Les incohérences et les invraisemblances de PBLV [Archive 13]

Je trouve assez invraisemblable que la police ne vérifie l'alibi donné par Emilie que maintenant.

» Voir le message cité

Paty a écrit:

» Voir le message cité



Je n'ai pas cette impression !  Sans compter que, dans la vraie vie, des élèves très moyens peuvent réussir un examen parce qu'ils tombent sur l'un des rares sujets qu'ils maîtrisent, et des élèves brillants peuvent se retrouvés bloqués par le trac ...
Là, on a Théo, double redoublant à son arrivée, s'étant mis à bosser un peu plus. Il est devenu "bon" élève, bon, ça, ok, c'est moyen, mais plausible, avec un peu de maturité, etc. Mila, présentée dès le début comme brillante, a beaucoup travaillé, et très régulièrement ... jusqu'à ces derniers mois (affaire Jeanne, etc.) : donc, non, ce n'est pas une "cancre qui réussit". Antoine, présenté comme bonne élève à ses débuts, continue sur sa lancée. Tom, lui aussi, a toujours été présenté comme bon élève. Ces deux derniers n'ont pas eu de mention, je suppose que ça peut être attribué à un petit relâchement dû à ce qu'ils ont traversé : transition et pbs familiaux pour l'un, mort de son père suivant de près celle de sa mère pour l'autre. Car entre une mention et pas de mention, ça se joue à peu ...

Non, Paty. Le bac, jusqu'à cette année, ne se jouait pas sur une épreuve qu'on la rate ou qu'on la réussisse. Un élève qui avait  coup de bol ou un autre qui avait le trac ne pouvaient pas réussir ou rater, ou alors , ce n'est plus la peinte de passer un examen si les résultats étaient aléatoires. Depuis quelques années, avec le jeu des options, TPE et autres, la mention est de mise et même a minima, la mention B. On a même des candidats qui ont plus de 20/20. Dans la vraie vie, une élève comme Mila, qui n'a pas fait de seconde, n'aurait même pas pu passer en Première, même de nos jours. Un élève qui a deux ans de retard et souffre de dyslexie non soignée, ne peut pas avoir le bac S. Quant au deuil, il n'a jamais été constaté qu'il fasse baisser les résultats scolaires de manière durable. Ces résultats sont totalement irréalistes même avec la grande braderie qu'est devenu le bac aujourd'hui.

En meme temps j'entends dire deci delà que le niveau d'exigence étant moindre au fil des années, il n'est pas rare du tout de voir des eleves moyens avoir des mentions bien ou tres bien ,tout simplement parce qu'on les surnote ou que les épreuves sont simplifiées.

Du coup lorsque ces éléves surs d'eux débarquent à HEC ou les classes sup. ,ils sont largués car le niveau n'est évidemment pas le meme.

» Voir le message cité

Paty a écrit:

» Voir le message cité



Je n'ai pas cette impression !  Sans compter que, dans la vraie vie, des élèves très moyens peuvent réussir un examen parce qu'ils tombent sur l'un des rares sujets qu'ils maîtrisent, et des élèves brillants peuvent se retrouvés bloqués par le trac ...
Là, on a Théo, double redoublant à son arrivée, s'étant mis à bosser un peu plus. Il est devenu "bon" élève, bon, ça, ok, c'est moyen, mais plausible, avec un peu de maturité, etc. Mila, présentée dès le début comme brillante, a beaucoup travaillé, et très régulièrement ... jusqu'à ces derniers mois (affaire Jeanne, etc.) : donc, non, ce n'est pas une "cancre qui réussit". Antoine, présenté comme bonne élève à ses débuts, continue sur sa lancée. Tom, lui aussi, a toujours été présenté comme bon élève. Ces deux derniers n'ont pas eu de mention, je suppose que ça peut être attribué à un petit relâchement dû à ce qu'ils ont traversé : transition et pbs familiaux pour l'un, mort de son père suivant de près celle de sa mère pour l'autre. Car entre une mention et pas de mention, ça se joue à peu ...

J'ai plus le souvenir d'une plutôt bonne élève, sans plus. De là à avoir une mention TB et d'intégrer une grande école....

» Voir le message cité

likeasunshine a écrit:

En meme temps j'entends dire deci delà que le niveau d'exigence étant moindre au fil des années, il n'est pas rare du tout de voir des eleves moyens avoir des mentions bien ou tres bien ,tout simplement parce qu'on les surnote ou que les épreuves sont simplifiées.

Du coup lorsque ces éléves surs d'eux débarquent à HEC ou les classes sup. ,ils sont largués car le niveau n'est évidemment pas le meme.

C'est tout à fait exact. Plus les options  ù ne comptent que les points au-dessus de la moyenne. Quant au surnotage, je confirme. Le correcteur doit donner la note moyenne de son paquet de copies. Celui dont la moyenne est plus basse que les autres voit ses notes  être remontées.

On constate effectivement des carences même dans les grandes écoles. Un ami qui enseigne les maths dans une école d'ingénieurs , l'Ecole des Mines , voit des élèves qui ne possèdent pas certaines compétences  que l'on est censées acquérir en 5°.

Je confirme. Il y a 25 ans, avoir une mention "Très bien" était vraiment représentatif du niveau d'un élève mais maintenant, cela ne signifie plus rien. Il suffit de voir le nombre de mention TB qu'il y a par classe actuellement. C'est hallucinant.
J'ai appris récemment qu'il y a également des mentions au brevet des collèges alors que franchement, ce sont vraiment les pires des cancres qui n'arrivent pas à avoir leur brevet.

Ah dommage qu'il n'y ait pas eu de mentions à mon époque pour le brevet des colleges car sans me vanter j'avais eu de super notes!   J'aurais eu TB  bien que cela n'aurait influencé en rien ma scolarité ultérieure.
Cela commence à dater tout cela...

likeasunshine a écrit:

En meme temps j'entends dire deci delà que le niveau d'exigence étant moindre au fil des années, il n'est pas rare du tout de voir des eleves moyens avoir des mentions bien ou tres bien ,tout simplement parce qu'on les surnote ou que les épreuves sont simplifiées.

Du coup lorsque ces éléves surs d'eux débarquent à HEC ou les classes sup. ,ils sont largués car le niveau n'est évidemment pas le meme.

Des mentions "très bien" à des élèves moyens ça ne doit pas être si courant. Mention TB c'est 16/20 de moyenne générale minimum, c'est l'excellence.

Sinon je suis d'accord qu'un élève moyen en bûchant peut avoir son bac avec mention, mais cette mention TB pour Mila c'est juste peu réaliste. Une mention "bien" aurait paru plus crédible pour une élève intelligente mais qui a un poil dans la main et qui s'est mise à bosser en dernière minute.

16/20 n'est plus l'excellence. Les excellents élèves aujourd'hui ont 20 ou plus de 20/20

Bon, ben faut croire que tout ça a bien changé, même depuis que mes enfants ont passé leur bac ...

Quelque chose m'intrigue. Ça se fait vraiment, un enterrement de vie de "jeune fille" avant le remariage d'une femme divorcée et mère de famille ?

Ben pourquoi pas? Tant qu'on a une occasion de faire la fête autant la saisir :-)

Shinochaz a écrit:

La comédienne est d'origine suisse, donc ça ressemblerait plus à un accent "alémanique" que purement "anglo-saxon".

Merci pour l'info.

Cela m'étonne des FEDALA qu'ils aient payé le PSY pour le faire taire. Se rangeraient-ils des voitures ?

Maïadelsol a écrit:

Quelque chose m'intrigue. Ça se fait vraiment, un enterrement de vie de "jeune fille" avant le remariage d'une femme divorcée et mère de famille ?

Je ne sais pas trop; je ne suis pas encore en âge d'avoir beaucoup de copines divorcées avec des enfants, on en reparle dans 10 ans 

Blague à part, je sais qu'il fut un temps, la plupart des gens organisaient quelque chose en petit comité, car c'était "un deuxième mariage", comme si on avait droit qu'une seule fois à une jolie fête.
Mais cela est de plus en plus révolu aussi, et tant mieux.

barbedienne a écrit:

Cela m'étonne des FEDALA qu'ils aient payé le PSY pour le faire taire. Se rangeraient-ils des voitures ?

Ca m'étonne surtout qu'ils se soient soumis à ce chantage.

» Voir le message cité

polkafrik a écrit:

Ben pourquoi pas? Tant qu'on a une occasion de faire la fête autant la saisir :-)

Ah mais je suis d'accord : toute occasion de faire la fête est bonne à saisir !
C'est la terminologie que je trouve peu appropriée, et même franchement ridicule...

Il y a bien des fêtes de divorce où l'on invite tous les convives du mariage défunt

Ah bon ?!

Oui, un trentenaire de mon entourage a récemment fait un truc du genre : pas un divorce puisqu'ils ne s'étaient pas mariés mais ils ont un enfant et se séparent d'un commun accord, après une période bien déchirante. Ils ont décidé de faire une fête semblable à celle où ils s'étaient rencontrés : même endroit, mêmes invités. Pour clore ce chapitre de leur histoire et marquer le fait qu'ils resteront liés à jamais puisqu'ils ont un enfant et veulent tout faire pour qu'il souffre le moins possible de cette déchirure.

Si ils sont heureux avec leur décision, pourquoi pas après tout?

On n'est pas obligé de voir une séparation comme un "échec", mais plutôt comme une étape de sa vie qu'on a envie de clôturer en toute bienveillance.

Oui, je dois dire que dans ce contexte qui m'attriste beaucoup (pour eux et pour l'enfant), je suis admirative de la façon dont ils examinent cette période de leur histoire, leur volonté de ne pas tout abîmer mais au contraire de trouver une façon de continuer ensemble à construire pour leur enfant.

» Voir le message cité

Flora24 a écrit:

Si ils sont heureux avec leur décision, pourquoi pas après tout?

On n'est pas obligé de voir une séparation comme un "échec", mais plutôt comme une étape de sa vie qu'on a envie de clôturer en toute bienveillance.

Suis d'accord , une étape de la vie, un stade.Des fois c'est quand même une épreuve, ça dépend des circonstances.L'essentiel c'est d'essayer de constater et ou faire un bilan, de façon que ça serve d'expérience.(je ne dirais pas de leçon)

Maïadelsol a écrit:

Quelque chose m'intrigue. Ça se fait vraiment, un enterrement de vie de "jeune fille" avant le remariage d'une femme divorcée et mère de famille ?

L'EVJF est l'équivalent approximatif en français de la bridal shower américaine. C'était pareil pour le 3e mariage de Mélanie, intrigue rediffusée cette année.