Plus belles les séries (PBLV encore plus belle, USGS, DNA, ITC) - Le FORUM |
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| Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) | |
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Auteur | Message |
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1848
| | Maïadelsol Super contributeur !
Âge : 72
| | 1848
| Sujet: Re: Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) 25/6/2019, 22:27 | |
| - Maïadelsol a écrit:
- Tu crois ?
Ben étant donné que c'est sa fesse droite mais qu'on voit du tissu à droite et pas au milieu, pour moi sa culotte a craqué oui... |
| fiesta34 Super contributeur !
| | Danton Q
| Sujet: Re: Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) 25/6/2019, 22:59 | |
| - 1848 a écrit:
- Comment ça ? C'est une culotte craquée, comme la jupe
Ah d'accord, je n'avais pas saisi que la culotte avait aussi craqué |
| likeasunshine Habitué(e)
Âge : 50
| | Maïadelsol Super contributeur !
Âge : 72
| Sujet: Re: Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) 25/6/2019, 23:25 | |
| - Danton Q a écrit:
- 1848 a écrit:
- Comment ça ? C'est une culotte craquée, comme la jupe
Ah d'accord, je n'avais pas saisi que la culotte avait aussi craqué Ça m'étonne un peu. Une culotte, ça ne craque pas en même temps que la jupe, à moins de s'assoir sur un clou ! |
| Danton Q
| | likeasunshine Habitué(e)
Âge : 50
| | 1848
| Sujet: Re: Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) 26/6/2019, 00:22 | |
| - likeasunshine a écrit:
- Donc le cote droit c'est le tissu et le cote gauche c'est sa fesse?
Dieu merci le plan etait tres fugace... Ben oui compare avec sa couleur de peau |
| Mirmaya
| Sujet: Re: Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) 26/6/2019, 14:48 | |
| - 1848 a écrit:
- Maïadelsol a écrit:
- Tu crois ?
Ben étant donné que c'est sa fesse droite mais qu'on voit du tissu à droite et pas au milieu, pour moi sa culotte a craqué oui... Mais de manière si régulière, ça ne vous surprend pas ?! Comme découpée avec des ciseaux crantés! (non mais sur quoi on va investiguer des fois ) Cela dit, je n'avais rien remarqué sur le coup, avant cette capture en gros plan! |
| Mirmaya
| | Ptit beurre
Âge : 49
| Sujet: Re: Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) 26/6/2019, 17:06 | |
| Ca me fait plus penser à un collant couleur chair avec culotte intégrée, comme les body touch de dim. En plus ils ont la fonction ventre plat, peut être que Blanche voulait s'amincir pour se faire belle pour Normand |
| Luena47
| | Paty Super contributeur !
| Sujet: Re: Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) 26/6/2019, 19:55 | |
| - ailebrune a écrit:
- Paty a écrit:
Moi, je trouve ça très chouette qu'il y ait encore des différences régionales, voire locales ! Avec la mondialisation, c'est une performance d'avoir réussi à les maintenir, ces différences, et j'espère qu'elles ne sont pas près de s'éteindre ! Et ça n'empêche pas de parler un français correct : ce n'est pas un mot, ou une tournure, locaux qui mettent la langue française en danger ! Et il y a bien des gens qui ne parlent aucun patois, et pourtant parlent mal le français ... Le tout, c'est d'être à l'aise dans le bon français standard ET dans des variantes régionales, ou des patois, dialectes, voire d'autres langues ... Et bonne nouvelle : plus on connaît de langues, plus facilement on en assimile de nouvelles, c'est prouvé ! Idem pour les niveaux de langues d'ailleurs. C'est intéressant (et poli au passage) d'être capable de s'exprimer avec une langue plus ou moins soutenue, en fonction des situations. J'avais été très frappée par un documentaire des années 60 où s'exprimaient des Français de couches populaires : ouvriers, petits employés et même enfants d'origine maghrébine habitants du bidonville de Nanterre. Face à la caméra de la télévision, tous faisaient l'effort de s'exprimer dans un français choisi, en faisant notamment toutes les négations, mais aussi le choix des mots précis... J'ai l'impression que ce souci se perd. C'est devenu normal que chacun s'exprime comme il l'entend, en "djeune" s'il est jeune, quel que soit l'interlocuteur, etc. Ah oui, c'est vraiment frappant : il m'arrive de regarder des émissions des archives de l'INA, un simple micro-trottoir, et n'importe qui parle en faisant les liaisons, en articulant bien, en bon français ... ! |
| Paty Super contributeur !
| Sujet: Re: Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) 26/6/2019, 20:53 | |
| - Ptit beurre a écrit:
- Ca me fait plus penser à un collant couleur chair avec culotte intégrée, comme les body touch de dim. En plus ils ont la fonction ventre plat, peut être que Blanche voulait s'amincir pour se faire belle pour Normand
Oui, je crois qu'il s'agit plutôt de ça, ou alors d'une culotte avec dessin cranté à cet endroit-là. |
| Paty Super contributeur !
| Sujet: Re: Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) 26/6/2019, 21:02 | |
| - 1848 a écrit:
- ailebrune a écrit:
Idem pour les niveaux de langues d'ailleurs. C'est intéressant (et poli au passage) d'être capable de s'exprimer avec une langue plus ou moins soutenue, en fonction des situations. J'avais été très frappée par un documentaire des années 60 où s'exprimaient des Français de couches populaires : ouvriers, petits employés et même enfants d'origine maghrébine habitants du bidonville de Nanterre. Face à la caméra de la télévision, tous faisaient l'effort de s'exprimer dans un français choisi, en faisant notamment toutes les négations, mais aussi le choix des mots précis... J'ai l'impression que ce souci se perd. C'est devenu normal que chacun s'exprime comme il l'entend, en "djeune" s'il est jeune, quel que soit l'interlocuteur, etc. La faute à qui ? Le gouvernement détruit l'école publique, qui manque de moyens et de soutien, et ce depuis des générations... Pas étonnant que la langue se dégrade après. Je crois que c'est plus complexe que ça. L'individualisme et la "psychologisation" vont croissant (je veux dire par là qu'on se penche davantage qu'avant sur les cas individuels, on essaie de comprendre la psychologie des élèves, etc., ce qui n'est pas mauvais en soi), avec leurs corolaires : reconnaissance des spécificités individuelles, et donc au lieu de "plier" toute la classe à une langue "pure" (le "bon français"), on reconnaît davantage les particularités, notamment de classes sociales ... J'ai du mal à m'expliquer, je donne un exemple : autrefois, un gamin qui disait qqe chose en classe dans la langue qu'il entendait à la maison (barbarismes, "mauvais" français, mots familiers ou gros mots), se voyait réprimander et devait se corriger, même si ce qu'il disait n'entrait pas dans le cadre d'un exercice. De nos jours, il y a plus de papotages informels où ce sera admis, on dira à l'enfant "mais ça ne se dit pas comme ça", et c'est tout. Et moi qui, comme Ailebrune, aimerais que chacun puisse s'exprimer dans différents niveaux de langue, afin de se sentir à l'aise partout, ça me pose un problème : au nom de quoi a-t-on décrété un jour que la langue des écrivains de cour, voire la langue de la cour, donc de la région parisienne, était la "belle langue", la référence de tout le monde ? Autrement dit, au XIXe siècle (par exemple, et pour ne pas tomber dans l'analyse des travers de la société actuelle), pourquoi la langue des ouvriers n'était-elle pas "belle" au même titre que celle des intellectuels ? Etait-elle moins riche ? |
| Maïadelsol Super contributeur !
Âge : 72
| Sujet: Re: Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) 26/6/2019, 23:29 | |
| - Paty a écrit:
- 1848 a écrit:
La faute à qui ? Le gouvernement détruit l'école publique, qui manque de moyens et de soutien, et ce depuis des générations... Pas étonnant que la langue se dégrade après. Je crois que c'est plus complexe que ça. L'individualisme et la "psychologisation" vont croissant (je veux dire par là qu'on se penche davantage qu'avant sur les cas individuels, on essaie de comprendre la psychologie des élèves, etc., ce qui n'est pas mauvais en soi), avec leurs corolaires : reconnaissance des spécificités individuelles, et donc au lieu de "plier" toute la classe à une langue "pure" (le "bon français"), on reconnaît davantage les particularités, notamment de classes sociales ... J'ai du mal à m'expliquer, je donne un exemple : autrefois, un gamin qui disait qqe chose en classe dans la langue qu'il entendait à la maison (barbarismes, "mauvais" français, mots familiers ou gros mots), se voyait réprimander et devait se corriger, même si ce qu'il disait n'entrait pas dans le cadre d'un exercice. De nos jours, il y a plus de papotages informels où ce sera admis, on dira à l'enfant "mais ça ne se dit pas comme ça", et c'est tout.
Et moi qui, comme Ailebrune, aimerais que chacun puisse s'exprimer dans différents niveaux de langue, afin de se sentir à l'aise partout, ça me pose un problème : au nom de quoi a-t-on décrété un jour que la langue des écrivains de cour, voire la langue de la cour, donc de la région parisienne, était la "belle langue", la référence de tout le monde ? Autrement dit, au XIXe siècle (par exemple, et pour ne pas tomber dans l'analyse des travers de la société actuelle), pourquoi la langue des ouvriers n'était-elle pas "belle" au même titre que celle des intellectuels ? Etait-elle moins riche ? Notre langue a ses règles grammaticales, sa syntaxe et son orthographe, même si elles ont énormément évolué depuis Richelieu et la création de l'Académie Française au XVIIème siècle. Les liaisons mal appliquées, les négations escamotées, les substantifs déformés, les accords non respectés constituent des notions incontournables. Notre élocution est un peu la vitrine de notre éducation, de notre milieu social. A ce titre, l'enseignement d'un français correct devrait être une priorité, car le fait de mal s'exprimer constitue un véritable handicap, tant d'un point de vue social que professionnel. Ce qui n'exclue nullement la pratique annexe des langues et idiomes régionaux à des fins patrimoniales. |
| Luena47
| Sujet: Re: Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) 27/6/2019, 01:30 | |
| Blanche est vraiment incroyable ! Dès qu'elle côtoie un homme, il faut qu'elle envisage une relation avec lui ! Elle va tomber de très haut. |
| nicolas8401'
| | lalegende2
Âge : 90
| Sujet: Re: Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) 27/6/2019, 08:45 | |
| - nicolas8401' a écrit:
- Luena47 a écrit:
- Blanche est vraiment incroyable ! Dès qu'elle côtoie un homme, il faut qu'elle envisage une relation avec lui ! Elle va tomber de très haut.
Contrairement à toutes les autres femmes de la série Moi j'avais remarqué que le superlatif "très" était toujours remplacé par trop, et cela me mettais intérieurement en rogne, et depuis, à ma grande joie il a disparu. Petite anecdote à ce sujet; un jour Nagui recevait une candidate, en parlant de son compagnon, elle ne disait que du bien; il est "trop" intelligent, il est "trop" ceci, il est "trop" cela, Nagui lui demande s'ils se connaissent depuis longtemps, la candidate a répondu trop longtemps et là tonnerre de huées, les gens ont compris le vrai sens de ce mot, alors que moi, me mettant à sa place, j'avais compris de puis très longtemps, c'est pour cela, je pense qu'il faut utiliser les mots, tels que qu'ils ont été appris à l'école. --------------- Pas'mec
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| alexi
| Sujet: Re: Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) 27/6/2019, 12:41 | |
| - Maïadelsol a écrit:
- Paty a écrit:
Je crois que c'est plus complexe que ça. L'individualisme et la "psychologisation" vont croissant (je veux dire par là qu'on se penche davantage qu'avant sur les cas individuels, on essaie de comprendre la psychologie des élèves, etc., ce qui n'est pas mauvais en soi), avec leurs corolaires : reconnaissance des spécificités individuelles, et donc au lieu de "plier" toute la classe à une langue "pure" (le "bon français"), on reconnaît davantage les particularités, notamment de classes sociales ... J'ai du mal à m'expliquer, je donne un exemple : autrefois, un gamin qui disait qqe chose en classe dans la langue qu'il entendait à la maison (barbarismes, "mauvais" français, mots familiers ou gros mots), se voyait réprimander et devait se corriger, même si ce qu'il disait n'entrait pas dans le cadre d'un exercice. De nos jours, il y a plus de papotages informels où ce sera admis, on dira à l'enfant "mais ça ne se dit pas comme ça", et c'est tout.
Et moi qui, comme Ailebrune, aimerais que chacun puisse s'exprimer dans différents niveaux de langue, afin de se sentir à l'aise partout, ça me pose un problème : au nom de quoi a-t-on décrété un jour que la langue des écrivains de cour, voire la langue de la cour, donc de la région parisienne, était la "belle langue", la référence de tout le monde ? Autrement dit, au XIXe siècle (par exemple, et pour ne pas tomber dans l'analyse des travers de la société actuelle), pourquoi la langue des ouvriers n'était-elle pas "belle" au même titre que celle des intellectuels ? Etait-elle moins riche ? Notre langue a ses règles grammaticales, sa syntaxe et son orthographe, même si elles ont énormément évolué depuis Richelieu et la création de l'Académie Française au XVIIème siècle. Les liaisons mal appliquées, les négations escamotées, les substantifs déformés, les accords non respectés constituent des notions incontournables. Notre élocution est un peu la vitrine de notre éducation, de notre milieu social. A ce titre, l'enseignement d'un français correct devrait être une priorité, car le fait de mal s'exprimer constitue un véritable handicap, tant d'un point de vue social que professionnel.
Ce qui n'exclue nullement la pratique annexe des langues et idiomes régionaux à des fins patrimoniales. Sur l'orthographe en général, j'ajoute mon petit grain de sel. Je suis rédactrice-correctrice, et depuis à peu près une dizaine/quinzaine d'années, à peu près tous les journaux licencient (ou ne renouvellent pas, ce qui revient au même) leurs correcteurs. Donc ça devient pour eux acceptable de publier des journaux avec plein de coquilles. Après, il y a des règles où l'erreur est plus ou moins acceptée. L'accord du participe passé des verbes pronominaux est une telle purge que ça reste assez accepté. Et personne ne fait plus de double négation à l'oral, c'est la marque de l'écrit, tout comme l'inversion verbe sujet dans une phrase interrogative que personne ne fera à l'oral à moins d'être d'une pédanterie achevée (et je ne parle même pas du passé du subjonctif qui disparaît même à l'écrit). Sur les niveaux de langage à la télé, j'ai plusieurs fois été frappée, les rares fois où on voit des gens de milieu populaire sur les plateaux télés, justement par le soin qu'ils prenaient à essayer d'avoir un langage soutenu, à faire des belles phrases, au moins que c'en était maladroit et un peu pédant. J'ai l'impression que le fait d'avoir un rapport décomplexé avec le langage est un marqueur de classe, la personne montrant ainsi qu'elle maîtrise plusieurs niveaux de langage. Mais c'est peut-être juste une impression. Sur la phrase initiale qui a lancé la discussion, je partage un lien que j'avais trouvé intéressant qui explique pourquoi on va chez le coiffeur, mais on va aux p... https://reseauinternational.net/aller-chez-le-coiffeur-mais-aller-aux-péripatéticiennes-ce-que-revele-lusage-des-prepositions/ |
| Paty Super contributeur !
| Sujet: Re: Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) 27/6/2019, 22:10 | |
| - lalegende2 a écrit:
- nicolas8401' a écrit:
Contrairement à toutes les autres femmes de la série Moi j'avais remarqué que le superlatif "très" était toujours remplacé par trop, et cela me mettais intérieurement en rogne, et depuis, à ma grande joie il a disparu. Petite anecdote à ce sujet; un jour Nagui recevait une candidate, en parlant de son compagnon, elle ne disait que du bien; il est "trop" intelligent, il est "trop" ceci, il est "trop" cela, Nagui lui demande s'ils se connaissent depuis longtemps, la candidate a répondu trop longtemps et là tonnerre de huées, les gens ont compris le vrai sens de ce mot, alors que moi, me mettant à sa place, j'avais compris de puis très longtemps, c'est pour cela, je pense qu'il faut utiliser les mots, tels que qu'ils ont été appris à l'école. Excellent ! |
| Paty Super contributeur !
| Sujet: Re: Blanche Marci (par Cécilia HORNUS) 27/6/2019, 22:18 | |
| - alexi a écrit:
- Maïadelsol a écrit:
Notre langue a ses règles grammaticales, sa syntaxe et son orthographe, même si elles ont énormément évolué depuis Richelieu et la création de l'Académie Française au XVIIème siècle. Les liaisons mal appliquées, les négations escamotées, les substantifs déformés, les accords non respectés constituent des notions incontournables. Notre élocution est un peu la vitrine de notre éducation, de notre milieu social. A ce titre, l'enseignement d'un français correct devrait être une priorité, car le fait de mal s'exprimer constitue un véritable handicap, tant d'un point de vue social que professionnel.
Ce qui n'exclue nullement la pratique annexe des langues et idiomes régionaux à des fins patrimoniales. Sur l'orthographe en général, j'ajoute mon petit grain de sel. Je suis rédactrice-correctrice, et depuis à peu près une dizaine/quinzaine d'années, à peu près tous les journaux licencient (ou ne renouvellent pas, ce qui revient au même) leurs correcteurs. Donc ça devient pour eux acceptable de publier des journaux avec plein de coquilles.
Après, il y a des règles où l'erreur est plus ou moins acceptée. L'accord du participe passé des verbes pronominaux est une telle purge que ça reste assez accepté. Et personne ne fait plus de double négation à l'oral, c'est la marque de l'écrit, tout comme l'inversion verbe sujet dans une phrase interrogative que personne ne fera à l'oral à moins d'être d'une pédanterie achevée (et je ne parle même pas du passé du subjonctif qui disparaît même à l'écrit).
Sur les niveaux de langage à la télé, j'ai plusieurs fois été frappée, les rares fois où on voit des gens de milieu populaire sur les plateaux télés, justement par le soin qu'ils prenaient à essayer d'avoir un langage soutenu, à faire des belles phrases, au moins que c'en était maladroit et un peu pédant. J'ai l'impression que le fait d'avoir un rapport décomplexé avec le langage est un marqueur de classe, la personne montrant ainsi qu'elle maîtrise plusieurs niveaux de langage. Mais c'est peut-être juste une impression.
Sur la phrase initiale qui a lancé la discussion, je partage un lien que j'avais trouvé intéressant qui explique pourquoi on va chez le coiffeur, mais on va aux p... https://reseauinternational.net/aller-chez-le-coiffeur-mais-aller-aux-péripatéticiennes-ce-que-revele-lusage-des-prepositions/ Ca se voit, et ... c'est choquant !Comment veut-on que les enfants -ou les adultes d'ailleurs- apprennent l'orthographe, ou s'en souviennent, s'ils voient des erreurs à tout bout de champ ?Ca me paraît évident ... à condition de parler de classes déterminées par le capital social et culturel, et non le capital économique, bien sûr. |
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