Leçons, messages, débats de société. (archive 2)

Shinochaz a écrit:

Il y a des choses abérantes je le conçois. Par exemple, c'est un non-sens de prendre l'avion pour parcourir 300 km en ligne droite, quand dans le même temps on supprime des trains en pagaille.

Je m'intéresse beaucoup à ces domaines je n'ironise pas sur un retour au Moyen-Age, c'est juste que lorsque l'on creuse sérieusement la question, on se rends compte que ce que l'on améliore d'un côté dégrade d'un autre côté.

Voilà, tu as mis le doigt dessus !

"On" étant l'Etat, car oui, il y a une volonté politique qui doit ... changer ses habitudes ! Bien sûr, c'est la SNCF qui supprime les trains, mais voyons un peu la gestion, par l'Etat, des modes de transports ... Il vaudrait mieux encourager le transport ferroviaire, au lieu d'encombrer un peu plus nos routes avec les bus grandes lignes (quelle hérésie que ces bus !), encourager aussi le transport fluvial (en retapant les canaux laissés à l'abandon), car une péniche peut contenir l'équivalent de je ne sais plus combien de camions !

Je ne suis en revanche pas prêt de me passer d'un bon steack avec du sel et bien cuit

Shinochaz a écrit:

Je ne suis en revanche pas prêt de me passer d'un bon steack avec du sel et bien cuit

Mais pourquoi devrais-tu t'en passer ? Tu n'en manges pas tous les jours, je suppose !

Par rapport à l'état de la planète, nous avons du mal à prendre conscience de la gravité de la menace parce que nous ne la percevons pas avec nos cinq sens. Et parce que nous sommes pris dans un mode de vie et de production qui paraît normal, anodin. Quand je dis nous, j'inclue les décideurs, les médias, etc. Cela fait des décennies que nos supermarchés sont remplis de nourriture, l'eau coule à flot de nos robinets, etc. Nous ne "voyons" pas nos sols mourir à cause des intrants. Nous ne voyons pas la fragilité des animaux d'élevage, devenus incapables de se reproduire seul ni de survivre sans être gavés d'antibiotiques. Nous ne voyons pas la fragilité de notre système d'approvisionnement ni la toxicité de nos habitudes banales (achat d'objets et de vêtements faits à l'autre bout du monde dans des conditions sociales et environnementales très graves). On en parle peu, c'est noyé dans un décor de profusion et d'encouragement à en faire toujours plus, à jeter de plus en plus (mode, obsolescence programmée). 
Alors comment se rendre compte de la catastrophe qui s'annonce ?
Il ne s'agit pas de protéger "la nature", au sens d'un joli paysage. Mais de ce qui nous est indispensable pour être en vie.
Ce n'est pas une lubie de marginaux rêveurs accros au chichon. C'est l'avertissement répété des experts scientifiques.
Il ne s'agit pas non plus de revenir en arrière ni de se priver de tout.
C'est si nous continuons de faire n'importe quoi que nous n'aurons plus rien du tout.
Exemple : le plastique, invention génialissime, mais qui utilise une ressource pas infinie, le pétrole. Très polluant et, le plus souvent pas recyclable. Fabuleux pour le matériel médical, l'isolation des fils électriques, etc. Complètement taré de l'utiliser pour des objets jetables (bouteilles, couverts, sachets individuels autour des gâteaux...)
 Ces dernières décennies, le discours a consisté surtout à culpabiliser les gens ordinaires tout en encourageant l'ensemble du système à ne rien changer, ou alors des mesurettes à la marge, sans oublier les fausses bonnes idées (la voiture électrique est hyper polluante, un mail est plus polluant qu'un courrier papier). Couper l'eau de son robinet quand on se brosse les dents, c'est sympa, mais c'est une blague comparé au gaspillage d'eau dans l'industrie et l'agriculture intensive.
Pour autant, je pense qu'agir soi-même à son niveau est utile. Ce n'est pas un sacrifice mais un mode de vie plus attentif, plus posé, plus savoureux. Et plus nous serons nombreux à trouver ahurissante l'absence de vraies mesures à haut niveau, plus ça peut pousser au changement indispensable.

ailebrune a écrit:

Par rapport à l'état de la planète, nous avons du mal à prendre conscience de la gravité de la menace parce que nous ne la percevons pas avec nos cinq sens. Et parce que nous sommes pris dans un mode de vie et de production qui paraît normal, anodin. Quand je dis nous, j'inclue les décideurs, les médias, etc. Cela fait des décennies que nos supermarchés sont remplis de nourriture, l'eau coule à flot de nos robinets, etc. Nous ne "voyons" pas nos sols mourir à cause des intrants. Nous ne voyons pas la fragilité des animaux d'élevage, devenus incapables de se reproduire seul ni de survivre sans être gavés d'antibiotiques. Nous ne voyons pas la fragilité de notre système d'approvisionnement ni la toxicité de nos habitudes banales (achat d'objets et de vêtements faits à l'autre bout du monde dans des conditions sociales et environnementales très graves). On en parle peu, c'est noyé dans un décor de profusion et d'encouragement à en faire toujours plus, à jeter de plus en plus (mode, obsolescence programmée). 
Alors comment se rendre compte de la catastrophe qui s'annonce ?
Il ne s'agit pas de protéger "la nature", au sens d'un joli paysage. Mais de ce qui nous est indispensable pour être en vie.
Ce n'est pas une lubie de marginaux rêveurs accros au chichon. C'est l'avertissement répété des experts scientifiques.
Il ne s'agit pas non plus de revenir en arrière ni de se priver de tout.
C'est si nous continuons de faire n'importe quoi que nous n'aurons plus rien du tout.
Exemple : le plastique, invention génialissime, mais qui utilise une ressource pas infinie, le pétrole. Très polluant et, le plus souvent pas recyclable. Fabuleux pour le matériel médical, l'isolation des fils électriques, etc. Complètement taré de l'utiliser pour des objets jetables (bouteilles, couverts, sachets individuels autour des gâteaux...)
 Ces dernières décennies, le discours a consisté surtout à culpabiliser les gens ordinaires tout en encourageant l'ensemble du système à ne rien changer, ou alors des mesurettes à la marge, sans oublier les fausses bonnes idées (la voiture électrique est hyper polluante, un mail est plus polluant qu'un courrier papier). Couper l'eau de son robinet quand on se brosse les dents, c'est sympa, mais c'est une blague comparé au gaspillage d'eau dans l'industrie et l'agriculture intensive.
Pour autant, je pense qu'agir soi-même à son niveau est utile. Ce n'est pas un sacrifice mais un mode de vie plus attentif, plus posé, plus savoureux. Et plus nous serons nombreux à trouver ahurissante l'absence de vraies mesures à haut niveau, plus ça peut pousser au changement indispensable.

Concernant la deuxième partie de ton message, bien sûr les actions à échelle individuelle ne seront pas suffisantes mais peuvent avoir un impact à plus grande échelle quand il s'agit de consommation si chacun répète cette action. Par exemple si je n'achète (et ne mange) plus de Nutella, ce n'est pas dans l'espoir que mon économie d'huile de palme suffise, mais que beaucoup de personne ait la même démarche et que la perte de part de marché (qui a commencé d'ailleurs) soit assez significative pour que de leur côté ils remettent les choses en question. De même que je ne limite pas mes choix (ou non choix) à ce produit, il n'est pas seul responsable des malheurs de l'environnement évidemment. Outre le fait d'exprimer des idées, par des manifestations, par les urnes, etc... nous avons un gros pouvoir dans notre consommation, ce qui ne se vend pas ne sera plus produit.



Un petit message pour Paty, changer de banque n'est pas très compliqué, pas beaucoup plus que de moteur de recherche.
Un petit classement des banques faits par Les Amis de la Terre à titre indicatif :

7fanfan7 a écrit:

ailebrune a écrit:

Par rapport à l'état de la planète, nous avons du mal à prendre conscience de la gravité de la menace parce que nous ne la percevons pas avec nos cinq sens. Et parce que nous sommes pris dans un mode de vie et de production qui paraît normal, anodin. Quand je dis nous, j'inclue les décideurs, les médias, etc. Cela fait des décennies que nos supermarchés sont remplis de nourriture, l'eau coule à flot de nos robinets, etc. Nous ne "voyons" pas nos sols mourir à cause des intrants. Nous ne voyons pas la fragilité des animaux d'élevage, devenus incapables de se reproduire seul ni de survivre sans être gavés d'antibiotiques. Nous ne voyons pas la fragilité de notre système d'approvisionnement ni la toxicité de nos habitudes banales (achat d'objets et de vêtements faits à l'autre bout du monde dans des conditions sociales et environnementales très graves). On en parle peu, c'est noyé dans un décor de profusion et d'encouragement à en faire toujours plus, à jeter de plus en plus (mode, obsolescence programmée). 
Alors comment se rendre compte de la catastrophe qui s'annonce ?
Il ne s'agit pas de protéger "la nature", au sens d'un joli paysage. Mais de ce qui nous est indispensable pour être en vie.
Ce n'est pas une lubie de marginaux rêveurs accros au chichon. C'est l'avertissement répété des experts scientifiques.
Il ne s'agit pas non plus de revenir en arrière ni de se priver de tout.
C'est si nous continuons de faire n'importe quoi que nous n'aurons plus rien du tout.
Exemple : le plastique, invention génialissime, mais qui utilise une ressource pas infinie, le pétrole. Très polluant et, le plus souvent pas recyclable. Fabuleux pour le matériel médical, l'isolation des fils électriques, etc. Complètement taré de l'utiliser pour des objets jetables (bouteilles, couverts, sachets individuels autour des gâteaux...)
 Ces dernières décennies, le discours a consisté surtout à culpabiliser les gens ordinaires tout en encourageant l'ensemble du système à ne rien changer, ou alors des mesurettes à la marge, sans oublier les fausses bonnes idées (la voiture électrique est hyper polluante, un mail est plus polluant qu'un courrier papier). Couper l'eau de son robinet quand on se brosse les dents, c'est sympa, mais c'est une blague comparé au gaspillage d'eau dans l'industrie et l'agriculture intensive.
Pour autant, je pense qu'agir soi-même à son niveau est utile. Ce n'est pas un sacrifice mais un mode de vie plus attentif, plus posé, plus savoureux. Et plus nous serons nombreux à trouver ahurissante l'absence de vraies mesures à haut niveau, plus ça peut pousser au changement indispensable.

Concernant la deuxième partie de ton message, bien sûr les actions à échelle individuelle ne seront pas suffisantes mais peuvent avoir un impact à plus grande échelle quand il s'agit de consommation si chacun répète cette action. Par exemple si je n'achète (et ne mange) plus de Nutella, ce n'est pas dans l'espoir que mon économie d'huile de palme suffise, mais que beaucoup de personne ait la même démarche et que la perte de part de marché (qui a commencé d'ailleurs) soit assez significative pour que de leur côté ils remettent les choses en question. De même que je ne limite pas mes choix (ou non choix) à ce produit, il n'est pas seul responsable des malheurs de l'environnement évidemment. Outre le fait d'exprimer des idées, par des manifestations, par les urnes, etc... nous avons un gros pouvoir dans notre consommation, ce qui ne se vend pas ne sera plus produit.



Un petit message pour Paty, changer de banque n'est pas très compliqué, pas beaucoup plus que de moteur de recherche.
Un petit classement des banques faits par Les Amis de la Terre à titre indicatif :

Merci, mais ce n'est pas dans ce sens-là que j'entendais "compliqué" : j'ai tous mes comptes, assurances, etc. à la même banque (Crédit Mut), ce qui me vaut quelques bonus par ci par là ...

Par ailleurs, le fait de prendre de bonnes habitudes au niveau individuel nous aidera aussi à remarquer les mauvaises habitudes au niveau des entreprises, par exemple !
Ordis non éteints le soir, papier imprimé d'un seul côté (alors qu'on a posé une bannette à côté de l'imprimante pour y mettre les feuilles dont seul le recto est imprimé, afin de les réutiliser), cartons et papiers mis dans la benne générale (eh oui, les entreprises doivent payer pour avoir droit à une benne à papier), etc.

Je ne viens pas très souvent sur le forum en ce moment, faute de temps ( beaucoup de choses à faire dans les jardins!) et je viens donc de découvrir cette discussion très intéressante.
  Pour résumer ma position, je suis d'accord avec ce qui est développé, et personnellement je coche beaucoup de cases sur la liste de Fanfan: j'économise l'eau et l'électricité, je bannis le plus possible le plastique, je trie, je recycle et je composte, j'achète local et j'évite le gaspillage de nourriture, je fais durer mes vêtements longtemps (surtout depuis que je suis à la retraite), je sème des fleurs mellifères pour nourrir les abeilles, je ne prends plus du tout l'avion et je prends le train quand c'est possible.... Et j'ai voté EELV dimanche dernier. 

Alors j'enrage quand je lis que le trafic aérien doit doubler d'ici à 2040,  ( et que le kérosène n'est toujours pas taxé!) qu'un train qui transportait les légumes et fruits du Sud-Ouest à Ringis va arrêter et être remplacé par des camions, et autres prévisions ou décisions aberrantes.
 
A part ça, je navigue entre l'Ardèche et la Drôme, et en ce moment il y a des coquelicots partout! Vive la nature!

chéladoine a écrit:

Je ne viens pas très souvent sur le forum en ce moment, faute de temps ( beaucoup de choses à faire dans les jardins!) et je viens donc de découvrir cette discussion très intéressante.
  Pour résumer ma position, je suis d'accord avec ce qui est développé, et personnellement je coche beaucoup de cases sur la liste de Fanfan: j'économise l'eau et l'électricité, je bannis le plus possible le plastique, je trie, je recycle et je composte, j'achète local et j'évite le gaspillage de nourriture, je fais durer mes vêtements longtemps (surtout depuis que je suis à la retraite), je sème des fleurs mellifères pour nourrir les abeilles, je ne prends plus du tout l'avion et je prends le train quand c'est possible.... Et j'ai voté EELV dimanche dernier. 

Alors j'enrage quand je lis que le trafic aérien doit doubler d'ici à 2040,  ( et que le kérosène n'est toujours pas taxé!) qu'un train qui transportait les légumes et fruits du Sud-Ouest à Ringis va arrêter et être remplacé par des camions, et autres prévisions ou décisions aberrantes.
 
A part ça, je navigue entre l'Ardèche et la Drôme, et en ce moment il y a des coquelicots partout! Vive la nature!

Super, Alven ne déverse pas encore ses produits toxiques dans les départements voisins !  

Plus sérieusement, oui, tout à fait d'accord avec ton avant-dernier paragraphe !

Paty a écrit:

Par ailleurs, le fait de prendre de bonnes habitudes au niveau individuel nous aidera aussi à remarquer les mauvaises habitudes au niveau des entreprises, par exemple !
Ordis non éteints le soir, papier imprimé d'un seul côté (alors qu'on a posé une bannette à côté de l'imprimante pour y mettre les feuilles dont seul le recto est imprimé, afin de les réutiliser), cartons et papiers mis dans la benne générale (eh oui, les entreprises doivent payer pour avoir droit à une benne à papier), etc.

A ce propos, j'ai fait la réflexion à mon assureur, qui éditait plein de feuilles recto pour mon nouveau contrat. Il m'a dit que ça l'ennuyait aussi, mais que c'était obligatoire de n'imprimer que sur une feuille de manière à ce qu'aucune information importante soit oubliée (il suffit qu'une page saute dans le recto-verso et on perd des info). Et il est obligé de les passer à la déchiquetueuse !

lilijo63 a écrit:

Paty a écrit:

Par ailleurs, le fait de prendre de bonnes habitudes au niveau individuel nous aidera aussi à remarquer les mauvaises habitudes au niveau des entreprises, par exemple !
Ordis non éteints le soir, papier imprimé d'un seul côté (alors qu'on a posé une bannette à côté de l'imprimante pour y mettre les feuilles dont seul le recto est imprimé, afin de les réutiliser), cartons et papiers mis dans la benne générale (eh oui, les entreprises doivent payer pour avoir droit à une benne à papier), etc.

A ce propos, j'ai fait la réflexion à mon assureur, qui éditait plein de feuilles recto pour mon nouveau contrat. Il m'a dit que ça l'ennuyait aussi, mais que c'était obligatoire de n'imprimer que sur une feuille de manière à ce qu'aucune information importante soit oubliée (il suffit qu'une page saute dans le recto-verso et on perd des info). Et il est obligé de les passer à la déchiquetueuse !

Si l'on reçoit un courrier u de la documentation écrits au recto, on peut très bien utiliser soi-même le verso. Cela dit, le papier se dégrade comme un déchet alimentaire . Personnellement, je suis très embêtée pour savoir on jette certains conteneurs - sprays ou aérosols par exemple de produits ménagers - et j'ai eu le plus grand mal à trouver un commerçant qui avait une poubelle à piles. Cela me paraît bien plus problématique que le papier mais je peux me tromper.

Dans mon Auchan il y a des contenairs pour piles ,petit electromenager ou meme des bouchons de liege.

Moi j'en ai dans à peu près tous les supermarchés.

Chez moi , les supermarchés ne le font plus car, m'a dit une employée, personne ne venait jamais chercher le contenu. J'ai fini par en trouver à Top Office. Mais quoi qu'il en soit, que font-ils des piles après?

raylen a écrit:

Chez moi , les supermarchés ne le font plus car, m'a dit une employée, personne ne venait jamais chercher le contenu. J'ai fini par en trouver à Top Office. Mais quoi qu'il en soit, que font-ils des piles après?

Bonne question. Bon, on pourra toujours trouver des sites qui expliqueront comment les composants des piles seront traités, mais dans la réalité ?
A une époque, dans l'entreprise où je travaille, nous triions les papiers : tous les listings de ventes quotidiens, plus les cartons, ça en faisait du volume ! Et l'un de nous allait les déposer dans la benne ... avant d'apprendre qu'en fait, cette benne allait aux ordures générales, car l'entreprise doit payer pour avoir sa benne "spécial papier" ! Du coup, ben ... on ne trie plus ...

Aujourd'hui, on a oeuvré pour la planète ! Nous devions changer nos chaises, qui, après 25 ans d'usage intensif, commençaient à rendre l'âme (couinage terrible, désolidarisation assise-montant). Bref, on va dans un magasin de chaises : peu de bois, et hors de prix ! ou d'assise inconfortable quand on a un bon derrière. Beaucoup de polypro.... en revanche. Déçus on rentrait, mais on s'est arrêtés au Troc.com : dans la foulée, on est repartis avec 5 chaises en bon bois, qui ne couinent pas, avec un paillage impeccable, plus un fauteuil. Pour le prix de 2 chaises neuves ! Contente. Les vieilles iront à l'association "les mains ouvertes", qui retapent et revendent.

lilijo63 a écrit:

Aujourd'hui, on a oeuvré pour la planète ! Nous devions changer nos chaises, qui, après 25 ans d'usage intensif, commençaient à rendre l'âme (couinage terrible, désolidarisation assise-montant). Bref, on va dans un magasin de chaises : peu de bois, et hors de prix ! ou d'assise inconfortable quand on a un bon derrière. Beaucoup de polypro.... en revanche. Déçus on rentrait, mais on s'est arrêtés au Troc.com : dans la foulée, on est repartis avec 5 chaises en bon bois, qui ne couinent pas, avec un paillage impeccable, plus un fauteuil. Pour le prix de 2 chaises neuves ! Contente. Les vieilles iront à l'association "les mains ouvertes", qui retapent et revendent.

Bravo ! Votre porte-monnaie (et vos coccyx, étant donné la désolidarisation assises-montants   ) vous remercient !

Quelques petites habitudes à prendre dans le cadre de votre vie numérique.

A la maison, sur votre smartphone, préférez le réseau Wifi domestique, beaucoup moins énergivore, à la 4G.

Si vous aimez la musique, si vous avez le morceau stocké sur votre disque dur, privilégiez l'écoute par ce biais au streaming.

Shinochaz a écrit:

Quelques petites habitudes à prendre dans le cadre de votre vie numérique.

A la maison, sur votre smartphone, préférez le réseau Wifi domestique, beaucoup moins énergivore, à la 4G.

Si vous aimez la musique, si vous avez le morceau stocké sur votre disque dur, privilégiez l'écoute par ce biais au streaming.

Merci pour ces conseils

Depuis quelques jours, je trouve que Pblv envoie un drole de message: d'apres Baptiste, les familles d'accueil sont en general maltraitantes envers les enfants qu'elles recueuillent (alors que bien sur elles sont aimantes envers leurs propres enfants...) ,Baptiste et Jordan ont parle des Favert et d'autres familles qui etaient comme cela.

C'est tres cliche, on se croirait dans les Miserables! 

Je sais que cela sert l'intrigue mais ce n'est pas d'une grande finesse comme d'hab...

Sauf qu'on a bien vu que la famille d'accueil de Mathis semblait très correcte. Comme tu dis, ce point de vue est celui de Baptiste qui a vécu des expériences malheureuses.

Shinochaz a écrit:

Sauf qu'on a bien vu que la famille d'accueil de Mathis semblait très correcte. Comme tu dis, ce point de vue est celui de Baptiste qui a vécu des expériences malheureuses.