Relevez et commentez les plus belles répliques, les PBR (archive 6)

L'actrice excelle dans ce registre. Tout est parfait : ton de voix, mimiques, silences...

Bon tandem (j'aime beaucoup l'actrice qui joue Yolande aussi)

Franck : Ça vous arrive jamais de vous tromper, vous ?
Barrault : Sur la date de rencontre avec ma femme ? Non !

Kalya (l'air ahuri, comme d'habitude) :...
Blanche (qui lit dans les expressions faciales comme on déchiffre des messages sur un mur blanc) : Ah mais faut pas craquer !

nicolas8401 a écrit:

Bon tandem (j'aime beaucoup l'actrice qui joue Yolande aussi)

Moi aussi

» Voir le message cité

Ans a écrit:

Franck : Ça vous arrive jamais de vous tromper, vous ?
Barrault : Sur la date de rencontre avec ma femme ? Non !

Kalya (l'air ahuri, comme d'habitude) :...
Blanche (qui lit dans les expressions faciales comme on déchiffre des messages sur un mur blanc) : Ah mais faut pas craquer !

Celle-ci était excellente ! Quel niais, ce Franck...

Blanche: -Il est dépressif?
Nathan: -Non, il sourit!

Claude: En papillon (...)
Nathan: Papillon de nuit

» Voir le message cité

Maïadelsol a écrit:

» Voir le message cité



Celle-ci était excellente ! Quel niais, ce Franck...

Niais ? Mais non, voyons : ancien petit voyou, engagé dans les Services Secrets où il a mené à bien des missions périlleuses à travers le monde, il ne peut pas être niais !

C'est un peu comme Victoire dont on a totalement zappé ses activités d'agent secret clandestines qui ont duré des années...

PLOUF !

Douche chaude pour Ariane mais en solo

Romain : Attends, d’un point de vue purement neuroendoctrinal, le plaisir sexuel libère une quantité d’ocytocine et de prolactine
Ariane : Euh, ouais, et quoi ? Ça rend con ?

Douche froide pour Laetitia, toujours en solo


Debbie : Je souhaitais m’entretenir avec vous à propos de Valentin
Laetitia ( ) :  Alors, je vous explique tout de suite, le coup de la collaboratrice qui vient excuser son patron débordé, c’est pas mon truc
Debbie : Et si je vous dis que je ne suis pas venue en avocate mais plutôt en accusatrice ?
Laetitia ( ) : Eh bien je vous répondrai que j’ai des clients qui arrivent dans vingt minutes et qu’il faut que je termine les chambres
Debbie : Valentin a fait souffrir trop de femmes, il faut que ça s’arrête
Laetitia ( ): OK, c’est quoi votre problème ? Il vous a pas donné vos RTT et vous voulez un complice pour vous venger, c’est ça ?
Debbie : Fin mai, je l’ai épousé à Las Vegas. Début juin, il couchait déjà avec une autre.
Laetitia : 

Luna: "Avec moi tu vas progresser à vue d'oeil"
Sacha: "Arrête un peu avec les blagues d'aveugle"
Luna: "J'arrêterai quand tu m'en auras mis plein la vue"
Sacha: "Torture-moi, torture-moi, ça me fait une belle jambe"

Ils ont filé les métaphores à la manière dont on le fait sur ce forum !

» Voir le message cité

ailebrune a écrit:

PLOUF !

Douche chaude pour Ariane mais en solo

Romain : Attends, d’un point de vue purement neuroendoctrinal, le plaisir sexuel libère une quantité d’ocytocine et de prolactine
Ariane : Euh, ouais, et quoi ? Ça rend con ?

Douche froide pour Laetitia, toujours en solo


Debbie : Je souhaitais m’entretenir avec vous à propos de Valentin
Laetitia ( ) :  Alors, je vous explique tout de suite, le coup de la collaboratrice qui vient excuser son patron débordé, c’est pas mon truc
Debbie : Et si je vous dis que je ne suis pas venue en avocate mais plutôt en accusatrice ?
Laetitia ( ) : Eh bien je vous répondrai que j’ai des clients qui arrivent dans vingt minutes et qu’il faut que je termine les chambres
Debbie : Valentin a fait souffrir trop de femmes, il faut que ça s’arrête
Laetitia ( ): OK, c’est quoi votre problème ? Il vous a pas donné vos RTT et vous voulez un complice pour vous venger, c’est ça ?
Debbie : Fin mai, je l’ai épousé à Las Vegas. Début juin, il couchait déjà avec une autre.
Laetitia : 

Merci pour la retranscription du dialogue !
____________________

Mais je trouve vraiment que c'est n'importe quoi, cette histoire Laetitia/Valentin ! Même si je préférais Sébastien, j'ai pu constater qu'avec l'histoire de l'île, il s'est passé quelque chose de très fort entre Laeti et Valentin ... et là, flop, le soufflé est retombé !
Il y a eu une ébauche d'explication de Valentin, qui a bredouillé quelque chose comme "Debbie voulait reprendre la main et l'actionnariat majoritaire sur la holding" (ou un truc du genre), pour signifier qu'il était obligé de s'absenter -mais ça n'expliquait pas pourquoi, même absent, il n'a pas appelé Laetitia régulièrement, en lui expliquant l'avancée des négos, etc.

Donc, on résume, l'amour de Valentin était si fort qu'il s'est auto-naufragé pour partager ce sort tragique avec sa dulcinée, Laetitia, submergée par son amour pour Valentin a quitté Sébastien, sur l'île, ils étaient comme cul et chemise, "faits l'un pour l'autre", et tutti quanti ... ils reviennent à Marseille et reprennent leur vie normale, et hop, pfuitt, ça a été réglé en deux coups de cuiller à pot !

Entièrement d'accord avec ton commentaire

Effectivement, c'est très bizarre cette volte-face (de Valentin ou des scénariste... ).

Disons qu'ils cherchent à faire du rebondissement à tout prix,  en faisant fi de toute vraisemblance et cohérence. Comme souvent. C'est vraiment un gros défaut de pblv : au lieu d'approfondir des scènes, de peaufiner les relations, créer de gros rebondissements ridicules.

Ou alors c'est cohérent: Valentin a rêvé de cette idylle, mais s'est rendu compte en la vivant  que ce n'était pas si bien que ça, du coup il prend des prétextes pour ne plus éviter Laetitia? Ou alors Debbie lui fait un chantage quelconque?

Je pense plutôt au chantage de Debbie et comme l'acteur était aussi en tournée pour une comédie musicale cet été, je pense que il reviendra plus tard pour la suite de l'intrigue.

Ce soir, une réplique de Mirta m'a fait réfléchir :

A Luna qui lui dit "moi, quand j'étais handicapée, tu n'étais pas aux petits soins pour moi comme tu l'es pour Sacha" (passons sur le fait que c'est faux, Mirta a toujours soutenu Luna, mais peut-être était-elle moins maternante en paroles qu'elle ne l'est envers Sacha), Mirta répond :

"Toi, tu es forte. Tu es une femme."

C'est peut-être pour ça que les rapports entre mère et fille sont souvent plus compliqués qu'entre mère et fils ? Parce que la mère, voyant sa fille comme un autre soi-même (parce que du même sexe), l'imagine aussi forte qu'elle-même l'est -ou qu'elle-même, en tant qu'adulte, doit l'être ?

Paty a écrit:

Ce soir, une réplique de Mirta m'a fait réfléchir :

A Luna qui lui dit "moi, quand j'étais handicapée, tu n'étais pas aux petits soins pour moi comme tu l'es pour Sacha" (passons sur le fait que c'est faux, Mirta a toujours soutenu Luna, mais peut-être était-elle moins maternante en paroles qu'elle ne l'est envers Sacha), Mirta répond :

"Toi, tu es forte. Tu es une femme."

C'est peut-être pour ça que les rapports entre mère et fille sont souvent plus compliqués qu'entre mère et fils ? Parce que la mère, voyant sa fille comme un autre soi-même (parce que du même sexe), l'imagine aussi forte qu'elle-même l'est -ou qu'elle-même, en tant qu'adulte, doit l'être ?

Mirta a vainement essayé d'être très maternante envers Luna, mais cette dernière passait son temps à l'envoyer promener !

Quant au reste de ton analyse, n'ayant que des fils, je ne me rends pas compte du tout. Mais ton raisonnement est plutôt pertinent. D'ailleurs, il est réel que les femmes sont en principe psychologiquement plus fortes que les hommes face à l'adversité.

Je pense qu'une femme est ambivalente vis-à-vis de sa mère. Quelle que soit leur complicité (ou pas),elle en a instinctivement besoin dans les moments difficiles. Mais elle s'agace "quelque part" d'être à nouveau maternée, car il lui a fallu s'en affranchir pour grandir et devenir indépendante. 
Ici, il y a aussi une forme de jalousie, peut-être, même si Luna est persuadée de réagir pour le bien de Sacha.

Pour l'instant la supposée supériorité des femmes sur les hommes ne saute pas aux yeux en tout cas, puisque Sacha réagit de la même façon que Luna face à son handicap.

Cela a à voir avec l'histoire de chacun, en tout cas; les arguments généralisants n'étant pas toujours de bonne foi, et ne résolvant rien de toute façon.