PBLV : Relevez et commentez les plus belles répliques, les PBR

Mauvaise direction d'acteur, à moins qu'il n'écoute rien. C'est le genre d'acteur qui a tendance à en faire trop, et de plus en plus si on ne l'arrête pas.

C'est en effet de plus en plus marqué

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ailebrune a écrit:

Mauvaise direction d'acteur, à moins qu'il n'écoute rien. C'est le genre d'acteur qui a tendance à en faire trop, et de plus en plus si on ne l'arrête pas.

Ou de moins en moins?

Léchochetedelarshiduchaichechontellechaichearchichaish !

Ah Ah! Cela dit, il est rare que ses "phrases" atteignent à chaque fois une telle longueur   Ce sont surtout des salves de grognements.

Mirmaya a écrit:

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Ou de moins en moins?

 
Sérieusement, je pense qu'il cabotine en roue libre. Et sur une pente très savonneuse.
Dommage car au vu de ce qu'il a pu faire, je le crois capable de bien jouer s'il est bien dirigé (et s'il n'a pas pris la grosse tête).
Mais là, cette accumulation toujours plus extravagante de mimiques, soupirs et gestes intempestifs, sans parler de la diction engloutie, le rendent ridicule et desservent non seulement son rôle dans pblv, mais au-delà, la suite de sa carrière.

Shino : j'ai dû le lire à voix haute pour comprendre !

Ailebrune : tout à fait d'accord ; ses mimiques m'agacent d'ailleurs plus que sa diction, sa gestuelle bizarre... dommage.

D’accord avec vous : des tomates pour l’interprète de Baptiste

Le frère : On devrait tourner la page, non ?
Laetitia : Sauf qu’avec toi, c’est tout le bottin de la connerie qu’il faudrait effacer.

Le frère : Je suis content de te voir.
Laetitia : Et moi, je veux que tu nous foutes la paix
Le frère : On enterre pas la hache de guerre alors ?
Laetitia : Ah non. J’ai qu’une envie, c’est de te la coller entre les deux yeux.

Mirta (qui apporte une grosse caisse d’outils) : Excusez-moi, je suis un peu curieuse [meuh non Mirta !], je peux savoir ce que vous allez faire de tout ça ?
Gérard : C’est pour mes bottes.
Mirta : Vos bottes ???
Gérard : Euh… oui, une paire de bottes que j’avais en Australie. Un jour, j’ai marché sur un alligator
Mirta : Oh ! Mais c’est affreux !!
Gérard : C’est affreux. Surtout pour l’alligator. Mon guide lui a collé une balle entre les deux yeux. Du coup, mes bottes sont en convalescence et grâce à vos petits outils, je vais pouvoir réparer tout ça. (Il tente désespérément de refermer la porte)
Mirta : Aventurier et cordonnier ! Vous n’êtes pas un client ordinaire !
Gérard : J’ai fait un peu tout les métiers du monde. J’étais testeur de toboggans en Allemagne et j’ai même gardé une île en Australie.

 

Moi aussi je veux faire testeur de toboggan quand je serais grande

Le délire qu'on évoquait ailleurs, c'est plutôt chez lui!

Les blablas, quand tu arrives d'ailleurs: plus c'est gros, plus ça prend.

Nathan: "Le I'll be back de Terminator, c'est plus ce que c'était"

Rochat : J’ai toujours apprécié Mademoiselle Blin.
Nathan : Ha, ha, la blague ! Le nombre de fois où vous avez essayé de la virer !
Rochat : Vous exagérez.
Blanche : Elle vous a quand même donné deux, trois cheveux blancs quand elle est tombée amoureuse de Théo.
Nathan : Il était vert, non pourpre, bon, arc-en-ciel.

Merci pour le relevé !
______

Ce soir, j'ai bien aimé Vidal quand il décrit à Gérard comment il va l'opérer, notamment la chute :
- oh, ben... je ne sens plus rien du tout, là !
- vous ne sentez plus rien ?! Alors là, c'est grave, il faut opérer tout de suite, et je vais d'abord vous faire un toucher rectal !

Oui, toute la série de scènes autour de Gérard est...  


Valentin : Oui, bon, d’accord, je l’ai revu. Enfin, je l’ai croisé par hasard à l’hôpital.
Laetitia : Alors je t’explique : mon frère, tu ne le croises JAMAIS par hasard.
(...)
Valentin : Oh, tu n’imagines pas que…
Laetitia : Que tu t’es fait pigeonner ? Mon chéri, j’en suis sûre.


Dans la chambre d'hôtel de Gérard
Laetitia : J’imagine que t’as pas pris rendez-vous à l’hôpital pour l’opération ?
Gérard : Euh, non…
Laetitia : Non mais c’est les hommes ça ! Ça laisse traîner, ça laisse traîner, et à un moment, paf ! Bah oui, paf, Gérard, paf ! Et après, c’est trop tard ! Mais t’inquiète pas, je me suis occupée de tout.
Gérard : Co… co… comment ça ?
Laetitia : J’ai pris rendez-vous chez un ami chirurgien, tu verras, il est très compétent.
Gérard : Mais… mais quand ?
Laetitia : Maintenant. Allez hop, on discute pas ! C’est moi la grande sœur. Tant que tu seras pas soigné, je serais pas soulagée.

Dans le cabinet de Vidal
Vidal : Je vais vous faire une anesthésie locale. A mon avis, comme votre sœur, vous êtes très résistant à la douleur.
Laetitia : Bah oui, c’est sûr. Il se plaint pas, il dit rien, il souffre en silence.
Vidal : Ce que je vais faire, c’est pas très agréable. Un petit peu comme la flèche que je vous avais retiré l’été dernier.
Laetitia : Non !?! On n’avait que de la vodka pour désinfecter. Faudrait peut-être lui faire un petit shot.
Vidal : Peut-être oui.
Gérard : J’ai plus mal.
Vidal : C’est pas possible
Gérard : Non, je la sens plus.
Vidal : Si vous la sentez plus, faut intervenir au plus vite ! Je vais faire un toucher rectal !
Gérard : Ça va pas non !? Bon, attendez, j’ai pas de hernie ! J’ai tout inventé !

Hier (ou avant-hier ?), lors de la descente de police (pieds-nickelissime) au cercle de jeux :

Eric : ça va, c’est pas un labyrinthe non plus
Kevin : Qu’est-ce-que vous en savez ?
Eric : Si tu voulais des répèt’ avant de passer à l’action, fallait être acteur, pas flic.

Ce soir :

Laetitia : Elle sera au Marci cet après-midi et, du coup, je peux vous présenter mine de rien. Mais attention, Gérard, pas de mensonge, pas d’entourloupe, t’as pas élevé des crocodiles en Floride ni été l’amant de la reine d’Angleterre, OK ? Sincère, Gérard, sincère ! (...)

Gérard : T’as raison. Fini de gémir. Adieu les petits matins blêmes et le café froid ! Le fauve sort de sa tanière !
Laetitia : Voilà. Sauf que elle déteste l’odeur du fauve. Donc si tu pouvais filer à la douche… (...)

Gérard : Je serai plus authentique qu’un billet de banque qui sort du distributeur.

La dernière phrase dans la bouche de cet arnaquer m’a fait sourire.

Luna: "Je fais profil bas"

Lol

Le formateur : trop de confiance tue quoi ?
Gaby : la confiance ?
Le formateur : non, les patients.

Au cimetière entre Ariane et son "collègue" (j'ai oublié son nom, zut !)

Collègue : L’avantage de l’uniforme, c’est que c’est indémodable.
Ariane : Attends, mais c’est la médaille d’or de la sécurité intérieure ? Wow ! Je savais pas que je bossais avec un héros.
Collègue : J’espère que ça changera pas nos relations.
Ariane : T’as fait comment pour avoir le pompon ?
Collègue : Si je te le dis, y aura pas de magie. Disons que c’est une distinction pour un type pas très distingué.

J'adore ce personnage ! Il est complètement craquant, oreilles décollées ou pas.

Silvia (très solennelle) : Romain, y aura plus jamais d’alcool dans cette maison. Surtout à 90°.
Romain : OK, très drôle. Mais là, il faut juste que je me désinfecte parce que je me suis coupé en épluchant les carottes.
Silvia : Tu peux nous parler, tu sais.
Romain : De ?
Emilie : On aimerait t’aider à dépasser ton addiction.
Romain : Mon addiction ? A quoi, aux carottes ?

Toute la scène était excellente. Dont la fin, avec la mine de Sivia quand elle comprend qu'il va bien falloir désinfecter le doigt au parfum

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ailebrune a écrit:

Au cimetière entre Ariane et son "collègue" (j'ai oublié son nom, zut !)

Collègue : L’avantage de l’uniforme, c’est que c’est indémodable.
Ariane : Attends, mais c’est la médaille d’or de la sécurité intérieure ? Wow ! Je savais pas que je bossais avec un héros.
Collègue : J’espère que ça changera pas nos relations.
Ariane : T’as fait comment pour avoir le pompon ?
Collègue : Si je te le dis, y aura pas de magie. Disons que c’est une distinction pour un type pas très distingué.

J'adore ce personnage ! Il est complètement craquant, oreilles décollées ou pas.

Oui j'ai beaucoup aimé aussi, notamment la dernière réplique