerter les services d’urgence en toute discrétion, sans que le conjoint ou l’ex-conjoint en soit avisé.
«C’est différent quand on appelle le 9-1-1, parce que si la personne ne parle pas, nous les policiers, on arrive et parfois les histoires sont décousues, on ne comprend pas ce qui se passe. Tandis que là, lorsqu’il y a un déclenchement de ce programme, le policier sait déjà qu’il s’en va sur un appel de violence conjugale et il le sait que ce sont des dossiers à risque, puisque la dame doit répondre à des critères bien précis», précise l’agente Gagné.
Parmi ces critères, la femme qui souhaite obtenir un bouton panique doit vivre une situation jugée à haut risque, elle ne doit plus habiter avec le conjoint ou l’ex-conjoint et elle doit avoir porté plainte et poursuivre les démarches judiciaires.
Selon la police de Longueuil, le programme vise à apporter une sécurité physique aux femmes victimes de violence conjugale en plus d’augmenter leur sentiment de sécurité. Il a aussi pour objectif de prévenir les infractions criminelles à leur endroit et de procéder à l’arrestation d’individus qui enfreignent une ordonnance de la Cour envers la victime.
Les boutons paniques ne fonctionnent qu’au domicile de la victime et sur son terrain à l’extérieur.
«Quand les maisons d’hébergement entrent en contact avec les femmes et discutent du dossier, c’est une des premières choses qu’elles vont leur dire. Parce qu’il ne faut pas que la femme pense qu’elle peut aller faire son épicerie et qu’elle sera en sécurité, alors que finalement, elle ne l’est pas. C’est vraiment bien expliqué que son bouton, elle l’a sur elle quand elle est dans la maison, (quand) elle est sur son terrain, mais elle ne peut pas aller beaucoup plus loin.»
Des systèmes d’alarme du même genre existent déjà dans d’autres villes du Québec, notamment Montréal et Laval."
C'est ahurissant. On conseille aux femmes battues de se munir d'une alarme plutôt que de divorcer? Non raylen, relis: c’est destiné aux femmes ne vivant plus avec le conjoint violent, c’est précisé. Donc c’est pour prévenir le risque que celui-ci revienne pour se venger et s’acharner ... |
| raylen
| Sujet: Re: Il/Elle était bien/mieux hier soir [Archive 9] 29/3/2019, 02:30 | |
| - Kersane a écrit:
- raylen a écrit:
C'est ahurissant. On conseille aux femmes battues de se munir d'une alarme plutôt que de divorcer? Non raylen, relis: c’est destiné aux femmes ne vivant plus avec le conjoint violent, c’est précisé. Donc c’est pour prévenir le risque que celui-ci revienne pour se venger et s’acharner ... Ah, ok, merci Maïa et Kersane. |
| lilijo63
| | alexi
| Sujet: Re: Il/Elle était bien/mieux hier soir [Archive 9] 29/3/2019, 11:59 | |
| - ailebrune a écrit:
- alexi a écrit:
- De toute façon elle sera poursuivie par le ministère public... Perso, cela ne me choque pas que Gabriel n'ait pas envie de porter plainte en plus, ce qui impliquerait qu'il prenne un avocat, etc. Il veut passer à autre chose et laisser les autorités s'occuper de Judith. Cela me semble assez sain.
Sinon, je pense aussi que l'appli de Samia va être un ENORME succès... Mais que généreuse comme elle est, elle ne gagne pas des tonnes d'argent avec. Et que dans deux mois, tout le monde aura oublié cette merveilleuse appli et le banditisme pourra reprendre au Mistral Pourquoi un avocat ? Pas nécessaire pour porter plainte ni même après en tant que victime il me semble, si ?
Je ne suis pas juriste, donc je ne suis sûre de rien, mais il me semble que si. Dans tous les procès que j'ai suivis (mais après je ne passe pas ma vie dessus), il y avait un avocat, voire plusieurs pour les victimes, en plus du ministère public. |
| Titi de PANAME
| | ailebrune Super actif
| | 1848
| | Maïadelsol Super contributeur !
Âge : 72
| Sujet: Re: Il/Elle était bien/mieux hier soir [Archive 9] 29/3/2019, 22:37 | |
| - Titi de PANAME a écrit:
- Gaby qui ne dit rien quand le chien le réveille et propose même de le sortir
L’appli de Samia permet de sauver Eugénie qui se fait agresser
Ça ne m'a pas paru "bien" mais plutôt ridicule. Si le chien de mon voisin (heureusement je n'ai pas de voisin ) me saoulait à japper toute la journée, je ne pense pas que ce serait une bonne idée de passer mon temps à le sortir pour le faire taire. C'est au maître de prendre des dispositions pour résoudre le problème. Gabriel se "Blanchise" ! |
| chéladoine
| | ailebrune Super actif
| | nicolas8401'
| | ailebrune Super actif
| | Kersane
| | nicolas8401'
| | likeasunshine Habitué(e)
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