PBLV : Exprimez-vous ~ Commentez les épisodes au quotidien ! [archive 34]

Pblv m’a achevée ce soir en réalisant mon rêve le plus fou : réunir enfin The Kilian et The Betty. Exit Brangelina, Bennifer, Jayoncé, place à… Bettylian Je croyais sincèrement être arrivée au summum du bonheur lundi mais mon merveilleux feuilleton d’amour m’a montré que même à six jours de la fin (ô rage, ô désespoir sans nom, ô 18 novembre honni !), il pouvait encore me surprendre par son originalité, sa justesse et sa finesse.

Ce scénario si bien écrit m’a réconciliée avec le jadis horrible Kilian désormais élevé au rang de bienheureux (le voir sourire benoîtement me consume d’aise. Jamais cafard écrabouillé sous un talon impérieux n’a eu si belle mine ni aucun chiffon éprouvé tant de satisfaction à essuyer la saleté).

Au fond de moi, je suis toujours convaincue que son intolérable violence n’avait rien à voir avec une quelconque faute commise par la douce et pure, irréprochable Betty. Il est indispensable qu’il continue sa thérapie avec la psychologue pour que plus jamais sa funeste paume ne heurte la délicate frimousse de la si délicieuse Betty. 

Aujourd’hui, j’ai particulièrement aimé l’attitude de la jeune fille : tester Kilian pour s’assurer qu’il n’était plus nuisible (lui asséner cette gifle a dû lui fendre le cœur, la pauvre, elle qui n’a jamais fait de mal à personne et ne cherche pas du tout à ruiner l’existence de son entourage) ; accepter de lui laisser une seconde chance (abnégation et miséricorde, vous dis-je !), lui octroyer un doux baiser… quelle comédie sentimentale arrive à la cheville de ce seul épisode ? Hollywood a bien des leçons à apprendre de pblv.

J’allais oublier : elle a bien fait de remettre les pendules de Kilian à l’heure et j’ai particulièrement apprécié que le mouton qu’il s’excuse d’être désolé de demander pardon (pour reprendre la très juste expression de Nicolas). C’était la moindre des choses après le traumatisme vécu par Bettynounette.

Pblv m’a achevée ce soir en réalisant mon rêve le plus fou : réunir enfin The Kilian et The Betty. Exit Brangelina, Bennifer, Jayoncé, place à… Bettylian Je croyais sincèrement être arrivée au summum du bonheur lundi mais mon merveilleux feuilleton d’amour m’a montré que même à six jours de la fin (ô rage, ô désespoir sans nom, ô 18 novembre honni !), il pouvait encore me surprendre par son originalité, sa justesse et sa finesse.

Ce scénario si bien écrit m’a réconciliée avec le jadis horrible Kilian désormais élevé au rang de bienheureux (le voir sourire benoîtement me consume d’aise. Jamais cafard écrabouillé sous un talon impérieux n’a eu si belle mine ni aucun chiffon éprouvé tant de satisfaction à essuyer la saleté).

Au fond de moi, je suis toujours convaincue que son intolérable violence n’avait rien à voir avec une quelconque faute commise par la douce et pure, irréprochable Betty. Il est indispensable qu’il continue sa thérapie avec la psychologue pour que plus jamais sa funeste paume ne heurte la délicate frimousse de la si délicieuse Betty. 

Aujourd’hui, j’ai particulièrement aimé l’attitude de la jeune fille : tester Kilian pour s’assurer qu’il n’était plus nuisible (lui asséner cette gifle a dû lui fendre le cœur, la pauvre, elle qui n’a jamais fait de mal à personne et ne cherche pas du tout à ruiner l’existence de son entourage) ; accepter de lui laisser une seconde chance (abnégation et miséricorde, vous dis-je !), lui octroyer un doux baiser… quelle comédie sentimentale arrive à la cheville de ce seul épisode ? Hollywood a bien des leçons à apprendre de pblv.

J’allais oublier : elle a bien fait de remettre les pendules de Kilian à l’heure et j’ai particulièrement apprécié que le mouton qu’il s’excuse d’être désolé de demander pardon (pour reprendre la très juste expression de Nicolas). C’était la moindre des choses après le traumatisme vécu par Bettynounette.