Relevez et commentez les plus belles répliques, les PBR [Archive 2 Décembre 2017-mai 2018]

Emma : "Cot cot cot cot"

1848 a écrit:

Emma : "Cot cot cot cot"

J'ai bien compris que c'était moqueur, mais je ne connaissais pas ... On imite la poule pour se moquer de quelqu'un ?

La poule mouillée

Paty a écrit:

Mais même là ...
Les scénaristes n'ont pas créé une belle histoire d'amour, avec de belles scènes de rencontre, etc., comme si ça ne pouvait pas arriver à Nathan : Aurélie et lui, on a l'impression qu'ils ont trébuché, se sont raccrochés l'un à l'autre, et ... sont restés ensemble ...

Je trouve touchante et assez crédible leur relation moi.

Danton Q a écrit:

La poule mouillée

ah d'accord.

raylen a écrit:

Hé bien tu vois, chéladoine, tu illustres parfaitement ce que je disais. tu ne parles pas de la scène à laquelle je faisais allusion mais de moi et mes supposés certitudes ou mépris.
La compréhension du langage est une chose : la réplique de la substitut était hautaine et orientée sur la différence de statut entre les deux personnes , ceci est un fait. 
Le ressenti est autre chose. Beaucoup ici se sont réjouis de cette réplique parce qu'elle était adressée à Ariane. C'est leur droit. Je ne discute pas cela.  Un lecteur  peut projeter ce qu'il veut sur le texte qu'il veut mais l'analyse d'un discours n'est pas une projection subjective. Je suppose, et ceci n'est qu'un supposition, que ceux qui ont trouvé la réplique géniale l'ont jugée ainsi parce qu'elle était adressée à Ariane.
Enfin ta dernière phrase montre que tu mélanges allègrement sens et réception d'une ouvre.

 Je ne parle plus de la scène en question parce que j'ai dit tout ce que j'avais à dire et toi aussi d'ailleurs, tu ne fais que te répéter.
Et ma dernière phrase parlait évidemment de la critique littéraire universitaire, qui parle bien du sens d'une œuvre à travers ses différentes réceptions
    Mais cet échange devenant de plus en plus un dialogue de sourdes sans grand intérêt, j'arrête là. Tu m'as eue à l'usure, comme d'habitude.

chéladoine a écrit:

 Je ne parle plus de la scène en question parce que j'ai dit tout ce que j'avais à dire et toi aussi d'ailleurs, tu ne fais que te répéter.
Et ma dernière phrase parlait évidemment de la critique littéraire universitaire, qui parle bien du sens d'une œuvre à travers ses différentes réceptions
    Mais cet échange devenant de plus en plus un dialogue de sourdes sans grand intérêt, j'arrête là. Tu m'as eue à l'usure, comme d'habitude.

Bien. victoire aux points, donc.

Mimi : "A mon avis, elle est complètement timbrée cette nana !"   (à propos de Céline)

Danton Q a écrit:

La poule mouillée

Ah, ok !

nicolas8401 a écrit:

Je trouve touchante et assez crédible leur relation moi.

Oui, moi aussi ! Mais leur relation semble avoir débuté "par défaut" : ils ont fait connaissance en se racontant leurs ratages et maladresses (preuves à l'appui), et ça continue avec de la bienveillance, etc. ... c'est plus amical qu'émouvant.

Paty a écrit:

Oui, moi aussi ! Mais leur relation semble avoir débuté "par défaut" : ils ont fait connaissance en se racontant leurs ratages et maladresses (preuves à l'appui), et ça continue avec de la bienveillance, etc. ... c'est plus amical qu'émouvant.

Ah je ne le vois pas comme ça. Il y a pas mal d'histoires sérieuses qui peuvent commencer "par défaut". Et d'ailleurs ce n'est pas vraiment par défaut en l'occurrence. Là c'est plus de l'ordre du "qui se ressemble s'assemble". Je suis même étonné que ça se passe aussi bien, on était tellement habitués Nathan à enchaîner les galères que là, ça ne peut que surprendre qu'il lui arrive quelque chose de bien.

Luena47 a écrit:

Mimi : "A mon avis, elle est complètement timbrée cette nana !"   (à propos de Céline)

Un homme de jugement ce mimi 
Faut avouer qu'il n'a pas tort: elle est cinglée

Nathan a enfin du pot

Nathan : Bientôt, on lavera nos fringues ensemble. Mes chemises avec tes robes !
(et quelles robes!!)

Nathan : T'es mon pot et je suis ton couvercle. Ou l'inverse...

ailebrune a écrit:

Nathan a enfin du pot

Nathan : Bientôt, on lavera nos fringues ensemble. Mes chemises avec tes robes !
(et quelles robes!!)

Nathan : T'es mon pot et je suis ton couvercle. Ou l'inverse...

  il file d'ailleurs la métaphore en parlant de Rochat et d'Angela !

Money makes the world go round...

Vitreuil à Jeanne : Tu es enfin en train de comprendre que tout s'achète, même une ado.
(...)
On est exactement pareilles toi et moi. Sauf que moi, j'assume de payer.

 

(à part ça, quand même contente de revoir Vitreuil, quel personnage !)

Adrénaline au carré

Patrick (quand Lea arrive saine et sauve après son injection d'adrénaline à Libérati) :
Tu me refais jamais ça !

Lea : Je te retourne le compliment !

Rochat (en chuchotant) : Ceux qui chuchotent sont ceux qu'on entend le mieux !
Aurélie : Quoi ?

D'ailleurs, Aurélie est digne des "nazes" : on ne dit pas "quoi", mais "pardon", quand on n'a pas compris. Surtout dans ce cadre-là.

1848 a écrit:

Rochat (en chuchotant) : Ceux qui chuchotent sont ceux qu'on entend le mieux !
Aurélie : Quoi ?

Anne : "Je dirais que c'est un scénario assez peu probable"

J'ai particulièrement apprécié la réplique empreinte de délicatesse et d'humanisme du truand corse.
Abdel : tu t'apprêtes à tuer ma meut sous mes yeux
le Corse : t'as raison. Va dans la voiture.

raylen a écrit:

J'ai particulièrement apprécié la réplique empreinte de délicatesse et d'humanisme du truand corse.
Abdel : tu t'apprêtes à tuer ma meut sous mes yeux
le Corse : t'as raison. Va dans la voiture.

C'était à la limite de l'humour noir

raylen a écrit:

J'ai particulièrement apprécié la réplique empreinte de délicatesse et d'humanisme du truand corse.
Abdel : tu t'apprêtes à tuer ma meut sous mes yeux
le Corse : t'as raison. Va dans la voiture.

Oui, elle était pas mal celle-là !!